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Ces Héros inconnus de la révolution

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  • Ces Héros inconnus de la révolution

    Zoulikha Oudai, arrêtée le 15 octobre 1957 et exposée attachée à un véhicule blindé. Elle est torturée pendant dix jours mais ne livre pas le nom de ses compagnons d'armes. Elle est exécutée le 25 octobre 1957



    Le chahid Mohamed Cheikh, arrêté à Saida Juillet 1958 ainsi que son compagnon et l’agent de liaison de la wilaya, par le commando George, fi « défiler » les maquisards à titre de représailles dans tous les quartiers, Mohamed Cheikh en tête, un couteau entre les dents, les paras ont simulé une tentative d’évasion de Mohamed Cheikh qui a eu le sexe dévoré par un chien spécialement dressé.



    Arrestation d'un combattant de la glorieuse ALN suite à une blessure à la jambe



    Cadavre d’un combattant de la glorieuse ALN mort par électrocution en essayant de traverser la ligne Morrice. frontière algéro-tunisienne.



    Prisonniers enterrer vivant



    Des combattants de l'Armée de libération nationale prisonniers des hommes du 14ème Régiment de chasseurs parachutistes lors de l'opération du 15 avril 1958 dans le djebel M'Zouzia.




    "Arrestation d’un dangereux terroriste"



    Source : Page fb Alger à une certaine époque
    Dernière modification par shadok, 01 novembre 2014, 13h09.
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

  • #2
    En témoignage et pour l'histoire...

    ...J'ajouterais le Chahid Maghraoui Abdelkader, dit 'Senouci' (non de guerre) de son vrai nom Mokrane Abdelkader tombé au champ d'honneur les armes à la main tout prés de son refuge chez la famille Moudjeb du côté de la gare de la ville, même, de Mouzaia (Willaya de Blida) Il à 32 ou 38 attentat à son actif.

    Même la plaque de rue qui portait son Nom, à la sortie de la ville de Mouzaia en allant vers blida à été enlevée. Je signale que ce dernier avait abatu plusieurs collaborateurs de l'armée Française dans cette ville.

    Et comme on sait, la plupart des proches collaborateurs de l'armée Française en pris, quelque temps après l'indépendance, des postes importants dans cette même ville et ont eus, de ce fait, tout le temps de ce débarrasser de l’historique des vrais Moudjahidines et vrais fils de la ville.

    Ce Chahid est connu à travers toute la Wilaya de blida (El-Affroun, htatba, La Chifa, et les environs immédiat de Mouzaia; alors qu'il n'est pas connu des enfants de sa propre ville.
    Dernière modification par rosierbelda, 01 novembre 2014, 14h42.
    " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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    • #3
      salam

      le principal heros de notre revolution c'est le PEUPLE.c'est lui qui nourissais, soigner, cacher les moudjahidines,puis desarmé subissait la torture.
      Ali la pointe Allah yarahmou l'a dit a la famille de la casbah qui le cachait:les véritables heros c'est vous, nous nous avons les armes pour nous defendre.

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      • #4
        rebbi yérham'houm, je suis admiratif devant leur courages, à eux et à ceux dont on connait rien.

        vive l'Algérie!
        La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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        • #5
          Mon cousin El Gadri, nous l'avons ramassé en morceaux. Les paras français l'avaient fait explosé par une grenade mise dans une de ses poches. Mon cousin refusait d'obtempérer à leur ordre de fermer boutique. C'était à Biskra, le 4 décembre 1956.
          Il n'était pas à ALN, un homme du peuple, un simple épicier.

          Une voisine: Mabrouka, on l'appelait Bouka. Tuée en septembre 56 en plein centre ville de Biskra. Elle était en tête de manifestation, elle portait le drapeau algérien. L'armée française a tiré sur la foule. plusieurs morts dont Bouka. Elle était simple infirmière.

          Je me souviens aussi de Jamel, la vingtaine. Lui, il avait loupé son coup, son arme s'était enrayée et le coup n'est pas parti. Il a dû se sauver très vite mais la police a fini par le rattraper et lui tirer dessus. C'était l'automne 60. Jamel était journalier.

          Voilà 3 héros du peuple.

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          • #6
            Rabi yerham echouhada .. Ou tahya el DJAZAIR ..

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            • #7
              En effet, beaucoup sont inconnus, et certains qui ont survécu n'ont pas bénéficié des privilèges d'aujourd'hui

              allah yerham echouhada

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              • #8
                Ils ont tous ce meme regard ,intense et profond

                Qu'ils Reposent en Paix
                "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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                • #9
                  Allah yerhamhoum, merci pour ce rappel, qu'il 1 millions et demi de héros morts pour la liberté du peuple !
                  Pour faire la gueule vous faites travailler 65 muscles, pour sourire 10 suffisent. Alors souriez ...

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