Annonce

Réduire
Aucune annonce.

L’argent investit dans le pouvoir

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • L’argent investit dans le pouvoir

    L’argent investit dans le pouvoir

    El Watan le 28.11.14 | 10h00 10 réactions



    Ali Haddad succède ce jeudi 27 novembre à Réda Hamiani à la tête du FCE.


    A la faveur de quinze années de redistribution de la rente et de l’affaiblissement structurel de l’Etat, les forces de l’argent utilisent le pouvoir pour s’immiscer dans les sphères de la décision politique. Retour sur l’ascension de ces nouveaux oligarques.




    Aucune abstention, aucun vote contre. Et de toute manière, aucun candidat en face. Ce que même Abdelaziz Bouteflika ne peut pas se permettre, Ali Haddad le fait. Le secret du nouveau patron des patrons : avoir réussi à jouer dans un contexte favorable entre un pouvoir désireux de caporaliser son patronat et ses ambitions personnelles. Le patron du groupe ETRHB, réputé proche de l’entourage présidentiel, incarne une génération de chefs d’entreprise nés avec le capitalisme et gâtés par la politique redistributive de la rente menée par le chef de l’Etat depuis les années 2000. Ce que certains observateurs économiques appellent déjà «la nouvelle oligarchie» dont une bonne partie, la moins visible aussi, est liée à des réseaux d’argent… pas toujours propres.

    Cette caste n’est pourtant pas si nouvelle que ça, pour Aderrahmane Hadj Nacer, ex-gouverneur de la Banque d’Algérie, auteur de La Martingale algérienne (éd. Barzakh), son évolution — plus que son apparition — étant liée à celle de l’économie algérienne. «Lors du débat sur la Charte nationale en 1975, Boumediène avait reconnu : ‘’On ne peut pas travailler dans le miel sans y plonger son doigt.’’ Ce qui montre bien que l’argent a toujours circulé en dehors du système, pour l’enrichissement individuel mais aussi pour permettre des financements qui ne pouvaient être le fait de la comptabilité publique», relève l’ancien gouverneur de la Banque d’Algérie.

    Mais le système socialiste ne permet alors pas l’émergence d’acteurs privés. «L’économie était centralisée et la problématique démocratique n’était pas à l’ordre du jour. De ce fait, la caste ‘’politico-militaire’’ ne craignait pas les scandales et n’avait besoin que d’hommes de paille, par définition discrets», rappelle Naoufel Brahimi El Mili, docteur en sciences politiques et consultant international.

    Tycoon

    Mais le Plan d’ajustement structurel des années 90’, puis l’ouverture du marché et l’envol des prix du baril au début des années 2000 changent la donne. «Les financements exceptionnels permettent d’injecter 22 milliards de dollars entre 1994 et 1998. Alors que la compétition pour la capture des pouvoirs d’Etat fait rage entre les prétoriens, les monopoles changent de statut, passant du secteur public aux magnats privés, rappelle le politologue Mohammed Hachemaoui, qui utilise pour décrire ces derniers le concept de ‘’tycoon’’. L’appareil commercial des monopoles est ainsi remplacé par des oligopoles directement liés aux principaux chefs prétoriens. Le marché des importations, qui représente durant ces années de violence entre 10 et 11 milliards de dollars, tombe ainsi sous le contrôle de magnats liés à l’élite militaire et civile de l’Etat prétorien.»

    Dans les années 90’, «le secteur privé, issu notamment des importations, se diversifie, relève aussi Naoufel Brahimi El Mili. Apparaissent des hommes d’affaires qui bénéficient de la manne pétrolière et des dysfonctionnements plus ou moins volontaires de l’administration. Quelques cas illustrent cette situation nouvelle : des crédits bancaires généreusement accordés, certains tenants du secteur privé se trouvent avec des soutiens politiques en situation de monopole.»

    C’est à cette époque que s’installe durablement, pour l’expert, «une connivence entre l’homme politique et l’homme d’affaires, matrice de la caste politico-financière». Car en parallèle, au milieu des années 90’ et dans la tentative de reconstruction des institutions emportées par janvier 1992, les liens traditionnels du clientélisme vis-à-vis de l’ex-parti unique ont été remplacés par des liens d’affairisme entre les nouvelles castes dirigeantes politiques et les jeunes entrepreneurs. Pour autant, le politologue Tarek Alaouache refuse le terme de «connivence». «Ces privés que l’on ne voyait pas dans les années 90’ parce qu’ils étaient encore tout petits sont devenus en vingt ans des capitaines d’industrie. La reconstruction totale de l’économie dans les années 90’ exigeait l’émergence du privé, qui a développé des relations complexes avec le pouvoir. Impossible pour autant de prouver une quelconque connivence entre les deux. Issad Rebrab en est bien la preuve : il est tout à fait possible de s’enrichir sans être proche du pouvoir.»

    Boris Eltsine

    Complexes, les relations ne l’ont pas toujours été. «Jusqu’à la fin des années 1980, aucune décision ne se prenait par le fait du prince, il y avait toujours un certain équilibre des pouvoirs dans les décisions, souligne encore Abderrahmane Hadj Nacer. Ça ne veut pas dire que l’équilibre était toujours positif, mais diverses logiques (celle des ingénieurs, des rentiers, des financiers, etc.) coexistaient. On arrivait donc à un résultat, même si pas toujours optimal — parce qu’on a fait des usines de mauvaise qualité— mais où, plus ou moins, chacun se retrouvait (les planificateurs, les politiques, la création de l’emploi, la redistribution des revenus…) Il y avait différents niveaux d’ingéniérie pour préparer les décisions.»

