LES RETROUVAILLES
Après tant d’années
Toi et moi, on s’est retrouvé
Par un beau matin d’été
Sur une plage ensolleillée.
Nous avons bu, pour une fois
A l'amitié, l'amour, la joie.
Et souviens-toi de cet été
La première fois qu'on s'est rencontré
Tu m'as ramené à la maison
En chantant, à l’unisson.
Je ne t'ai pas écrit toutes ces années
Car toi, tu t'es mariée.
T'as trois enfants à faire manger
Moi, j'en ai rien, si ça peut te consoler.
Je suis parti changer d'étoile
Sur un navire, j'ai mis la voile.
Pour n'être plus qu'un étranger
Ne sachant plus très bien où aller.
Je suis parti au lendemain
Ou t’es mariée avec un voisin.
Toi, tu vis dans un univers
Moi, dans un enfer.
Toi, heureuse avec ton mari
Moi, seul, sans amies.
Moi, frivole, comme un papillon
Vivant dans un monde de tourbillons.
Toi, t’as choisi ton destin
Moi, le dédain
On s’est beaucoup aimé
Et la vie nous a séparés.
Pour assouvir notre faim
On a fait l’amour jusqu’au matin.
On a bu, chanter, danser, sans gènes
Pour feter nos retrouvailles
Mais ça me fait de la peine
De te quitter, car Il faut que je m’en aille.
Toi, tu vas retrouver ton mari
Moi, triste poete, mes soucis.
Nos souvenirs d’adolescence
Resteront en permanence
Gravés à jamais dans nos mémoires
Jusqu'à la fin de notre histoire.
Le berbère06 (insp.chanson Graeme Allwright )
Après tant d’années
Toi et moi, on s’est retrouvé
Par un beau matin d’été
Sur une plage ensolleillée.
Nous avons bu, pour une fois
A l'amitié, l'amour, la joie.
Et souviens-toi de cet été
La première fois qu'on s'est rencontré
Tu m'as ramené à la maison
En chantant, à l’unisson.
Je ne t'ai pas écrit toutes ces années
Car toi, tu t'es mariée.
T'as trois enfants à faire manger
Moi, j'en ai rien, si ça peut te consoler.
Je suis parti changer d'étoile
Sur un navire, j'ai mis la voile.
Pour n'être plus qu'un étranger
Ne sachant plus très bien où aller.
Je suis parti au lendemain
Ou t’es mariée avec un voisin.
Toi, tu vis dans un univers
Moi, dans un enfer.
Toi, heureuse avec ton mari
Moi, seul, sans amies.
Moi, frivole, comme un papillon
Vivant dans un monde de tourbillons.
Toi, t’as choisi ton destin
Moi, le dédain
On s’est beaucoup aimé
Et la vie nous a séparés.
Pour assouvir notre faim
On a fait l’amour jusqu’au matin.
On a bu, chanter, danser, sans gènes
Pour feter nos retrouvailles
Mais ça me fait de la peine
De te quitter, car Il faut que je m’en aille.
Toi, tu vas retrouver ton mari
Moi, triste poete, mes soucis.
Nos souvenirs d’adolescence
Resteront en permanence
Gravés à jamais dans nos mémoires
Jusqu'à la fin de notre histoire.
Le berbère06 (insp.chanson Graeme Allwright )
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