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C’est un coup de fouet plein le dos, Pour me tenir droite et ne pas tomber
Je me sens démunie de toutes mes forces de ce combat éternellement mené,
Fatiguée, désespérée et déçue de savoir énormément de choses,
Que dieu me vienne en aide,
me donne de la patience et du courage pour pouvoir continuer,
Cris de calamité et de secours, de ma part
Cri de ras le bol et de fatigue de mes interrogations, de sa part
L’impression qu’il me donne quand il me parle avec son silence
est de me dire :
Fous-moi la paix et abstiens-toi à me mettre dans la position d’accusé et toi de victime,
Laisse-moi dans mon monde meilleur, celui des souvenirs et de mon si court beau passé,
Pardonne-moi de t’avouer du présent qui n’est autre que notre vie tranquille et apaisante,
CADEAU DE « DIEU »,
Que toi tu cherches à faire disparaitre avec tes tâtonnements sur tout ce maudit passé,
Avec tes messages, et tes soit disant poèmes, que je ne me précipite même pas de lire
Pour la simple raison que je suis conscient de tous tes désirs que je n’ai nullement la force d’assouvir
Arrête de fouiller dans la merde, m’a-t-il dit un jour, avec une colère de ROI,
Le Roi de l’amour, me suis-je dit, quelle chance ! Il a d’aimer et d’être aimé,
J’ai tout essayé, pour l’atteindre, rien à faire, la carapace qu’il s’est fait est imperméable,
D’apparence tout y est, sincérité, honnêteté, homme responsable, au petit soin QUOTIDIEN,
MAIS, ou est donc la limite de cette profondeur, objectif de mon atteinte et de mes recherches
Suis-je son unique et exceptionnel AMOUR ?
Celle qu’il recherchait sans qu’il y ait eu autre,
Il n’a donc plus la force de me considérer comme je l’ai cru à notre 1ere fois,
Son grand amour, sa femelle, sa lambda, sa fleur, son extra terrestre … et j’en passe,
Tous ces beaux surnoms, Qu’il sait si bien qualifier, signifier, écrire et dire
Quand il est réellement amoureux,
Rien n’est plus important que de relire ses écrits d’avant, les arranger
Leur donner plus de beauté et de luminosité qu’ils en ont,
Rien de plus beau que ce qu’il a écrit pour sa dulcinée et ce qu’elle a écrit pour lui,
Aucunement gêné, il les lit et relit pour redéguster cet inoubliable gout de son unique amour,
Puisqu’il l’a dit si Froidement « je n’ai aimé qu’une seule femme »,
Je me sens démunie de toutes mes forces de ce combat éternellement mené,
Fatiguée, désespérée et déçue de savoir énormément de choses,
Que dieu me vienne en aide,
me donne de la patience et du courage pour pouvoir continuer,
Cris de calamité et de secours, de ma part
Cri de ras le bol et de fatigue de mes interrogations, de sa part
L’impression qu’il me donne quand il me parle avec son silence
est de me dire :
Fous-moi la paix et abstiens-toi à me mettre dans la position d’accusé et toi de victime,
Laisse-moi dans mon monde meilleur, celui des souvenirs et de mon si court beau passé,
Pardonne-moi de t’avouer du présent qui n’est autre que notre vie tranquille et apaisante,
CADEAU DE « DIEU »,
Que toi tu cherches à faire disparaitre avec tes tâtonnements sur tout ce maudit passé,
Avec tes messages, et tes soit disant poèmes, que je ne me précipite même pas de lire
Pour la simple raison que je suis conscient de tous tes désirs que je n’ai nullement la force d’assouvir
Arrête de fouiller dans la merde, m’a-t-il dit un jour, avec une colère de ROI,
Le Roi de l’amour, me suis-je dit, quelle chance ! Il a d’aimer et d’être aimé,
J’ai tout essayé, pour l’atteindre, rien à faire, la carapace qu’il s’est fait est imperméable,
D’apparence tout y est, sincérité, honnêteté, homme responsable, au petit soin QUOTIDIEN,
MAIS, ou est donc la limite de cette profondeur, objectif de mon atteinte et de mes recherches
Suis-je son unique et exceptionnel AMOUR ?
Celle qu’il recherchait sans qu’il y ait eu autre,
Il n’a donc plus la force de me considérer comme je l’ai cru à notre 1ere fois,
Son grand amour, sa femelle, sa lambda, sa fleur, son extra terrestre … et j’en passe,
Tous ces beaux surnoms, Qu’il sait si bien qualifier, signifier, écrire et dire
Quand il est réellement amoureux,
Rien n’est plus important que de relire ses écrits d’avant, les arranger
Leur donner plus de beauté et de luminosité qu’ils en ont,
Rien de plus beau que ce qu’il a écrit pour sa dulcinée et ce qu’elle a écrit pour lui,
Aucunement gêné, il les lit et relit pour redéguster cet inoubliable gout de son unique amour,
Puisqu’il l’a dit si Froidement « je n’ai aimé qu’une seule femme »,
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