Bonsoir
Le Soir
Le remaniement du gouvernement Belkhadem devrait intervenir dans les tout prochains jours, a-t-on appris de source généralement bien informée. Ce qui n’était qu’une “rumeur récurrente “ ces derniers mois pourrait se confirmer la semaine prochaine, selon notre source, qui précise que ce remaniement “partiel” toucherait une dizaine de départements dont celui de l’Energie et des Mines.
Hanni Mostghanemi - Alger (Le Soir) - Ainsi Chakib Khelil serait “partant” parce que désavoué par l’affaire Brown Roots Condor (BRC), un groupe algéroaméricain auquel a été confiée la construction du nouveau siège du ministère de l’Energie et des Mines, sis au val d’Hydra. Pour rappel, les conclusions de l’Inspection générale des finances (IGF) — diligentée par la présidence — reprises par la presse nationale ont déterré un véritable scandale financier dans lequel se trouve impliqué le département que dirige Chakib Khelil. Ce dernier auquel, entre autres ministres en exercice, le chef de l’Etat avait reproché publiquement la double nationalité a vu son projet sur les hydrocarbures désapprouvé par le président de la République qui a décidé de son retrait, bien qu’adopté par l’APN. Pour rappel, une ordonnance présidentielle adoptée par la majorité des députés a modifié et complété la loi Chakib Khelil, sur les hydrocarbures. L’autre départ annoncé serait celui du ministre des Finances. Le départ de Mourad Medelci serait dû au retour en force de Benachenhou dont le franc-parler et les analyses, ont, dit-on, convaincu le chef de l’Etat qui s’est fait “une idée” sur la capacité de “gouverner” de ses ministres à l’issue de leurs auditions durant le mois dernier. Pour rappel, seuls deux ministres ne sont pas encore passés au tableau, ceux du Tourisme et de la Jeunesse et des Sports. Notre source n’exclut pas le fait de voir les ministères de la Santé, du Travail, de la Solidarité et même de l’Education nationale confiés à de nouvelles têtes, mais aucun nom n’a filtré. Notre source, qui croit savoir que Abdelhamid Temmar est concerné par ce remaniement évoque le retour d’anciens ministres et la “disparition” de ministères délégués, dont celui de la Ville. On s’acheminerait vers la création de grands départements ministériels. Autre départ évoqué, celui du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur. On avance le nom de Abdelmalek Sellal, pour remplacer celui, qui depuis 1999, a organisé toutes les élections. Notre source qui souligne que la répartition des portefeuilles entre les partis de l’Alliance présidentielle n’est pas encore tranchée affirme qu’elle devrait l’être avant la fin de la semaine en cours. H. M.
Le Soir
Le remaniement du gouvernement Belkhadem devrait intervenir dans les tout prochains jours, a-t-on appris de source généralement bien informée. Ce qui n’était qu’une “rumeur récurrente “ ces derniers mois pourrait se confirmer la semaine prochaine, selon notre source, qui précise que ce remaniement “partiel” toucherait une dizaine de départements dont celui de l’Energie et des Mines.
Hanni Mostghanemi - Alger (Le Soir) - Ainsi Chakib Khelil serait “partant” parce que désavoué par l’affaire Brown Roots Condor (BRC), un groupe algéroaméricain auquel a été confiée la construction du nouveau siège du ministère de l’Energie et des Mines, sis au val d’Hydra. Pour rappel, les conclusions de l’Inspection générale des finances (IGF) — diligentée par la présidence — reprises par la presse nationale ont déterré un véritable scandale financier dans lequel se trouve impliqué le département que dirige Chakib Khelil. Ce dernier auquel, entre autres ministres en exercice, le chef de l’Etat avait reproché publiquement la double nationalité a vu son projet sur les hydrocarbures désapprouvé par le président de la République qui a décidé de son retrait, bien qu’adopté par l’APN. Pour rappel, une ordonnance présidentielle adoptée par la majorité des députés a modifié et complété la loi Chakib Khelil, sur les hydrocarbures. L’autre départ annoncé serait celui du ministre des Finances. Le départ de Mourad Medelci serait dû au retour en force de Benachenhou dont le franc-parler et les analyses, ont, dit-on, convaincu le chef de l’Etat qui s’est fait “une idée” sur la capacité de “gouverner” de ses ministres à l’issue de leurs auditions durant le mois dernier. Pour rappel, seuls deux ministres ne sont pas encore passés au tableau, ceux du Tourisme et de la Jeunesse et des Sports. Notre source n’exclut pas le fait de voir les ministères de la Santé, du Travail, de la Solidarité et même de l’Education nationale confiés à de nouvelles têtes, mais aucun nom n’a filtré. Notre source, qui croit savoir que Abdelhamid Temmar est concerné par ce remaniement évoque le retour d’anciens ministres et la “disparition” de ministères délégués, dont celui de la Ville. On s’acheminerait vers la création de grands départements ministériels. Autre départ évoqué, celui du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur. On avance le nom de Abdelmalek Sellal, pour remplacer celui, qui depuis 1999, a organisé toutes les élections. Notre source qui souligne que la répartition des portefeuilles entre les partis de l’Alliance présidentielle n’est pas encore tranchée affirme qu’elle devrait l’être avant la fin de la semaine en cours. H. M.
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