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Habillées du haïk traditionnel, des dizaines de femmes ont défilé dans les rues d’Alger sous le regard amusé des algérois. Ces femmes enveloppées d’un haïk blanc immaculé ont été escorté par les policiers pendant toute leur marche qui s’est ébranlée de la rue Didouche Mourad en passant par la Place Audin jusu’à la Grande Poste.
Ce 1er Novembre, Alger célébrait aussi la journée du haïk. Un collectif citoyen a lancé un appel pour organiser une marche à l’occasion du 60e anniversaire du déclenchement de la Révolution algérienne. Pour ce faire, des dizaines de jeunes femmes ont enfilé le haïk, cet habit traditionnel, et ont défilé dans les rues à partir de 10 H tout en entonnant des chants révolutionnaires pour perpétuer la mémoire de la Révolution nationale. Une impressionnante escorte policière a été mise en place pour garantir la sécurité de ces femmes en haïk.
Une protection à laquelle n’ont pas eu droit des dizaines de militants en faveur de la démocratie ou des membres de l’association SOS Disparus qui ont été empêchés par les forces de l’ordre d’organiser une marche ou un rassemblement pacifique dans les places publiques de la capitale Alger. Plusieurs arrestations musclées ont été enregistrées et de nombreuses personnes ont été conduites jusqu’aux commissariats de police situés à Bab Ezzouar ou Bouzaréah, dans la banlieue d’Alger
Ce 1er Novembre, Alger célébrait aussi la journée du haïk. Un collectif citoyen a lancé un appel pour organiser une marche à l’occasion du 60e anniversaire du déclenchement de la Révolution algérienne. Pour ce faire, des dizaines de jeunes femmes ont enfilé le haïk, cet habit traditionnel, et ont défilé dans les rues à partir de 10 H tout en entonnant des chants révolutionnaires pour perpétuer la mémoire de la Révolution nationale. Une impressionnante escorte policière a été mise en place pour garantir la sécurité de ces femmes en haïk.
Une protection à laquelle n’ont pas eu droit des dizaines de militants en faveur de la démocratie ou des membres de l’association SOS Disparus qui ont été empêchés par les forces de l’ordre d’organiser une marche ou un rassemblement pacifique dans les places publiques de la capitale Alger. Plusieurs arrestations musclées ont été enregistrées et de nombreuses personnes ont été conduites jusqu’aux commissariats de police situés à Bab Ezzouar ou Bouzaréah, dans la banlieue d’Alger