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Valse des entraîneurs : "Ce n’est pas de cette manière que le football algérien progresse"

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  • Valse des entraîneurs : "Ce n’est pas de cette manière que le football algérien progresse"

    ALGER - L’entraîneur de la sélection algérienne de football, Christian Gourcuff, a déploré mardi la série de limogeage touchant les entraîneurs des clubs de Ligue 1 algérienne avec lesquels il comptait travailler en étroite coordination.

    "Franchement, c’est regrettable ce qui se passe dans le football algérien. Je n’ai pas le droit de m’immiscer dans les affaires des clubs, mais à mon avis cela va davantage pénaliser les clubs et le football algérien en général", a déclaré Gourcuff en réponse à une question de l’APS lors de la conférence de presse tenue à la salle de conférences du complexe olympique Mohamed-Boudiaf à Alger.

    Après dix journées de championnat, pas moins de dix clubs de l’élite se sont séparés de leurs entraîneurs. La précédente journée aura été "historique" dans ce registre, puisque quatre coachs se sont vu signifier la fin de leur mission par les présidents de leurs clubs respectifs.

    "Du groupe d’entraîneurs avec lesquels je me suis réuni en septembre dernier pour lancer ensemble un travail de fond, il n’en reste que quelques-uns. Je ne vais quand même pas me réunir avec de nouveaux coachs chaque mois", a poursuivi l’ex-driver du FC Lorient (Ligue 1-France).

    Le sélectionneur national, qui a rappelé qu’il disposait d’un projet pour le football algérien, a reconnu que dans l’état actuel des choses, "l’on ne peut pas aspirer à réaliser un travail de formation" dans le football local.
    aps
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    A peine 8 journées et c'est 5 ou 6 entraineurs qui ont été déjà limogés : Broos, Charef, Ait Djoudi...
    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
    Socrate.

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    • #3
      Ce week-end a vu 4 entraineurs limogés : Charef , Garzitto , Ait-Djoudi, Ameur Djamil !!! au moindre faux pas , c'est l'entraineur qui saute comme un fusible !
      "La suprême élégance se confond avec la suprême simplicité."

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      • #4
        Après dix journées de championnat, pas moins de dix clubs de l’élite se sont séparés de leurs entraîneurs.
        Tout simplement , parce que les clubs (la plupart) sont gérés par des personnes qui n'ont rien à voir avec le football moderne, ce sont des gens qui ne pensent qu'aux victoires pour faire de l'argent et attirer la galerie, ils ne savent pas que driver un club , ça demande de la patience et de la constance pour arriver à récolter ce qu'ils ont semé , ce n'est pas en quelques mois qu'une équipe arrive à être au top mais au bout de 2 ou 3 ans et ça ils n'arrivent pas à se le mettre dans la tête définitivement.

        Regardez par exemple en Angleterre , le coach de Tottenham n'a pas été limogé pourtant ce club perd même à domicile en ce moment , idem pour leicester qui perd souvent aussi à domicile etc...
        Dernière modification par ACAPULCO, 12 novembre 2014, 10h40.
        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
        (Paul Eluard)

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        • #5
          Le sélectionneur national, qui a rappelé qu’il disposait d’un projet pour le football algérien, a reconnu que dans l’état actuel des choses, "l’on ne peut pas aspirer à réaliser un travail de formation" dans le football local.
          Une décision et projet de la FFF a mon avis, qui est bénéfique pour la France dans le court terme mais qui peut être utile si les responsables algériens font du bon boulot en local.

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          • #6
            Pour le Mouloudia, Charef avait dès le départ peu de chance pour qu'il fasse long feu. Il voulait appliquer la même philosophie qu'il avait mené à El Harrach. Or, le Mouloudia n'est pas El Harrach. Celle-ci, à défaut de grands moyens, a des traditions dans la formation, et donner le temps à l'entraineur pour construire une équipe fait partie des mœurs du club. Au Mouloudia c'est "le prêt à gagner" qui prime. On ne le laissera jamais 5 ans à préparer son équipe. Le club doit gagner un titre dès la première année, d'autant plus que l'argent il y en a.
            "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
            Socrate.

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