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(Agence Ecofin) - Le spécialiste français de la maintenance industrielle Atem (Ateliers de Travaux Electromécaniques du Midi) cherche à se développer en Afrique à travers sa filiale marocaine installée à Casablanca, rapporte le quotidien économique Les Echos le 19 novembre.
La présence de l’entreprise au Maroc lui permet de prospecter le continent, où se trouvent d'importants potentiels de maintenance industrielle, et de répondre localement à des appels d'offres en proposant des tarifs de prestation de 25 % inférieurs à ceux de ses concurrents étrangers. «Le Maroc, c'est un peu l'Allemagne africaine, dotée de réseaux institutionnels efficaces», confie Thierry Modica (photo), à la tête de la Scop Atem.
Au Sénégal, l'entreprise a été retenue dans le cadre d'un appel d'offres international par le fournisseur national d'électricité Senelec pour remettre en état un ensemble des turbines dans sa centrale de Dakan. D'autres contrats sont en négociation au Gabon et en Côte d'Ivoire, où Atem cible notamment les producteurs d'énergie, cimentiers et exploitants de mines. La société espère également y vendre ses nouvelles compétences dans la maintenance d'hélices de propulsion, qu'elle a renforcée par l'acquisition de l'entreprise toulonnaise Tech-Hélice, spécialisée dans la maintenance navale.
Selon M. Modica la filiale marocaine d’Atem développe, par ailleurs, son savoir-faire sur des marchés de niche dans les domaines de l'expertise vibratoire, l'équilibrage ou le rechargement thermique dont ont besoin par exemple les turbines de l'industrie pétrochimique, agroalimentaire et nucléaire.
La présence de l’entreprise au Maroc lui permet de prospecter le continent, où se trouvent d'importants potentiels de maintenance industrielle, et de répondre localement à des appels d'offres en proposant des tarifs de prestation de 25 % inférieurs à ceux de ses concurrents étrangers. «Le Maroc, c'est un peu l'Allemagne africaine, dotée de réseaux institutionnels efficaces», confie Thierry Modica (photo), à la tête de la Scop Atem.
Au Sénégal, l'entreprise a été retenue dans le cadre d'un appel d'offres international par le fournisseur national d'électricité Senelec pour remettre en état un ensemble des turbines dans sa centrale de Dakan. D'autres contrats sont en négociation au Gabon et en Côte d'Ivoire, où Atem cible notamment les producteurs d'énergie, cimentiers et exploitants de mines. La société espère également y vendre ses nouvelles compétences dans la maintenance d'hélices de propulsion, qu'elle a renforcée par l'acquisition de l'entreprise toulonnaise Tech-Hélice, spécialisée dans la maintenance navale.
Selon M. Modica la filiale marocaine d’Atem développe, par ailleurs, son savoir-faire sur des marchés de niche dans les domaines de l'expertise vibratoire, l'équilibrage ou le rechargement thermique dont ont besoin par exemple les turbines de l'industrie pétrochimique, agroalimentaire et nucléaire.
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