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Christian Gourcuff était très déçu après avoir perdu son premier match avec les Verts. Il a déclaré à la presse qu’il assumait complètement la responsabilité de cette défaite : «On est passés tout simplement à côté de notre match, notamment en première mi-temps. C’est ma faute, j’ai procédé à des changements dans l’effectif. On n’a pas su tenir face à cette équipe malienne. Si je n’ai pas fait des changements, on aurait dit pourquoi je n’ai pas fait des changements. On a subi la pression des Maliens et ce deuxième but nous a scié les jambes.»
«Je commence à découvrir l’arbitrage africain»
Christian Gourcuff n’a pas manqué l’occasion de critiquer l’arbitrage, qui, selon lui, n’a pas été à la hauteur : «Je commence à découvrir l’arbitrage africain. Lors du match de l’Ethiopie, j’avais déjà parlé de l’arbitrage, mais cette fois-ci, c’est pire. L’arbitrage nous a tout simplement lésés. J’estime qu’il n’y avait pas de faute lors du penalty. Ça a tout changé. Je ne remets pas en cause les performances des Maliens qui ont été supérieurs à nous, mais je pense que l’arbitre n’a pas tenu son rôle comme il se doit.»
«Les changements opérés en deuxième mi-temps ont stabilisé l’équipe»
Christian Gourcuff estime que les changements opérés en seconde période ont tout simplement stabilisé l’équipe. L’entrée des Taïder, Mahrez et Brahimi a apporté une certaine stabilité dans le jeu des Fennecs : «Les changements que nous avons opérés en deuxième mi-temps ont tout simplement stabilisé le jeu. Nous avons pris le contrôle du jeu, sans pour autant créer du danger. Je pense que c’est le seul point noir. On ne mettra pas tout sur le dos de l’arbitre comme je vous ai dit. On n’a pas été bons lors de ce match. On est passés à côté et c’est vraiment dommage ! On voulait à tout prix enchaîner avec un sixième succès.»
«Il fallait procéder à des changements sachant que Brahimi était blessé»
Gourcuff explique les changements opérés dans le onze type : «Je n’étais pas obligé de faire des changements, mais il fallait quand même le faire. Il fallait donner la chance à d’autres joueurs. J’ai aussi décidé de laisser Yacine Brahimi sur le banc de touche, après qu’il a ressenti des douleurs au niveau des adducteurs. Je pense que l’entrée de Brahimi a stabilisé beaucoup notre jeu, ce qui est tout à fait logique du fait qu’il s’agit d’une pièce maîtresse dans notre équipe.»
«A Blida, on a été supérieurs au Mali»
Un confrère malien a tenu à dire à Gourcuff : «Vous parlez de l’arbitrage, mais vous avez oublié le but que l’Algérie avait marqué lors du match aller, c’était une position de hors-jeu.» Mécontent et en colère, Gourcuff répond au journaliste : «Si vous avez bien entendu ce que j’ai dit, vous n’aurez jamais dit ça. Le Mali mérite amplement sa victoire parce qu’il a été supérieur à nous sur le terrain, mais l’arbitre nous a scié les jambes. Vous parlez du match, tout le monde a vu qu’on a été supérieurs au Mali et de loin.»
«Pour gagner la CAN, il faut battre les grandes équipes»
La dernière question posée à Gourcuff, c’est celle du chapeau dont sera l’EN pour le tirage au sort de la CAN. Le sélectionneur national n’est pas dans la gêne du fait que l’EN soit dans le troisième chapeau : «Pour moi, être dans le troisième chapeau ou un autre, le problème ne se pose pas du tout. Pour remporter la CAN, je pense qu’il faut à tout prix battre les grandes équipes.»
source: le buteur (menteur)
«Je commence à découvrir l’arbitrage africain»
Christian Gourcuff n’a pas manqué l’occasion de critiquer l’arbitrage, qui, selon lui, n’a pas été à la hauteur : «Je commence à découvrir l’arbitrage africain. Lors du match de l’Ethiopie, j’avais déjà parlé de l’arbitrage, mais cette fois-ci, c’est pire. L’arbitrage nous a tout simplement lésés. J’estime qu’il n’y avait pas de faute lors du penalty. Ça a tout changé. Je ne remets pas en cause les performances des Maliens qui ont été supérieurs à nous, mais je pense que l’arbitre n’a pas tenu son rôle comme il se doit.»
«Les changements opérés en deuxième mi-temps ont stabilisé l’équipe»
Christian Gourcuff estime que les changements opérés en seconde période ont tout simplement stabilisé l’équipe. L’entrée des Taïder, Mahrez et Brahimi a apporté une certaine stabilité dans le jeu des Fennecs : «Les changements que nous avons opérés en deuxième mi-temps ont tout simplement stabilisé le jeu. Nous avons pris le contrôle du jeu, sans pour autant créer du danger. Je pense que c’est le seul point noir. On ne mettra pas tout sur le dos de l’arbitre comme je vous ai dit. On n’a pas été bons lors de ce match. On est passés à côté et c’est vraiment dommage ! On voulait à tout prix enchaîner avec un sixième succès.»
«Il fallait procéder à des changements sachant que Brahimi était blessé»
Gourcuff explique les changements opérés dans le onze type : «Je n’étais pas obligé de faire des changements, mais il fallait quand même le faire. Il fallait donner la chance à d’autres joueurs. J’ai aussi décidé de laisser Yacine Brahimi sur le banc de touche, après qu’il a ressenti des douleurs au niveau des adducteurs. Je pense que l’entrée de Brahimi a stabilisé beaucoup notre jeu, ce qui est tout à fait logique du fait qu’il s’agit d’une pièce maîtresse dans notre équipe.»
«A Blida, on a été supérieurs au Mali»
Un confrère malien a tenu à dire à Gourcuff : «Vous parlez de l’arbitrage, mais vous avez oublié le but que l’Algérie avait marqué lors du match aller, c’était une position de hors-jeu.» Mécontent et en colère, Gourcuff répond au journaliste : «Si vous avez bien entendu ce que j’ai dit, vous n’aurez jamais dit ça. Le Mali mérite amplement sa victoire parce qu’il a été supérieur à nous sur le terrain, mais l’arbitre nous a scié les jambes. Vous parlez du match, tout le monde a vu qu’on a été supérieurs au Mali et de loin.»
«Pour gagner la CAN, il faut battre les grandes équipes»
La dernière question posée à Gourcuff, c’est celle du chapeau dont sera l’EN pour le tirage au sort de la CAN. Le sélectionneur national n’est pas dans la gêne du fait que l’EN soit dans le troisième chapeau : «Pour moi, être dans le troisième chapeau ou un autre, le problème ne se pose pas du tout. Pour remporter la CAN, je pense qu’il faut à tout prix battre les grandes équipes.»
source: le buteur (menteur)
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