Le sociologue algérien Ali El-Kenz a indiqué dans un message adressé à un universitaire, membre du Front des Forces Socialistes qu'il soutenait "entièrement la démarche entamée par le FFS".
Engagé dans une démarche visant à convaincre le pouvoir et les différents acteurs politiques et sociaux à aller vers une conférence pour "consensus national", le FFS essuie de vives critiques de la part de la CNLTD (Coordination nationale pour la Liberté et la Transition démocratique).
La CNLTD qui réclame des élections présidentielles anticipées considère qu'il n'existe pas sur la scène politique d'initiative viable autre que la sienne.
Ses membres parmi lesquels on retrouve le RCD, le MSP et d'anciens chefs de gouvernement (Benflis, Benbitour, Sifi, Ghozali) accusent le FFS de faire le "jeu du pouvoir" et de "diviser l'opposition".
Ali El Kenz est d'un autre avis. Il exprime son soutien à la démarche entamée par le FFS en relevant que la "sagesse politique qu'il a montré par le passé, notamment avant le désastre de 1992, est un nième exemple de cette clairvoyance qui le caractérise".
Le sociologue ne cache pas sa méfiance à l'égard du "radicalisme" des opposants rassemblés au sein de la CNLTD.
"Il me semble urgent de protéger notre pays des ambitions de formations politiques pressées qui, comme dans le film de Zorba le Grec, se bousculent autour d'une république usée".
Ali El Kenz évoque aussi la nécessité de protéger le pays des "dynamiques extérieures qui attendent et espèrent ramener ce pays à une meilleure docilité vis-à-vis de leurs intérêts politiques et stratégiques mais aussi économiques". Le sociologue appelle à "tenir la route, plus que jamais dans cette période, aux horizons incertains mais aux enjeux clairs".
huffpost maghreb
Engagé dans une démarche visant à convaincre le pouvoir et les différents acteurs politiques et sociaux à aller vers une conférence pour "consensus national", le FFS essuie de vives critiques de la part de la CNLTD (Coordination nationale pour la Liberté et la Transition démocratique).
La CNLTD qui réclame des élections présidentielles anticipées considère qu'il n'existe pas sur la scène politique d'initiative viable autre que la sienne.
Ses membres parmi lesquels on retrouve le RCD, le MSP et d'anciens chefs de gouvernement (Benflis, Benbitour, Sifi, Ghozali) accusent le FFS de faire le "jeu du pouvoir" et de "diviser l'opposition".
Ali El Kenz est d'un autre avis. Il exprime son soutien à la démarche entamée par le FFS en relevant que la "sagesse politique qu'il a montré par le passé, notamment avant le désastre de 1992, est un nième exemple de cette clairvoyance qui le caractérise".
Le sociologue ne cache pas sa méfiance à l'égard du "radicalisme" des opposants rassemblés au sein de la CNLTD.
"Il me semble urgent de protéger notre pays des ambitions de formations politiques pressées qui, comme dans le film de Zorba le Grec, se bousculent autour d'une république usée".
Ali El Kenz évoque aussi la nécessité de protéger le pays des "dynamiques extérieures qui attendent et espèrent ramener ce pays à une meilleure docilité vis-à-vis de leurs intérêts politiques et stratégiques mais aussi économiques". Le sociologue appelle à "tenir la route, plus que jamais dans cette période, aux horizons incertains mais aux enjeux clairs".
huffpost maghreb
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