salam.
LA TRIBUNE
«Nous espérons relier davantage
l’Europe énergétique à l’Algérie»
Lundi 13 Novembre 2006
Par Yasmine Ferroukhi
C’est demain que le président du Conseil italien, M. Romano Prodi, effectuera à Alger une visite officielle de deux jours, qualifiée déjà de stratégique. Et pour cause, puisqu’elle verra la signature d’un mémorandum d’entente sur lequel les deux gouvernements, à travers leurs ministres respectifs mais aussi leurs représentations diplomatiques, ont planché plusieurs mois durant, tel que nous le confie le représentant diplomatique de l’Italie à Alger, M. Giovanni Batista Verderame, dans un entretien accordé à la Tribune. Un autre engagement qui vient non seulement consolider les liens économiques, mais surtout aborder largement des questions politiques, transcendant les relations bilatérales, pour atteindre nécessairement des dimensions régionale et internationale. Bien sûr, les questions énergétiques, de portée stratégique non seulement pour l’Italie mais pour toute l’Europe en définitive, seront au cœur de cette concertation. L’Europe qui supporte très mal sa dépendance énergétique vis-à-vis des gros producteurs que sont la Russie mais aussi l’Algérie, est toujours à la
recherche d’une politique énergétique pour une meilleure sécurisation de ses besoins.
Y. F.
LA TRIBUNE
«Nous espérons relier davantage
l’Europe énergétique à l’Algérie»
Lundi 13 Novembre 2006
Par Yasmine Ferroukhi
C’est demain que le président du Conseil italien, M. Romano Prodi, effectuera à Alger une visite officielle de deux jours, qualifiée déjà de stratégique. Et pour cause, puisqu’elle verra la signature d’un mémorandum d’entente sur lequel les deux gouvernements, à travers leurs ministres respectifs mais aussi leurs représentations diplomatiques, ont planché plusieurs mois durant, tel que nous le confie le représentant diplomatique de l’Italie à Alger, M. Giovanni Batista Verderame, dans un entretien accordé à la Tribune. Un autre engagement qui vient non seulement consolider les liens économiques, mais surtout aborder largement des questions politiques, transcendant les relations bilatérales, pour atteindre nécessairement des dimensions régionale et internationale. Bien sûr, les questions énergétiques, de portée stratégique non seulement pour l’Italie mais pour toute l’Europe en définitive, seront au cœur de cette concertation. L’Europe qui supporte très mal sa dépendance énergétique vis-à-vis des gros producteurs que sont la Russie mais aussi l’Algérie, est toujours à la
recherche d’une politique énergétique pour une meilleure sécurisation de ses besoins.
Y. F.