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Belaiz veut créer sa propre police...

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  • Belaiz veut créer sa propre police...

    Ainsi donc celui qui a échoué à faire main basse sur la police nationale en fomentant une sédition criminelle parce que porteuse de graves dangers pour la République et ses institutions, se met à faire des caprices.

    En effet, lors du dernier Conseil interministériel, le ministre de l’intérieur a interloqué ses collègues du gouvernement en proposant ni plus ni moins de créer sa propre …..police comme on en fait dans les républiques bananières.

    Une « direction générale de la police municipale » sous son auguste autorité a t-il préconisé, prenant ainsi soin d’enrober dans un papier cadeau sa dangereuse proposition. Le Premier ministre a d’emblée rejeté cette proposition arguant que si police municipale il y a, elle serait sous la coupe de la DGSN ce qu’ont approuvé tous les autres ministres présents lors de ce Conseil.

    Que des mairies qui en ont les moyens créent une police municipale, sans armes, chargée de faire respecter la loi dans les domaines de l’environnement, de la construction illicite etc… n’est pas en soit une mauvaise chose, encore faut-il encadrer cette disposition par un arsenal juridique conséquent pour éviter des dérives à l’instar de la tristement célèbre milice dirigée par le commandant Mahmoud Guennez du temps de la présidence d’Ahmed Benbella. Mais de là à vouloir une nouvelle Direction générale de la police municipale sous les ordres directs de Tayeb Belaiz est une dérive aussi inacceptable que dangereuse.

    Le Premier ministre, a immédiatement rejeté, à juste titre, cette proposition incongrue qui va à l’encontre des principes républicains régissant un État moderne.

    A la lumière de cette dernière bévue, il apparait de plus en plus que la nomination de Belaiz comme ministre de l’intérieur est un choix malheureux car son parcours pour arriver à cette consécration est des plus bizarres dans l’histoire de la République algérienne.

    En effet, nous confie un haut magistrat à la retraite, « ce monsieur a tiré grand profit de sa parenté avec l’ex ministre de la justice, Lahcène Soufi, nommé en 1979 à ce poste dans le premier gouvernement de feu le président Chadli Bendjeddid et dirigé par feu Mohamed Ben Ahmed Abdelghani ».

    La fameuse promotion des 400

    « Lahcène Soufi, qui voulait, en ce temps là, suppléer au manque de magistrats a recruté 400 personnes non bacheliers donc inaccessibles à l’université, qui ont suivi des cours du soir à la faculté de droit et se sont retrouvés bombardés de diplômes universitaires délivrés dans des conditions aussi rocambolesques que burlesques » précise notre interlocuteur.

    « Cette fameuse promotion des 400, après avoir suivi les cours du soir, s’est retrouvée auréolée de licences en droit et la particularité de cette fournée c’est d’être composée de nouveaux magistrats unilingues, plus connus sous le sobriquet « les intrus » dans le monde de la magistrature parce que ne maitrisant que la langue arabe et dont les connaissance en droit étaient aussi approximatives qu’insuffisantes » ajoute notre source.

    « Ce qui a eu pour conséquences de provoquer des incidents à répétition avec les avocats de l’époque, bardés de diplômes prestigieux et qui maniaient la langue de Molière avec grande dextérité ce qui n’a pas été du goût de ces nouveaux « magistrats » qui ont fait dégringoler la justice algérienne à son plus bas niveau et dont les conséquences catastrophiques se font jusqu’à nos jours » s’insurge la même source.

    Un gâté de la république

    « Tayeb Belaiz était le plus favorisé et pour cause c’était le chou chou du ministre de la justice, un proche parent. Aussitôt son diplôme de licence en droit en main, il fait son service national au niveau de l’OPGI d’Oran, et à sa sortie postulera pour la CNAN mais son dossier a été rejeté parce que unilingue. L’aubaine se présentera lorsque Lahcen Soufi, est nommé wali de Tiaret il en devient naturellement son chef de cabinet ».

    « Lahcene Soufi devenu en 1979 ministre de la justice, il est recruté dans son cabinet, puis proposé comme directeur des ressources humaines mais l’enquête d’habilitation se révèle négative parce que Belaiz ne remplissait pas les critères idoines pour ce poste nommé par décret. Qu’à cela ne tienne, Lahcène soufi le nomme par arrêté Conseiller à la cour d’Oran brûlant ainsi les trois étapes obligatoires pour accéder à ce poste qui est une consécration. Ces trois étapes qui sont miraculeusement sautées sont juge du siège, vice président du tribunal et président de tribunal » affirmera ce haut magistrat.

    « Un grand boulevard s’est donc ouvert devant lui et il sera tour à tour président de chambre, président des cours de Saida, Oran, Sidi Bel Abbes, conseiller à la cour suprême et tire le gros lot, comme dans un conte de fée, en devenant grâce au miracle algérien ministre de l’emploi en 2002 et ministre de la justice en 2003. Et pour l’histoire c’est feu l’ex président Ahmed Benbella, natif de Maghnia comme Belaiz, qui intervient auprès de Ali Benflis, chef du gouvernement d’alors qui accède aux désidératas de l’ex président de la république revenu entre-temps dans les bonnes grâces du président Bouteflika » ajoutera notre interlocuteur.

