À deux semaines de la prochaine réunion de l’OPEP, le cartel des pays producteur de pétrole, les prix du baril de brut poursuivent leur baisse, s’installant sous la barre symbolique de 80 dollars.
Jeudi 13 novembre, à mi-journée, le baril Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre, valait 79,67 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 71 cents par rapport à la clôture de mercredi.
Dans la matinée, la référence européenne du brut avait même chuté jusqu’à 79,35 dollars, son plus bas niveau depuis le 29 septembre 2010.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 30 cents, à 76,89 dollars.
LES SAOUDIENS POUSSENT À LA BAISSE
Depuis l’été, le prix du brut a chuté de 25 %, l’offre étant durablement supérieure à la demande. Et les marchés sont plutôt enclins à estimer que l’Arabie saoudite, chef de file de l’OPEP, ne réduira pas sa production pour soutenir les cours.
D’ailleurs, ces dernières semaines, le « gendarme » de l’OPEP n’a pas signalé la moindre intention de le faire. Au contraire, la Saudi Aramco a choisi, le 4 novembre, de
réduire ses prix pour conserver ses parts de marché.
Lire aussi : Face à la baisse du pétrole, l’OPEP tente de rassurer
« Les discussions sur une guerre des prix relèvent d’un malentendu - délibéré ou non - et n’ont aucun fondement dans les faits », a déclaré, mercredi le ministre saoudien du Pétrole, Ali al-Nouaïmi, dans un discours à Acapulco (Mexique).
Selon les experts, la décision saoudienne pourrait être une réponse au boom du pétrole et du gaz de schiste aux États-Unis, qui rend le baril de brut moins compétitif.
Source: Le Monde
Jeudi 13 novembre, à mi-journée, le baril Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre, valait 79,67 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 71 cents par rapport à la clôture de mercredi.
Dans la matinée, la référence européenne du brut avait même chuté jusqu’à 79,35 dollars, son plus bas niveau depuis le 29 septembre 2010.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 30 cents, à 76,89 dollars.
LES SAOUDIENS POUSSENT À LA BAISSE
Depuis l’été, le prix du brut a chuté de 25 %, l’offre étant durablement supérieure à la demande. Et les marchés sont plutôt enclins à estimer que l’Arabie saoudite, chef de file de l’OPEP, ne réduira pas sa production pour soutenir les cours.
D’ailleurs, ces dernières semaines, le « gendarme » de l’OPEP n’a pas signalé la moindre intention de le faire. Au contraire, la Saudi Aramco a choisi, le 4 novembre, de
réduire ses prix pour conserver ses parts de marché.
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« Les discussions sur une guerre des prix relèvent d’un malentendu - délibéré ou non - et n’ont aucun fondement dans les faits », a déclaré, mercredi le ministre saoudien du Pétrole, Ali al-Nouaïmi, dans un discours à Acapulco (Mexique).
Selon les experts, la décision saoudienne pourrait être une réponse au boom du pétrole et du gaz de schiste aux États-Unis, qui rend le baril de brut moins compétitif.
Source: Le Monde
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