Ca fait réfléchir...
Il était 4 h du matin Lorsque la mort frappa à la porte. Qui
est-ce ? S'écria l'homme hébété. Je suis Izraël (3azraël).
Laisse-moi donc entrer! Alors l'homme se mit à trembler,
Comme pris d'une fièvre subite. Il cria à sa femme endormie
: Ne le laisse pas me prendre la vie !
S'il vous plaît, O Ange de la mort ! Laissez-moi, je ne suis
pas encore prêt. Ma famille vit à mes dépens, De grâce, ton
acte suspend
.
Déjà l'ange de la mort se tenait au seuil de sa porte. Ô mon
ami, l'ordre d'Allah ne peut être différé, Prépare-toi, pour
la tombe,
C'est pour maintenant.
Je te couvrirai d'or, Mais épargne-moi la tombe sombre.
Pourquoi as-tu peur, ô homme, de mourir selon le voeu
d'Allah ? Viens, souris-moi et ne t'attriste point, Soit
heureux de revenir vers Lui.
Ô ange j'ai honte de moi, je n'avais pas le
temps de penser
à Allah, Du matin au soir, je faisais ma richesse sans
penser à pour ce moment. Aux ordres d'Allah, je n'ai point
obéi, Tout comme jamais, cinq fois par jour, je n'ai prié.
Les "Ramadhan" venaient, les "Ramadhan" passaient, Mais
toujours sans me repentir. Le Hajj fut déjà Faraz sur moi,
Mais de mon argent, je ne voulus
point me départir.
La charité, j'ignorais, Mais l'usure et l'intérêt, je m'en
accaparais. Mes engagements, j'oubliais. L'administration,
je craignais, De ma foi, j'avais honte.
Le blâme des
mécréants m'effrayait. La détresse de mes frères m'ennuyait.
Les artifices de ce monde m'attiraient. Les mécréants,
j'imitais, Le champagne et le vin, j'appréciais. Les femmes
m'attiraient. Malheur sur moi! Ô ange, accorde-moi donc un
sursis.
J'ai peur, dit l'ange, que ce moment soit le dernier de ta
vie. Ne sais-tu pas, qu'à la mort, goûtera chaque âme ? Tu
as vécu dans ce monde et tes parents tu as négligé, Tandis
que le mendiant,
affamé, tu
repoussais.
Tes filles chantent et dansent dans les boîtes de nuits. Tes
fils se sont perdus avec des femmes sans vertu ni foi. Au
lieu de procréer des musulmans, Tu as fait de tes enfants
des mécréants. Riches, mais si pauvres ! L'appel du muezzin,
tu ignorais, Tout comme le Coran t'est étranger. Tes
promesses ne furent jamais tenues, Et ton arme favorite
était la calomnie. Tes employés, tu sous-payais, Et le fruit
de leur travail, tu récoltais, Jamais partagé avec le pauvre
ou l'orphelin. Des malades tu fuyais la
compagnie.
Ô ange de la mort, Je sais, j'ai honte Que n'ai-je reçu de
ta part, Des signes,
quelques avertissements,
De cette mort si imminente ! Âme misérable, le Créateur y a
pourvu. Point donc ne L'insulte, Il est parfait. Mais à Ses
signes tu restais sourd et aveugle.
Tes cheveux blancs t'annonçaient le retour... Ta vue
faiblissante t'annonçait le retour... Ta force qui s'étiole
t'annonçait le retour.. Ton échine recourbée t'annonçait le
retour... Voilà des avertissements suffisants, Pour des gens
qui réfléchissent ! Mais ta préoccupation se confinait à ce
monde.
Puisque le Coran tu as ignoré, Sache au moins alors, qu'il y
était écrit Que ce monde n'est qu'un éclair devant
l'éternité. Mais les avertissements du Coran, tu
as dédaigné!
Cesse de pleurnicher, O humain! Vers ton Créateur sera ton
retour, Car ton âme je la prends maintenant. Le répit m'est
interdit.
Un cri de l'homme et sur le sol il s'affaissa. Son corps
immobile, son visage éteint. Il semblait se reposer, du
sommeil éternel. Son corps ne pouvait simplement plus
exprimer La douleur alors toujours intense de l'âme qu'on
arrache.
La vie, des fois, peut réserver des surprises, mais jamais
la mort. Car enfin, chacun sait bien, qu'il est né... pour
un jour, mourir !
