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L'Arabie Saoudite punit l'Iran mais aussi l'Algérie

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  • L'Arabie Saoudite punit l'Iran mais aussi l'Algérie

    Après avoir récemment décidé de baisser le prix de son baril de pétrole, l'Arabie Saoudite qui est le plus grand exportateur de pétrole au monde (voir tableau), a semble-t-il comme ambition de maintenir le prix du baril sous 80 $. Les charlatans saoudiens prétendent que cette baisse du prix de leur baril vise à défendre leur part du marché mondial du pétrole, mais certains experts affirment que le vrai motif de cette baisse du prix du baril saoudien est de punir son ennemi juré l'Iran (et le principal allié de l'Iran, la Russie). L'Iran et la Russie qui subissent des sanctions occidentales et dépendent énormement des revenus pétroliers, vont souffrir si le baril de pétrole ne remonte pas au dessus de 100 $.

    Dépendant elle aussi des revenus pétroliers, l'Algérie se retrouve elle aussi une victime des jeux politiciens des répugnants charlatans saoudiens!


  • #2
    C'est fort possible en effet.
    L'Algérie pourrait baisser sa production en attendant des jours meilleurs. Garder le pétrole sous le sol sera peut-être plus rentable que placer ses revenus dans des banques étrangères.
    Le hic, c'est que l'Algérie a développé une certaine dépendance aux gros revenus.

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    • #3
      Lu sur le net
      La raison de cette baisse des cours du pétrole est simple, explique la banque; la demande est inférieure à la production, surtout en raison du gaz et du pétrole de schiste en Amérique du Nord. Ce mois-ci, les États-Unis devraient d'ailleurs extraire plus de pétrole que l'Arabie saoudite, une première depuis les années 1970.

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      • #4
        C' est un accord entre les américains et les saoudiens de baisser les prix pour effectivement affaiblir l'Iran et la Russie , les USA sont devenus le premier producteur de pétrole

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        • #5
          80 $ cela aussi n'arrange pas les américains, les petites compagnies américaines ne pourront jamais résister à long terme à des prix qui tournent autour de 80$ à 70$. Pour ce qui concerne l’Algérie si elle souffre aujourd'hui de la baisse des prix disons que c'est de sa faute car depuis 2004 les prix du baril sont en moyen au-dessus des 33 $, l'Algérie a eu 10 ans pour se réformer mais sans résultat.

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          • #6
            Ca revient à combien l'extraction d'un baril de pétrole en moyenne ?

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            • #7
              du déjà vu ... l'accord USA/arabie saoudite dans les années 80 et le contre choc pétrolier ... la baisse continue du prix du pétrole en 86 a diminué l'union soviétique ...et a touché l’Algérie ..la suite on la connais.
              وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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              • #8
                c'est les chutes brutales des prix qui provoque des remontées rapides et brutales ,la, on est dans une baisse lente est continue ,ces derniers jours ca a tendance de se stabiliser autour de 80 ,apparemment et d'apres les experts cette situation devrait durer au moins jusqu'a mi 2015 ,

                Goldman Sachs et Citigroup, parient sur un affaiblissement de long terme du prix du baril du pétrole. Pour eux, la chute des cours du brut – A New York– n’est pas qu’un phénomène conjoncturel, mais une tendance appelée à durer. Si cela se confirme, ce serait un bouleversement complet du paysage sectoriel. Depuis le milieu des années 2000, le consensus portait sur la fin du pétrole bon marché. D’un côté, la consommation progressait, portée par les pays émergents, Chine en tête ; de l’autre, la production était de plus en plus chère, dans des mers plus profondes et des terrains plus difficiles d’accès. Si la crise financière avait mis un coup d’arrêt à l’envolée des prix, ce n’était qu’une parenthèse conjoncturelle.
                Selon Citigroup, la fin du « supercycle de l’énergie » est en cours. Goldman Sachs estime de son côté qu’un « nouvel ordre pétrolier » est en train de s’ouvrir. La banque américaine parie même sur un baril cotant 70 dollars le baril à New York au deuxième trimestre 2015, puis sur une stabilité, autour de 80 dollars à plus long terme. Si cela se confirme, ce serait un niveau qui n’a plus été vu depuis la grande récession de 2009. Mais cette fois, la croissance mondiale, bien que modérée, est au rendez-vous.

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                • #9
                  je crois pas que l'AS fasse la guerre des prix aux iraniens et russes, c'est de l'ordre de 7 millard $ de pertes par mois (80 par an) pour des resultats incertains

                  c'est comme couper sa main pour voir les larmes des russes et iraniens

                  Commentaire


                  • #10
                    interessant

                    Pétrole-L'Arabie saoudite a retenu la leçon des années 1980

                    et ça appuie la thèse d'une guerre de parts de marché et pas de prix

                    Commentaire


                    • #11

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                      • #12
                        over
                        Ca revient à combien l'extraction d'un baril de pétrole en moyenne ?

                        La zone en rouge au bas du graphique est le “coût d’équilibre” pour les producteurs (estimé par Total). Cette zone reflète combien cela coûte d’extraire du sol des barils de pétrole brut.
                        le coût global est de 10 $ à 20 $ par baril.

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                        • #13
                          L'Algérie pourrait baisser sa production en attendant des jours meilleurs. Garder le pétrole sous le sol sera peut-être plus rentable que placer ses revenus dans des banques étrangères.
                          Mais faudrait-il pour celà que les yankes accepteraient de nous restituer "nos" dollars déposés par nos "yankesfiles".

                          Oui!
                          Sachant que leur federale reserve refuse de rendre aux allemands l'or qu'ils avaient déposé chez eux...

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