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En plus de l'emploi que va creer cette derniere, les wilayas du Sud vont bénéficier des produits pétroliers de cette infrastructure.
La raffinerie d’Adrar, projet d’envergure réalisé par la société nationale des hydrocarbures Sonatrach en partenariat avec la société chinoise CNPC, connaît un état d’avancement appréciable. Les travaux de la raffinerie sont, en effet, réalisés à hauteur de 98 %, tandis que ceux de la base de vie le sont à hauteur de 60 %, selon les déclarations du directeur général adjoint de l’entreprise chinoise Soralchin.
Cette raffinerie, d’une capacité de traitement de 600 000 tonnes de pétrole brut par an, produira divers produits à partir d’hydrocarbures, dont le gaz propane, le gaz butane, le kérosène, l’essence normale, l’essence super et l’essence sans plomb, ainsi que le gasoil.
Elle sera gérée par des experts algériens et chinois. Dans ce sens, le même responsable a indiqué que sa société a lancé au début de l’année en cours une campagne de formation qui a regroupé 160 jeunes pour assurer différentes fonctions (agents de sécurité industrielle, techniciens, laborantins, opérateurs d’exploitation et de maintenance, etc.).
La sélection des effectifs de la raffinerie s’est faite essentiellement dans les wilayas d’Adrar, Béchar et Naâma. Pour les services administratifs, le directeur général adjoint a en outre révélé qu’une première phase de recrutement est en cours, en collaboration avec la direction de l’emploi d’Adrar et de l’Agence nationale de l’emploi et de la main-d’œuvre.
La raffinerie, qui devrait entrer en phase de test dès son achèvement, emploiera plus de 200 jeunes Algériens. Les produits fabriqués dans cette nouvelle raffinerie seront commercialisés dans plusieurs wilayas du Sud, à savoir Adrar, Béchar, Tindouf et Tamanrasset, dont l’approvisionnement en produits pétroliers s’effectue par rails et par routes à des coûts élevés.
S’agissant de l’impact économique de cette infrastructure, la même source a affirmé que sa réalisation a induit une forte demande en matériaux de construction et en produits alimentaires (plus de 20 000 Chinois travaillent dans cette raffinerie), ainsi qu’une forte demande auprès des transporteurs et des propriétaires d’engins de travaux publics.
Il convient de rappeler que le montant d’investissement de ce grand projet est de 167 millions de dollars. Le financement de Sonatrach dans ce projet atteint 30 % en dinars et celui de la société chinoise 70 % en dollars.
- Le Jeune Independant
La raffinerie d’Adrar, projet d’envergure réalisé par la société nationale des hydrocarbures Sonatrach en partenariat avec la société chinoise CNPC, connaît un état d’avancement appréciable. Les travaux de la raffinerie sont, en effet, réalisés à hauteur de 98 %, tandis que ceux de la base de vie le sont à hauteur de 60 %, selon les déclarations du directeur général adjoint de l’entreprise chinoise Soralchin.
Cette raffinerie, d’une capacité de traitement de 600 000 tonnes de pétrole brut par an, produira divers produits à partir d’hydrocarbures, dont le gaz propane, le gaz butane, le kérosène, l’essence normale, l’essence super et l’essence sans plomb, ainsi que le gasoil.
Elle sera gérée par des experts algériens et chinois. Dans ce sens, le même responsable a indiqué que sa société a lancé au début de l’année en cours une campagne de formation qui a regroupé 160 jeunes pour assurer différentes fonctions (agents de sécurité industrielle, techniciens, laborantins, opérateurs d’exploitation et de maintenance, etc.).
La sélection des effectifs de la raffinerie s’est faite essentiellement dans les wilayas d’Adrar, Béchar et Naâma. Pour les services administratifs, le directeur général adjoint a en outre révélé qu’une première phase de recrutement est en cours, en collaboration avec la direction de l’emploi d’Adrar et de l’Agence nationale de l’emploi et de la main-d’œuvre.
La raffinerie, qui devrait entrer en phase de test dès son achèvement, emploiera plus de 200 jeunes Algériens. Les produits fabriqués dans cette nouvelle raffinerie seront commercialisés dans plusieurs wilayas du Sud, à savoir Adrar, Béchar, Tindouf et Tamanrasset, dont l’approvisionnement en produits pétroliers s’effectue par rails et par routes à des coûts élevés.
S’agissant de l’impact économique de cette infrastructure, la même source a affirmé que sa réalisation a induit une forte demande en matériaux de construction et en produits alimentaires (plus de 20 000 Chinois travaillent dans cette raffinerie), ainsi qu’une forte demande auprès des transporteurs et des propriétaires d’engins de travaux publics.
Il convient de rappeler que le montant d’investissement de ce grand projet est de 167 millions de dollars. Le financement de Sonatrach dans ce projet atteint 30 % en dinars et celui de la société chinoise 70 % en dollars.
- Le Jeune Independant
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