Il était 4 h du matin Lorsque la mort frappa à la porte. Qui
est-ce ? S'écria l'homme hébété. Je suis Izraël (3azraël).
Laisse-moi donc entrer! Alors l'homme se mit à trembler,
Comme pris d'une fièvre subite. Il cria à sa femme endormie
: Ne le laisse pas me prendre la vie !
S'il vous plaît, O Ange de la mort ! Laissez-moi, je ne suis
pas encore prêt. Ma famille vit à mes dépens, De grâce, ton
acte suspend
.
Déjà l'ange de la mort se tenait au seuil de sa porte. Ô mon
ami, l'ordre d'Allah ne peut être différé, Prépare-toi, pour
la tombe,
C'est pour maintenant.
Je te couvrirai d'or, Mais épargne-moi la tombe sombre.
Pourquoi as-tu peur, ô homme, de mourir selon le voeu
d'Allah ? Viens, souris-moi et ne t'attriste point, Soit
heureux de revenir vers Lui.
Ô ange j'ai honte de moi, je n'avais pas le
temps de penser
à Allah, Du matin au soir, je faisais ma richesse sans
penser à pour ce moment. Aux ordres d'Allah, je n'ai point
obéi, Tout comme jamais, cinq fois par jour, je n'ai prié.
Les "Ramadhan" venaient, les "Ramadhan" passaient, Mais
toujours sans me repentir. Le Hajj fut déjà Faraz sur moi,
Mais de mon argent, je ne voulus
point me départir.
La charité, j'ignorais, Mais l'usure et l'intérêt, je m'en
accaparais. Mes engagements, j'oubliais. L'administration,
je craignais, De ma foi, j'avais honte.
Le blâme des
mécréants m'effrayait. La détresse de mes frères m'ennuyait.
Les artifices de ce monde m'attiraient. Les mécréants,
j'imitais, Le champagne et le vin, j'appréciais. Les femmes
m'attiraient. Malheur sur moi! Ô ange, accorde-moi donc un
sursis.
J'ai peur, dit l'ange, que ce moment soit le dernier de ta
vie. Ne sais-tu pas, qu'à la mort, goûtera chaque âme ? Tu
as vécu dans ce monde et tes parents tu as négligé, Tandis
que le mendiant,
affamé, tu
repoussais.
Tes filles chantent et dansent dans les boîtes de nuits. Tes
fils se sont perdus avec des femmes sans vertu ni foi. Au
lieu de procréer des musulmans, Tu as fait de tes enfants
des mécréants. Riches, mais si pauvres ! L'appel du muezzin,
tu ignorais, Tout comme le Coran t'est étranger. Tes
promesses ne furent jamais tenues, Et ton arme favorite
était la calomnie. Tes employés, tu sous-payais, Et le fruit
de leur travail, tu récoltais, Jamais partagé avec le pauvre
ou l'orphelin. Des malades tu fuyais la
compagnie.
Ô ange de la mort, Je sais, j'ai honte Que n'ai-je reçu de
ta part, Des signes,
quelques avertissements,
De cette mort si imminente ! Âme misérable, le Créateur y a
pourvu. Point donc ne L'insulte, Il est parfait. Mais à Ses
signes tu restais sourd et aveugle.
Tes cheveux blancs t'annonçaient le retour... Ta vue
faiblissante t'annonçait le retour... Ta force qui s'étiole
t'annonçait le retour.. Ton échine recourbée t'annonçait le
retour... Voilà des avertissements suffisants, Pour des gens
qui réfléchissent ! Mais ta préoccupation se confinait à ce
monde.
Puisque le Coran tu as ignoré, Sache au moins alors, qu'il y
était écrit Que ce monde n'est qu'un éclair devant
l'éternité. Mais les avertissements du Coran, tu
as dédaigné!
Cesse de pleurnicher, O humain! Vers ton Créateur sera ton
retour, Car ton âme je la prends maintenant. Le répit m'est
interdit.
Un cri de l'homme et sur le sol il s'affaissa. Son corps
immobile, son visage éteint. Il semblait se reposer, du
sommeil éternel. Son corps ne pouvait simplement plus
exprimer La douleur alors toujours intense de l'âme qu'on
arrache.
La vie, des fois, peut réserver des surprises, mais jamais
la mort. Car enfin, chacun sait bien, qu'il est né... pour
un jour, mourir !
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