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Les ambitions du constructeur aéronautique italien Alenia Aermacchi au Maroc sont de plus en plus grandes. Ce dernier, qui vient de confirmer l’attractivité du marché pour l’industrie aéronautique, compte contracter une garantie de 200 millions d’euros auprès de l’agence italienne de crédit à l'exportation Sace pour appuyer ses ambitions au Maroc.
L’information qui circule déjà en Europe notamment sur les sites spécialisés en finances ne dit pas grand-chose sur la nature de cet investissement. Quoiqu’il en soit, le constructeur italien avait planifié une prospection fin mars, début avril dernier au Maroc en visitant une dizaine d’entreprises à Nouacer, à Casablanca et à Tanger. Il avait l’intention de signer des contrats d'approvisionnement auprès de sous-traitants marocains. Pour rappel, Alenia Aermacchi a déjà des marchés au Maroc puisqu’il a déjà équipé les forces armées royales en avions C-27J.Filiale du groupe Finmeccanica, Alenia Aermacchi est spécialisée dans l’industrie aéronautique civile et militaire. Il construit pour les avions de ligne (A380 ? Boeing 787…) les aérostructures. Il est le constructeur du M-346, un avion d'entraînement au pilotage des avions de combat de 4e et 5e générations, et de l'avion de transport tactique C-27J. Il prend aussi part au programme de drones et avions de combat F-35. Il a également des participations avec EADS dans le groupement d’intérêt économique (50%). Ce nouvel intérêt pour le Maroc conforte la position de ce dernier comme une future base arrière pour l’industrie aéronautique européenne. À ce titre, il faut rappeler que le secteur au niveau mondial a de beaux jours devant lui. En effet, il est prévu durant les 20 prochaines années la construction de 35.000 avions, ce qui suggère une hausse du rythme et des besoins en capacité de construction et constitue une bonne opportunité de développement pour le Maroc dans ce secteur, mais à condition de réussir son pari de devenir un pays compétitif, sachant qu’il a un avantage considérable qui est celui de la proximité avec les donneurs d’ordres.
source: les ecos
L’information qui circule déjà en Europe notamment sur les sites spécialisés en finances ne dit pas grand-chose sur la nature de cet investissement. Quoiqu’il en soit, le constructeur italien avait planifié une prospection fin mars, début avril dernier au Maroc en visitant une dizaine d’entreprises à Nouacer, à Casablanca et à Tanger. Il avait l’intention de signer des contrats d'approvisionnement auprès de sous-traitants marocains. Pour rappel, Alenia Aermacchi a déjà des marchés au Maroc puisqu’il a déjà équipé les forces armées royales en avions C-27J.Filiale du groupe Finmeccanica, Alenia Aermacchi est spécialisée dans l’industrie aéronautique civile et militaire. Il construit pour les avions de ligne (A380 ? Boeing 787…) les aérostructures. Il est le constructeur du M-346, un avion d'entraînement au pilotage des avions de combat de 4e et 5e générations, et de l'avion de transport tactique C-27J. Il prend aussi part au programme de drones et avions de combat F-35. Il a également des participations avec EADS dans le groupement d’intérêt économique (50%). Ce nouvel intérêt pour le Maroc conforte la position de ce dernier comme une future base arrière pour l’industrie aéronautique européenne. À ce titre, il faut rappeler que le secteur au niveau mondial a de beaux jours devant lui. En effet, il est prévu durant les 20 prochaines années la construction de 35.000 avions, ce qui suggère une hausse du rythme et des besoins en capacité de construction et constitue une bonne opportunité de développement pour le Maroc dans ce secteur, mais à condition de réussir son pari de devenir un pays compétitif, sachant qu’il a un avantage considérable qui est celui de la proximité avec les donneurs d’ordres.
source: les ecos
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