Tweet
Le secrétaire général du MPA et ministre du Commerce, Amara Benyounès met en garde le Maroc et propose à Mohamed VI l’aide de l’Algérie pour résoudre les problèmes économiques et sociaux du royaume.
« Nous nous sommes tus pendant longtemps. On se tait et eux insultent. On se tait et eux brûlent notre drapeau », a déploré M. Benyounès lors du Conseil national de son parti. « Il faut qu’ils comprennent qu’ils ont un grand pays à l’est qui s’appelle l’Algérie, qui a arraché son indépendance avec le sang et les armes », a-t-il ajouté sur un ton de mise en garde.
Le patron du MPA rappelle le soutien total de l’Algérie au Sahara occidental. « On demande au Maroc et à Mohamed VI de ne pas trop mélanger les cartes. Il a des problèmes internes qu’on connaît, des problèmes politiques, économiques et sociaux. Si on peut l’aider à régler ces problèmes, mais il se trompe s’il veut faire de l’Algérie le principal problème du Maroc », a-t-il souligné.
« La chance d’avoir Bouteflika ! »
Benyounès a commenté la situation en Libye, au Mali et en Syrie, un pays qui, selon lui « n’existe plus ». Il a ensuite évoque l’Égypte où il était en déplacement cette semaine. « Les choses commencent à évoluer mais ils (les Égyptiens) ont des problèmes sécuritaires très importants. Quand quelqu’un se balade au Caire, il se rappellera Alger, Oran et Constantine dans les années 1990 », a-t-il affirmé.
Pour lui, l’Algérie vit dans un environnement régional « dangereux » qui menace « sa stabilité ». « Nous avons une grande chance d’avoir, en ce moment, comme président de la République, Abdelaziz Bouteflika ! Je vous jure que quand on part à l’étranger et on entend comment les présidents des pays parlent du président Bouteflika, la considération et le respect qu’ils ont pour lui, je suis fier qu’il soit notre président. »
Le patron du MPA se réjouit « du succès d’un parti démocratique en Tunisie dans les élections législatives. On attend les élections présidentielles, fin novembre et on leur souhaite succès et stabilité », a-t-il déclaré. « C’est grâce au président Bouteflika qui a contribué à ce que les élections (en Tunisie) soient démocratiques et transparentes », a-t-il ajouté.
tsa
« Nous nous sommes tus pendant longtemps. On se tait et eux insultent. On se tait et eux brûlent notre drapeau », a déploré M. Benyounès lors du Conseil national de son parti. « Il faut qu’ils comprennent qu’ils ont un grand pays à l’est qui s’appelle l’Algérie, qui a arraché son indépendance avec le sang et les armes », a-t-il ajouté sur un ton de mise en garde.
Le patron du MPA rappelle le soutien total de l’Algérie au Sahara occidental. « On demande au Maroc et à Mohamed VI de ne pas trop mélanger les cartes. Il a des problèmes internes qu’on connaît, des problèmes politiques, économiques et sociaux. Si on peut l’aider à régler ces problèmes, mais il se trompe s’il veut faire de l’Algérie le principal problème du Maroc », a-t-il souligné.
« La chance d’avoir Bouteflika ! »
Benyounès a commenté la situation en Libye, au Mali et en Syrie, un pays qui, selon lui « n’existe plus ». Il a ensuite évoque l’Égypte où il était en déplacement cette semaine. « Les choses commencent à évoluer mais ils (les Égyptiens) ont des problèmes sécuritaires très importants. Quand quelqu’un se balade au Caire, il se rappellera Alger, Oran et Constantine dans les années 1990 », a-t-il affirmé.
Pour lui, l’Algérie vit dans un environnement régional « dangereux » qui menace « sa stabilité ». « Nous avons une grande chance d’avoir, en ce moment, comme président de la République, Abdelaziz Bouteflika ! Je vous jure que quand on part à l’étranger et on entend comment les présidents des pays parlent du président Bouteflika, la considération et le respect qu’ils ont pour lui, je suis fier qu’il soit notre président. »
Le patron du MPA se réjouit « du succès d’un parti démocratique en Tunisie dans les élections législatives. On attend les élections présidentielles, fin novembre et on leur souhaite succès et stabilité », a-t-il déclaré. « C’est grâce au président Bouteflika qui a contribué à ce que les élections (en Tunisie) soient démocratiques et transparentes », a-t-il ajouté.
tsa
Commentaire