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DRAGUIGNAN - Le doyen à 111 ans des cinq derniers combattants français de la Première guerre mondiale est décédé cette nuit. Sa mort est survenue la veille des célébrations du 11 novembre, marquant l'armistice de 1918 avec l'Allemagne.
Maurice Floquet, qui aurait fêté ses 112 ans à Noël, était sans doute le plus vieux des anciens combattants au monde. Le doyen des "poilus" était alité depuis quelques jours au domicile de l'une de ses filles dans le sud-est de la France, où il vivait depuis vingt-six ans, a indiqué une correspondante du ministère de la Défense.
Né le 25 décembre 1894, Maurice Floquet avait été mobilisé en septembre 1914 et blessé deux fois. Le 24 mars 2004, 87 ans après l'armistice, il avait reçu les insignes d'officier de la Légion d'Honneur, la plus haute distinction française.
Depuis 2005 selon sa fille Jeannine il ne voulait "plus qu'on parle de lui", ni de la Grande Guerre qui lui a valu deux trépanations et la perte d'une oreille.
L'un des "poilus" encore en vie, René Riffaud, 107 ans, doit assister samedi, sous l'Arc de Triomphe à Paris, à la cérémonie du 11 novembre qui marquera le 88e anniversaire de l'armistice avec l'Allemagne, en présence du président Jacques Chirac.
SDA-ATS
DRAGUIGNAN - Le doyen à 111 ans des cinq derniers combattants français de la Première guerre mondiale est décédé cette nuit. Sa mort est survenue la veille des célébrations du 11 novembre, marquant l'armistice de 1918 avec l'Allemagne.
Maurice Floquet, qui aurait fêté ses 112 ans à Noël, était sans doute le plus vieux des anciens combattants au monde. Le doyen des "poilus" était alité depuis quelques jours au domicile de l'une de ses filles dans le sud-est de la France, où il vivait depuis vingt-six ans, a indiqué une correspondante du ministère de la Défense.
Né le 25 décembre 1894, Maurice Floquet avait été mobilisé en septembre 1914 et blessé deux fois. Le 24 mars 2004, 87 ans après l'armistice, il avait reçu les insignes d'officier de la Légion d'Honneur, la plus haute distinction française.
Depuis 2005 selon sa fille Jeannine il ne voulait "plus qu'on parle de lui", ni de la Grande Guerre qui lui a valu deux trépanations et la perte d'une oreille.
L'un des "poilus" encore en vie, René Riffaud, 107 ans, doit assister samedi, sous l'Arc de Triomphe à Paris, à la cérémonie du 11 novembre qui marquera le 88e anniversaire de l'armistice avec l'Allemagne, en présence du président Jacques Chirac.
SDA-ATS
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