    On mesure ainsi le parcours professionnel d’un gâté de la république qui se met aujourd’hui à faire des caprices en voulant pour lui tout seul une armée de policiers. Pour quel usage et quel but ?
    Source: Algérie 1
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

  • #2
    Et ils veulent nous faire croire que le pays est entre de bonnes mains. Loukan ana Sellal anwekfou ti de Suite. ayya Barra ;:/(&$§)(

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    • #3
      c'est malheureusement le drame de notre pays , on a préféré priviligié les proches et les amis au compétence, depuis notre independance nous vivons sur ce model de société, feu BenBella l'a fait de son temps et l'article atteste qu'il a refait meme apres etre sortie des institutions etatique, feu Boumedienne l'a aussi fait, feu Chadli l'a fait en la personne de son frere qui etait agent de sécurité à levé les barrieres des complexes petroliers de la sonatrach à arzew, il se retrouve nomé Wali à Mascara grace à son frere president Chadli,et là en l'oncurrence il n'y avait ni licence , ni etude du soir, zero dans le bouzelouf, d'ailleurs quand il a été nomé wali de Mascara qu'est-ce qu'i a fait ? débouché des bouteilles de champagne le jour de la fete du 1 Novembre et il s'est soulé en abusant de femme marié, suite à ses evements il a été pourchassé par la population de Mascara ils ont voulu le lyncher, il a été évacué par la gendarmerie et son frere l'imminent president l'a relevé de ses fonctions , pretextant un remaniement national , decision prise en haut sommet de l'etat , ce fameux frere Khelifa fut renomé par notre cher president chadli à Ain Temouchent, ou il n'a pas tardé a reprednre ses anciennes habitudes à roganiser des partouzes dans les locaux de la waliya .........dans la serie notre regretté president chadli avait nommé comme commissaire divisionnaire à oran un ancien ami à lui qui avait été condamné et fais de la prison pour escroquerie à annaba, un escroc avéré qui se retrouve parachuté comme commissaire divisionnaire de police à oran je pense que dans l'xercice de ses exactions nous avons fait un virage à plus de 180° sous le regne de la Presidence de Chadli et depuis on a maintenue ce cap

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      • #4
        Et pour l’histoire c’est feu l’ex président Ahmed Benbella, natif de Maghnia comme Belaiz, qui intervient auprès de Ali Benflis, chef du gouvernement d’alors qui accède aux désidératas de l’ex président de la république revenu entre-temps dans les bonnes grâces du président Bouteflika » ajoutera notre interlocuteur.
        Benflis qui accède aux demandes de Benbella ? l'Algérie l'a échappé belle oeilfermé
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #5
          Après la chut proche du pouvoir , moi je recommande de jugé tous le clan Boutef à charge de trahison national , se sont des harky déguisé

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          • #6
            envoyé par iben_roched
            près la chut proche du pouvoir , moi je recommande de jugé tous le clan Boutef à charge de trahison national , se sont des harky déguisé
            si tu veux vraiment etre un justicier equitable, il faudrait que tu remonte encore un peu plus loin que cette epoque, l'epoque ou les generaux aller faire le shoping en europe avec des jets privés , alors que la population faisait des queux interminable toute la journée pour avoir une bouteille d'huile et 1 sachet de semoule

            pour ce qui est des harki je doute que tu puisse les dicimer ou les juger , malheureusment pour nous il y a plus de harki de nos jours que d'honnete et brave citoyen, parce que la mauvaise graine pousse dix fois plus vite qu'une plante saine, il faut encore attendre cent ans pour faire une recolte d'homme comme Larbi Ben m'hidi ou l'emir abdelkader ou Aban Ramdane Allah yerhamhoum
            aujourd'hui des Samarkand il y en a à la pelle malheureusement , qui peuple le pays, qui se proclame plus algériens que les autres , et qui viennent te donner des leçons de patriotisme

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            • #7
              Shems dine j'approuve ce que tu dis à 100% , il faut remonter à l'poque des généraux et meme à l'époque du général Attaylia et Chrif Mesdaia

              Oui , meme une partie de peuple est complice de ce que se passe en Algérie , pour moi etre Harky c'est travailler contre son pays

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              • #8
                envoyé par iben_roched
                Oui , meme une partie de peuple est complice de ce que se passe en Algérie , pour moi etre Harky c'est travailler contre son pays
                c'est effectivement ce que j'essayais de te dire , plus de la moitié du peuple est souillé par les affaires et la complicité de ses criminels

                tu crois que si on avait des hommes, ses charognards auraient pu accomplir leur dessein est faire de notre pays ce qu'ils ont voulu, si chaque general a pu edifier sa citadelle c'est parcequ'il a trouvé dans le peuple algérien des larbins qui l'ont servi aveuglement, des traitres qui ont fermé les yeux moyennant des recompenses ou des faveurs , ils sont peu malheuresuement ceux qui travaillent et qui s'investissent pour le pays ,de nos jours le peuple a tellement été humilié et perdu tout espoir que pour 100 euros il tuerait pere et mere
                on le voit tous les jours dans l'actualité algérienne, des freres qui s'entretue pour s'aproprier le patrimoine des parents , des enfants qui n'hesite pas à mettre leur propre mere malade et agée dehors pour satisafaire leur epouse, ou tout simplement pour pouvoir se amrier , et tu crois que ses energumenes qui n'ont meme pas eu pitié de leur aprents auront pitié du peuple

                on est arrivé à une epoque ou chacun pour soi, ton propre frere peut crever devant toi , l'algérien ne bougera pas le petit doigt

                et helas à tous les echelons toutes les couches sociales instruit ou pas l'algérien a acquis ce comportement bestiale et animal ou il lutte pour survivre

                l'article cite Feu Benbella durant cette ouverture annoncé par feu chadli ou chacun voulait sa part du gateau, feu Ben Bella avait créer un parti politique et il a essayé d'exiger sa part de cette funeste mise en scene, pourquoi-a-t-il cessé son action et son entreprenariat tout simplement que nos generaux ont su bien le compenser pour qu'il se retire de la competition, il a eu les fonds pour aller s'installer en suisse et un marché juteux pour importer de l'agro alimentaire vers le pays , enfin .....

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