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Entreprises algériennes souhaitant investir à l’étranger : le gouvernement dit non

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  • Entreprises algériennes souhaitant investir à l’étranger : le gouvernement dit non

    Les entreprises algériennes ne sont pas autorisées à investir à l’étranger, a affirmé Abdeslam Bouchouareb, ministre de l’Industrie et des Mines, ce jeudi 6 novembre sur les ondes de la Radio Chaine III. « Il y a d’abord du travail à faire dans notre pays », a-t-il argumenté. « Investir à l’étranger va venir avec le temps », a ajouté le ministre. Cette mise au point intervient alors que plusieurs opérateurs algériens, dont Cevital, souhaitent investir à l’étranger.
    Abdeslam Bouchouareb a expliqué la stratégie mise en place qui consiste à faciliter la création des entreprises, à améliorer l’attractivité de l’Algérie pour les investisseurs étrangers et à encourager la délocalisation d’entreprises internationales de référence vers l’Algérie. Selon le ministre, l’Algérie est dans « une position idéale pour recevoir les projets de délocalisation ». « La position géographique et notre climat des affaires met notre pays dans une position idéale pour pouvoir recevoir les projets de délocalisation », souligne M. Bouchouareb.
    Évoquant la restructuration du secteur public, le ministre n’a pas écarté la possibilité d’une « révision du Code des marchés publics ». Il a également mis l’accent sur l’importance de promouvoir des filières industrielles prioritaires et à potentiel de croissance, comme la mécanique. « La sous-traitance est en train d’émerger en Algérie », a-t-il affirmé en rappelant que l’objectif fixé par les autorités algériennes est d’atteindre une croissance économique de 7% d’ici 2019.


    tsa

  • #2
    « Il y a d’abord du travail à faire dans notre pays », a-t-il argumenté. « Investir à l’étranger va venir avec le temps », a ajouté le ministre.
    Étonnant...

    « La position géographique et notre climat des affaires met notre pays dans une position idéale pour pouvoir recevoir les projets de délocalisation »
    Ce n'est pas l'avis de doing business.
    Dernière modification par iridium, 07 novembre 2014, 14h48.

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    • #3
      pure mensonge !!! il est impossible de faire 7% de croissance économique si vous corsetez les hommes d'affaires .

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      • #4
        Il faut donner la liberté aux entreprises qui créent la richesse d'investir là ou elles veulent , tout dépend de leur degré de compétitivité

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        • #5
          « Il y a d’abord du travail à faire dans notre pays »
          Le foncier et l'immobilier sont inaccessibles, les banques sont frileuses les impôts sont excessifs,la création d'entreprise est un supplice bref tous les ingrédients pour nourrir le marché parallèle et soutenir l'import.
          “En politique, rien n’arrive par accident. Si quelque chose se produit, vous pouvez parier que cela a été planifié de cette façon.” (Franklin Delano Roosevelt)

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          • #6
            Il n'y a pas si longtemps, ils étaient très fier quand Sonatrach investissait au Venezuela, en Libye, en Egypte, .... aujourd'hui c'est investir à l'étranger est devenu une trahison.

            Abdeslam Bouchouareb a expliqué la stratégie mise en place qui consiste à faciliter la création des entreprises, à améliorer l’attractivité de l’Algérie pour les investisseurs étrangers et à encourager la délocalisation d’entreprises internationales de référence vers l’Algérie.
            Les plus malins investissent dans les pays développés et font un transfert de la technologie et le savoir faire chez eux, les incompétents et les corrompu font la courbette aux multinationales et attendent qu'ont les désirent.

            Fiat est un bon exemple, cela fait 50 ans que nos incompétents dirigeants leur font la courbettes, avec les différentes crise par lesquelles Fiat est passé, il aurait pu en acheter une bonne partie.

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            • #7
              Bonsoir

              Entreprises algériennes souhaitant investir à l’étranger : le gouvernement dit non
              Normal Non après la fuite des têtes pensantes Zaahma ce seras les industries

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              • #8
                Il a raison le ministère sur ce coup la , ces entreprises qui veulent investir à l'étranger leur but c'est de transférer une partie de leur capital vers les paradis fiscaux , sous prétexte d'investissement à l'étranger , il est très facile de faire des montages financée très complexe , avec l'incompétence de notre administration, c'est la fuite des capitaux

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                • #9
                  c'est la fuite des capitaux

                  c'est pas ça qui va arrêter cette fuite ,il a plusieurs stratagèmes pour transférer l'argent légalement en jouant sur la surfacturation

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                  • #10
                    Hadou oui , en outre , sans parler des valises vers Dubai

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                    • #11
                      Mauvaise idée...ces entreprises peuvent investir à l’étranger puis rapatrier les bénéfices en Algérie...ça pourrait apporter beaucoup de devises au pays.

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