Rappel 1ere partie
…/…
Bien sûr elle n’accepta ni la trahison ni ce dernier affront…
Le cœur déchiré, elle divorça et eut la garde des enfants ainsi qu’une pension alimentaire conséquente qui ajoutée à ce que lui versait sa famille assez fortunée la mettait elle et les enfants à l’abri du besoin.
Comme la Villa était inscrite aux noms de Mr et Mme, elle ne chercha pas à quitter les lieux et s’installa au 1er étage avec ses enfants.
La vie continuait. Moins sereine, plutôt douloureuse, mais elle continuait… Parfois, elle " LES " entendait rire aux éclats et arrive même à imaginer son ex-mari "LUI" raconter les histoires drôles qu’elle-même lui avait apprises … Ces éclats de rire se terminaient généralement par des gloussements significatifs.
A ces moments là, elle ne pouvait s’empêcher de frissonner de tout son corps…
Cela la déchirait au plus profond et lui donnait l’impression que des milliers de lames tranchaient dans sa chaire… ce n’est pas de la jalousie qu’elle éprouvait se disait-elle, mais une sensation inexplicable, poignante, très douloureuse étreignait son cœur. Elle la poussait à se rappeler le fil de sa vie, ses 16 années de mariage qu’elle croyait pour la vie, la conception et la naissance des gosses y compris les douleurs de l’enfantement propres à chacun.
IL lui arrivait de succomber au dépit et laisser ses larmes couler, mais tout de suite sa fierté bafouée reprenait le dessus et se disait mais qu’est ce que j’ai perdu si ce n’est un traitre, kheda3, indigne de ce que je lui ai tout donné.
Finalement, moi, j’ai gagné 3 superbes gosses, mais lui qu’est ce qu’il a gagné en cette pimbêche perchée sur deux branches dont le seul atout est une belle chevelure avec de belles mèches rebelles admettait-elle. Aucune classe poursuivait-elle, une arriviste qui za3ma marche en chaloupant de manière prétentieuse et vulgaire à la manière de ces mannequins de 4e rang.
Durant les mois qui suivirent, elle évita de croiser l’une ou l’autre de peur de ne pouvoir supporter le poids de leur regard sur " la délaissée ". A partir du jardin, elle aménagea une entrée particulière qui la menait directement dans sa cuisine..
"L’AUTRE" tomba enceinte et ne manqua pas de tout faire pour lui exhiber sa grossesse devenue apparente… le couple entra dans la routine et on l’entendit de plus en plus souvent se quereller. Sa grossesse étant avancée, la femme partit … on ne sait où.
Un jour Sarah vint et lui dit : m’man, papa voudrait que je lui ramène un peu de ce qu’il y’a à manger chez nous… il dit qu’il en a senti la bonne odeur qui émanait de la cuisine et qu’il en voudrait si toi, tu me le permettais…
Bien sûr ! on ne peut refuser un repas à un homme qui a faim, à fortiori si cet homme est le père de vos enfants… Il prit l’habitude et notre fille Sarah se chargeait de cette tâche… En retour, elle ramenait des quantités de desserts que j’avais énergiquement refusés au début, mais Sarah disait que c’était son père aussi malgré tout et qu’elle n’y’avait aucune raison pour elle de les refuser.
D’ailleurs, il faut reconnaitre qu’à certaines occasions, profitant de son droit de visite, il emmenait les enfants dans les meilleurs magasins où ils revenaient avec des cadeaux aussi onéreux que variés. Je ne pouvais les empêcher bien sûr et je m'en suis faite une raison finit elle par avouer…
Trois mois que cela durait, un vendredi de novembre, il revint avec sa femme portant son bébé emmitouflé … Sarah n’en continua pas moins à lui ramener son repas auquel il s’est habitué, elle en rajouta même un peu plus pour en cas où…
A suivre ... p’t-être
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Bien sûr elle n’accepta ni la trahison ni ce dernier affront…
Le cœur déchiré, elle divorça et eut la garde des enfants ainsi qu’une pension alimentaire conséquente qui ajoutée à ce que lui versait sa famille assez fortunée la mettait elle et les enfants à l’abri du besoin.
Comme la Villa était inscrite aux noms de Mr et Mme, elle ne chercha pas à quitter les lieux et s’installa au 1er étage avec ses enfants.
La vie continuait. Moins sereine, plutôt douloureuse, mais elle continuait… Parfois, elle " LES " entendait rire aux éclats et arrive même à imaginer son ex-mari "LUI" raconter les histoires drôles qu’elle-même lui avait apprises … Ces éclats de rire se terminaient généralement par des gloussements significatifs.
A ces moments là, elle ne pouvait s’empêcher de frissonner de tout son corps…
Cela la déchirait au plus profond et lui donnait l’impression que des milliers de lames tranchaient dans sa chaire… ce n’est pas de la jalousie qu’elle éprouvait se disait-elle, mais une sensation inexplicable, poignante, très douloureuse étreignait son cœur. Elle la poussait à se rappeler le fil de sa vie, ses 16 années de mariage qu’elle croyait pour la vie, la conception et la naissance des gosses y compris les douleurs de l’enfantement propres à chacun.
IL lui arrivait de succomber au dépit et laisser ses larmes couler, mais tout de suite sa fierté bafouée reprenait le dessus et se disait mais qu’est ce que j’ai perdu si ce n’est un traitre, kheda3, indigne de ce que je lui ai tout donné.
Finalement, moi, j’ai gagné 3 superbes gosses, mais lui qu’est ce qu’il a gagné en cette pimbêche perchée sur deux branches dont le seul atout est une belle chevelure avec de belles mèches rebelles admettait-elle. Aucune classe poursuivait-elle, une arriviste qui za3ma marche en chaloupant de manière prétentieuse et vulgaire à la manière de ces mannequins de 4e rang.
Durant les mois qui suivirent, elle évita de croiser l’une ou l’autre de peur de ne pouvoir supporter le poids de leur regard sur " la délaissée ". A partir du jardin, elle aménagea une entrée particulière qui la menait directement dans sa cuisine..
"L’AUTRE" tomba enceinte et ne manqua pas de tout faire pour lui exhiber sa grossesse devenue apparente… le couple entra dans la routine et on l’entendit de plus en plus souvent se quereller. Sa grossesse étant avancée, la femme partit … on ne sait où.
Un jour Sarah vint et lui dit : m’man, papa voudrait que je lui ramène un peu de ce qu’il y’a à manger chez nous… il dit qu’il en a senti la bonne odeur qui émanait de la cuisine et qu’il en voudrait si toi, tu me le permettais…
Bien sûr ! on ne peut refuser un repas à un homme qui a faim, à fortiori si cet homme est le père de vos enfants… Il prit l’habitude et notre fille Sarah se chargeait de cette tâche… En retour, elle ramenait des quantités de desserts que j’avais énergiquement refusés au début, mais Sarah disait que c’était son père aussi malgré tout et qu’elle n’y’avait aucune raison pour elle de les refuser.
D’ailleurs, il faut reconnaitre qu’à certaines occasions, profitant de son droit de visite, il emmenait les enfants dans les meilleurs magasins où ils revenaient avec des cadeaux aussi onéreux que variés. Je ne pouvais les empêcher bien sûr et je m'en suis faite une raison finit elle par avouer…
Trois mois que cela durait, un vendredi de novembre, il revint avec sa femme portant son bébé emmitouflé … Sarah n’en continua pas moins à lui ramener son repas auquel il s’est habitué, elle en rajouta même un peu plus pour en cas où…
A suivre ... p’t-être
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