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Cancer : il n'y a pas que la radio et la chimio

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  • Cancer : il n'y a pas que la radio et la chimio

    Il est possible d'aider les personnes atteintes d'un cancer à supporter les effets secondaires de la chimiothérapie. D'autant que cela leur donne des forces pour lutter contre la maladie

    La médecine pure et dure est nécessaire mais n'est pas tout. Il y a également les "soins oncologiques de support", un terme que pourtant seuls 34% des patients atteints d'un cancer disent avoir déjà entendu, révèle ce mardi 18 novembre un sondage réalisé pour l'Association francophone pour les soins oncologiques de support (Afsos). Pourtant, il s'agit de soins essentiels, pas seulement au stade palliatif mais tout au long de la maladie.


    "Pour guérir d'un cancer, il ne suffit pas d'opérer, de faire de la radiothérapie, de la chimiothérapie", souligne le professeur Jean Lacau Saint-Guily, président du réseau régional de cancérologie d'Ile-de-France (Oncorif). C'est pour cela que le premier Plan cancer (2003-07) mentionnait ces soins complémentaires, insistant sur la prise en compte de la douleur et le soutien psychologique aux patients. Une importance également soulignée par le Plan 2014-19 (ici en PDF).

    La fatigue, première plainte des patients

    "L'association conjointe des traitements spécifiques et de l'accompagnement du patient apporte des bénéfices", ajoute auprès de metronews le docteur Florian Scotté, secrétaire général de l'Afsos. Être à l'écoute des souffrances des malades améliore en effet le pronostic de survie. "Plus on intervient précocement, plus on augmente la qualité de vie du patient et mieux il tolère ses traitements", poursuit-il. Les équipes curatives et de soins de support évaluent conjointement les souffrances du malade, afin ensuite de lui proposer des solutions.

    "La fatigue est la première plainte des patients", rappelle l'oncologue. Plus de huit patients sur dix la ressentent en cours de traitement et au moins un tiers une fois qu'il est fini. Les professionnels de santé peuvent agir sur les causes de cette fatigue, en rechargeant par exemple en fer les personnes souffrant d'anémie (par le biais d'injections d'EPO si la chimiothérapie a toujours lieu), ou en proposant une prise en charge psychologie, la fatigue pouvant aussi être un symptôme dépressif.

    Lutter contre les nausées et la douleur

    Les nausées et les vomissements ne sont pas non plus une fatalité. "On parvient avec de nouvelles molécules à des résultats impressionnants : on évite les vomissements chez neuf patients sur dix." En cas de perte de poids, les malades peuvent aussi être orientés vers une consultation diététique.

    Dans les situations de souffrance sociale, par exemple une femme seule avec des enfants, la patiente pourra faire part de ses besoins à une assistante sociale. Pour lutter contre la douleur, une activité physique adaptée peut être proposée. "Cela permet au patient de se remettre dans le circuit de vie, de prendre le dessus sur la maladie."

    L'épreuve du retour à domicile

    Outre les effets indésirables des traitements, les malades doivent également affronter une autre épreuve : celle du retour à domicile. Retourner travailler, retrouver une vie de couple et savoir vers qui se tourner n'est pas évident.

    Ainsi, seuls 14% des patients ont choisi par eux-mêmes de suivre en ville des consultations de soins de support, de la kinésithérapie au suivi psychologique. Pour accéder à ce type de consultation en dehors de l'hôpital, demandez conseil à votre médecin traitant, qui vous orientera vers les professionnels de santé à même de vous aider.

    Metronews

  • #2
    Allah yachfi lmarda .

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    • #3
      Je trouve un décalage entre la réalité et l article.

      De plus en plus de chimio et radiotheraphie sont faites de maniére ambulantes: le patien rentre chez lui aprés le traitement.

      Contre les effets secondaires, il y a encore bcp á faire.....
      Always on the sunny side.....

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      • #4
        Contrairement a ce que dit l'article ces soins sont proposé de manière systématique aux patients ou du moins les patients comportant un traitement lourd souvent chir et chimio, sur certains cas c'est les patients qui refusent et parce que il y a qqpart un refus de la maladie ce qui est légitime, il y a aussi la fatigue thérapeutique.
        Ce qu'il faut prendre en compte dans ces types de prise en charge les moyens des établissements, souvent c'est proposé par des organismes spécialisés dans ce type de pathologie et les moyens viennent d'organismes prives en grande partie.
        L'expérience est un professeur cruel qui vous fait passer l'examen avant de vous avoir expliqué la leçon

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        • #5
          envoyé par Frieda
          Je trouve un décalage entre la réalité et l article.
          effectivement Frieda c'est ce que j'avais noté, car lorsqu'on dit qu'il n'y a pas que la radiotherapie je suppose c'est ce que tu voulais dire Hadou et la chimiotherapie , cela sous entends qu'il y a un autre choix de protocol de soins or ce n'est pas le cas, le reste dans nous parle ce professeur est un suppletif à la chimio ou la radiotherapie, un cancer diagnostiquer ne se traite pas par de la psychologie ou l'apport d'une assistante sociale, le suppletif que tu cite haddou traite uniquement les effets secondaires de chimiotherapie et de la radiotherapie, les vommissement font souevnt suite au traitement de la chimiotherapie etc

          De plus en plus de chimio et radiotheraphie sont faites de maniére ambulantes: le patien rentre chez lui aprés le traitement.
          effectivement il y a eu des progres enorme , les soins se font en ambulatoire et a ce propos il y a dans les structures de cancerologie des unités appelé hopitale de jour c'est des prises en charge de jour ou il est pratiqué des seances d'adminsitration de chimiotherapie , de consulatations avec des cancerologues dans le cadre du suivi de l'evolution du cancer, il s'y pratique des examens complementaires tel des bilans comme les myelogrammes et les biopsies osteo medullaire ainsi que des prises de sang,des entretiens avec des psychologues , cela permet au patient de beneficier d'une prsie en charge globale sans les contraintes du sejour hospitalier, car le soir apres cette batterie d'examen et de soins le aptient est chez lui dans sa famille

          Contre les effets secondaires, il y a encore bcp á faire.....
          il y a beaucoup à faire car la maitrise des protocols n'est pas encore fiable , et c'est d'ailleurs tout l'enjeu de cette affection apres la decision du staff technique un protocol de soin est établie par les cancerologues, pour la meme semiologie et les memes signes diagnostiquer chez deux patients le protocol vancouver va donner des resultats dans la durée previsionnelle definie par le staff , alors qu'on obteint aucune amélioration chez le second patient, d'ou la necessité urgente de rediscuter le cas et de proposer un autre protocol, c'est le meme principe pour les effets secondaires, on va avoir un patient pour les produits chimiques , qui va perdre tous ses cheveux et l'autre non , un autre patient qui va vomir tripe et boyau, alors qu'un autre patient va retrouver l'appetit

          s'il pouvait avoir maitrise totale des effets secondaires, et je pense que s'ils arriverons a savoir comment la mollecule chimique pourrait provoquer toutes ses manifestations secondaires il sera plus facile au cancerologue de comprendre avec methodologie et non tatonnement ce qui est le cas aujourd'hui, l'action therapeutique de la molecule chimique sur les elments intrinseques de la cellule cancereuse

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