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L'histoire qui attend sa ... morale
L’histoire se passait dans un pays lointain dont je n’vous dirais pas le nom mais où les hivers étaient d’une rudesse particulièrement...rudeoeilfermé
On était justement en hiver.
Par une journée triste, le froid était si intense que même les corbeaux n'osaient pas prendre vol. Les pÔvres se contentaient de sautiller maladroitement d’une branche à une autre en fouinant de leurs becs entre les écorces fendues des arbres pour chercher leur pitance. N’importe quelle larve faisait leur bonheur de corbeaux.
Je vous dis cela juste pour le décors de la scène.
La-bas, dans la vallée, en contrebas de la montagne aux neiges éternelles où les différentes meutes de loups se disputaient domaines et charognes, vivait un troupeau de vaches par monsieur taureau protégées. Vous vous en doutez, il avait des cornes grandes comme ça...
Un jour, tenté par des brins d’herbe verts et tendres, il s’aventura à la lisière de la forêt qui était mitoyenne de sa vallée. Il marchait d'un pas lourd et nonchalant: Bang! Bang!...
Jusqu’à ce qu’il trouva entre les brindilles mortes un pÔvre p’tit moineau mouillé et transit par le froid . Il était mourant...
Le pÔvre taureau qui avait aussi un cœur bon comme ça eut pitié de lui, il eut même une larme accompagnée d'un snif! émouvant…
Se grattant sa grÔsse tête avec le sabot de sa patte droite, il se demanda comment pourrait-il bien aider le petit mourant... Il l’abandonna un court moment pour faire des " va et vient " et soudain, il eut l’idée, non! mais que dis-je !? ... Plutôt un éclair illumina son grand cerveau de taureau:
Il leva sa lourde et longue queue et ...Splash! sur titi.
Un court moment après, ragaillardi par cette chaleur inattendue, remis à son aise, le mourant se remit à piaffer: recuicui! recuicui!...
le taureau satisfait et l'âme en paix continua son chemin en faisant toujours entendre ses bang! Bang!...
J’allais oublier de vous dire que dans la forêt proche de la vallée, domaine de monsieur Taureau, vivait un méchant et cruel loup. Lui aussi, avait des crocs longs et acérés comme ça.
Pour la petite histoire, c'était le grand père du loup cité dans l'autre... histoire, celle du petit chaperon rouge ...
Pour revenir au méchant loup de notre histoire, sevré malgré lui de la chair douce et tendre des faons protégés par leurs pères les élans à cornes multiples et acérés, il était lui aussi, le pÔvre tellement affamé que presque toutes les larves de la forêt, émues se proposèrent en sacrifice pour apaiser sa faim.
Mais rien n'y fait.
Son estomac criant à juste raison famine le poussa vers la vallée... Et c'est alors que sa bonne étoile lui fit entendre le merveilleux chant de titi qui toujours étourdi n’en continuait pas moins sa douce mélodie recui! recui!...
Vint alors le vilaain, méchaannt et cruueeel louuup, il vous prend le pÔvre titi entre ses doigts, y pris soin de le nettoyer de la bouse de monsieur taureau et...slurp! dans son … estomac
Fin.
Si toute histoire a une morale, celle qui découlerait de la mienne s'rait utile pour apprécier un geste amical...
Quelle est elle!?
On était justement en hiver.
Par une journée triste, le froid était si intense que même les corbeaux n'osaient pas prendre vol. Les pÔvres se contentaient de sautiller maladroitement d’une branche à une autre en fouinant de leurs becs entre les écorces fendues des arbres pour chercher leur pitance. N’importe quelle larve faisait leur bonheur de corbeaux.
Je vous dis cela juste pour le décors de la scène.
La-bas, dans la vallée, en contrebas de la montagne aux neiges éternelles où les différentes meutes de loups se disputaient domaines et charognes, vivait un troupeau de vaches par monsieur taureau protégées. Vous vous en doutez, il avait des cornes grandes comme ça...
Un jour, tenté par des brins d’herbe verts et tendres, il s’aventura à la lisière de la forêt qui était mitoyenne de sa vallée. Il marchait d'un pas lourd et nonchalant: Bang! Bang!...
Jusqu’à ce qu’il trouva entre les brindilles mortes un pÔvre p’tit moineau mouillé et transit par le froid . Il était mourant...
Le pÔvre taureau qui avait aussi un cœur bon comme ça eut pitié de lui, il eut même une larme accompagnée d'un snif! émouvant…
Se grattant sa grÔsse tête avec le sabot de sa patte droite, il se demanda comment pourrait-il bien aider le petit mourant... Il l’abandonna un court moment pour faire des " va et vient " et soudain, il eut l’idée, non! mais que dis-je !? ... Plutôt un éclair illumina son grand cerveau de taureau:
Il leva sa lourde et longue queue et ...Splash! sur titi.
Un court moment après, ragaillardi par cette chaleur inattendue, remis à son aise, le mourant se remit à piaffer: recuicui! recuicui!...
le taureau satisfait et l'âme en paix continua son chemin en faisant toujours entendre ses bang! Bang!...
J’allais oublier de vous dire que dans la forêt proche de la vallée, domaine de monsieur Taureau, vivait un méchant et cruel loup. Lui aussi, avait des crocs longs et acérés comme ça.
Pour la petite histoire, c'était le grand père du loup cité dans l'autre... histoire, celle du petit chaperon rouge ...
Pour revenir au méchant loup de notre histoire, sevré malgré lui de la chair douce et tendre des faons protégés par leurs pères les élans à cornes multiples et acérés, il était lui aussi, le pÔvre tellement affamé que presque toutes les larves de la forêt, émues se proposèrent en sacrifice pour apaiser sa faim.
Mais rien n'y fait.
Son estomac criant à juste raison famine le poussa vers la vallée... Et c'est alors que sa bonne étoile lui fit entendre le merveilleux chant de titi qui toujours étourdi n’en continuait pas moins sa douce mélodie recui! recui!...
Vint alors le vilaain, méchaannt et cruueeel louuup, il vous prend le pÔvre titi entre ses doigts, y pris soin de le nettoyer de la bouse de monsieur taureau et...slurp! dans son … estomac
Fin.
Si toute histoire a une morale, celle qui découlerait de la mienne s'rait utile pour apprécier un geste amical...
Quelle est elle!?