Aux États-Unis, une entreprise lance l’idée d’un train à sustentation électromagnétique à très grande vitesse qui permettrait de relier la capitale fédérale à New York en 60 minutes
Depuis le temps qu’on parle d’un train à grande vitesse dans le corridor Québec-Windsor, ou entre Montréal, Boston et New York, voici qu’une entreprise états-unienne lance l’idée d’un train à sustentation électromagnétique à très grande vitesse, qui permettrait de relier Washington, D.C. à New York en 60 minutes, rapporte Quartz.
Même si plusieurs projets — comme l’Hyperloop du très visionnaire Elon Musk — peuvent parfois sembler relever de la science-fiction, ce n’est vraiment pas le cas des trains électromagnétiques, dont un exemplaire est déjà en service à Shanghai, comme nous vous l’avons souligné dans ce blogue, il y a quatre ans.
Depuis 2003, le Maglev permet en effet de relier l’aéroport de la ville au quartier futuriste de Pudong, et ce, en sept minutes, grâce à des pointes de vitesse de 431 km/h — qui pourraient être de 550 km/h si le train demeurait plus longtemps en ligne droite.
Le train proposé par The Northeast Maglev atteindrait d’ailleurs 500 km/h par moments. Mais contrairement au Maglev chinois, qui utilise une technologie allemande (celle de Siemens), celui des États-Unis — qui coûterait 10 milliards de dollars — serait de conception japonaise, souligne Bloomberg. Un projet de train Maglev entre Tokyo et Nagoya est d’ailleurs en cours de développement au coût de… 100 milliards de dollars.
Aux États-Unis, le projet initial relierait d’abord Washington à Baltimore (durée du trajet : 15 minutes), juste à temps pour l’éventuelle tenue des Jeux olympiques (que la capitale fédérale états-unienne espère obtenir), mais pourrait ultérieurement être prolongé jusqu’à New York.
Et peut-être, un jour, pourquoi pas, jusqu’à Montréal ?
Pour lire l’artice de Quartz, cliquez ici ; pour celui de Bloomberg, plutôt là.
l'Actualité
Depuis le temps qu’on parle d’un train à grande vitesse dans le corridor Québec-Windsor, ou entre Montréal, Boston et New York, voici qu’une entreprise états-unienne lance l’idée d’un train à sustentation électromagnétique à très grande vitesse, qui permettrait de relier Washington, D.C. à New York en 60 minutes, rapporte Quartz.
Même si plusieurs projets — comme l’Hyperloop du très visionnaire Elon Musk — peuvent parfois sembler relever de la science-fiction, ce n’est vraiment pas le cas des trains électromagnétiques, dont un exemplaire est déjà en service à Shanghai, comme nous vous l’avons souligné dans ce blogue, il y a quatre ans.
Depuis 2003, le Maglev permet en effet de relier l’aéroport de la ville au quartier futuriste de Pudong, et ce, en sept minutes, grâce à des pointes de vitesse de 431 km/h — qui pourraient être de 550 km/h si le train demeurait plus longtemps en ligne droite.
Le train proposé par The Northeast Maglev atteindrait d’ailleurs 500 km/h par moments. Mais contrairement au Maglev chinois, qui utilise une technologie allemande (celle de Siemens), celui des États-Unis — qui coûterait 10 milliards de dollars — serait de conception japonaise, souligne Bloomberg. Un projet de train Maglev entre Tokyo et Nagoya est d’ailleurs en cours de développement au coût de… 100 milliards de dollars.
Aux États-Unis, le projet initial relierait d’abord Washington à Baltimore (durée du trajet : 15 minutes), juste à temps pour l’éventuelle tenue des Jeux olympiques (que la capitale fédérale états-unienne espère obtenir), mais pourrait ultérieurement être prolongé jusqu’à New York.
Et peut-être, un jour, pourquoi pas, jusqu’à Montréal ?
Pour lire l’artice de Quartz, cliquez ici ; pour celui de Bloomberg, plutôt là.
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