    Problème : en 30 ans, l’Etat a perdu son ingénierie politique et financière qui permettait d’absorber aussi bien l’argent mal acquis que l’émergence d’oligarques. Si bien que les hommes d’affaires devenus milliardaires en profitant d’alliances avec le politique «cherchent aujourd’hui à perpétuer leur position et leurs richesses en influençant le pouvoir, voire en l’investissant», estime Mourad Ouchichi, enseignant en économie à l’université de Béjaïa et auteur de l’essai Les Fondements de l’économie rentière en Algérie. Le plébiscite du nouveau président du FCE ne le surprend pas : «Le régime se sent tellement fort — même si en réalité, il est très faible — qu’il ne se soucie même pas de mettre les formes. Le FCE n’est pas une organisation patronale mais un club d’hommes d’affaires qui se sont enrichis avec les marchés publics. La similitude avec l’émergence des oligarques dans la Russie de Boris Eltsine est frappante.»

    L’analogie n’a rien de rassurant pour eux. D’abord parce qu’une bonne partie de ces oligarques a été brutalement liquidée par Vladimir Poutine faute d’avoir pu trouver des arrangements. L’avenir de ces tycoons dépend donc de la capacité du système algérien à les intégrer ou de les désintégrer, comme ce fut le cas avec Khalifa. Ensuite parce que cet argent-là n’a pas la capacité politique d’avoir une base. «Les tenants de ce que j’appelle ‘’l’argent brutal’’ n’investissent pas dans l’emploi massif, ils n’ont même pas de rapports avec l’économie informelle contrairement à ce qu’on croit, en dehors de quelques grossistes — ils ne sont pas en contact avec la population, poursuit l’auteur de La Martingale algérienne. S’ils avaient l’ingénierie politique, les magnats de l’argent brutal auraient pris le pouvoir ou auraient fait des alliances avec ceux de la rente classique. A l’Indépendance, les décideurs ex-prolétaires s’étaient mariés avec les filles de la bourgeoisie des villes, et les deux parties étaient gagnantes.»

    Rapine

    Le politologue Tarek Allaouache nuance encore : «Les chefs d’entreprise dont on parle ne sont pas directement liés à la décision politique. Ils comptent, bien sûr, parce que ce sont eux qui sont censés développer le secteur privé et l’économie algérienne. Et partout dans le monde, le patronat existe pour influencer le politique. Ils peuvent donc avoir un poids consultatif mais en aucun cas décisionnaire.» Derrière leurs critiques de politique économique et leurs pressions pour arracher plus de facilités, le politologue voit donc «une rationalité économique, pas juste une volonté de rapine.»

    Si ces chefs d’entreprise veulent devenir de véritables oligarques, ils doivent d’abord, selon un cadre de l’Etat, «se poser les bonnes questions. «Ok, j’ai réglé le problème de l’accumulation de l’argent, je dois me poser deux questions : 1. Qu’est-ce que j’en fait ? 2. Qu’est-ce que ça signifie politiquement ?» Or selon lui, les capitaines d’industrie algériens n’ont «ni la capacité ni le background de se les poser. A la différence des mafiosi qui gravissent les échelons un à un avant de devenir parrain, ils n’ont pas la conscience de soi ou de classe. Ils ont juste conscience qu’ils sont à côté de Saïd Bouteflika et qu’il faut vite ramasser l’argent.» Persuadés, par ailleurs, renchérit Abderrahmane Hadj Nacer, «que la flatterie des partenaires étrangers fait d’eux des gens importants, or c’est un piège. Ce n’est pas en donnant une rétrocommission qu’on tient l’autre, bien au contraire. Regardez qui est mort, El Gueddafi ou Sarkozy ?».

    Adlène Meddi, Mélanie Matarese
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Salam...

    Comme qui dirait, un certain Professeur, le dogme et le postulat sont un véritable et charnel agglomérat...

    Depuis des connaissances naturelles et terrestres, consistantes et importantes, communes et authentiques, les valeurs des sommets, d'où qu'elles soient, et toutes aussi logiques que parfaites en la demeure et au demeurant, ne sont pas les plus interchangeables en leurs desseins, certes, mais ne laissent-elles pas opérer librement, finalement, les valeurs descendantes saisonnières et renaissantes d'une résilience majoritairement nobles et bénéfiques, se modifiant, se conformant, se réalisant en toute et bonne hauteur, profondeur, et même couleur, au fil du temps, au cœur des natures...

    La conscience, la mémoire, l'esprit, d'un ensemble unifié, composé, ou en aparté, ne destitue(nt) donc nullement l'intelligence* et les renaissances* qui se peuvent comme se doivent d'être alertes composables et renouvelables en toutes flores, en toutes faunes, en chaque raisons, de toutes façons, puisqu'elles* estiment et produisent du même combat, de la même lutte, de la seule paix, comme du seul possible et nécessaire visible et vivant d'une conscience réaliste et spectatrice, et donc humaine...

    La Spiritualité, de tout âge, de tout renouveau, de toute sensibilité, ne peut se soustraire à ce genre de processus immense et infaillible, et tant d'autres domaines, philosophiques, politiques, scientifiques,... se résolvent, (même si pas toujours aussi simplement), à chaque fois au devant de cette providence caractéristique, certainement universelle et bien fondée des constats honorables et équitables de la vie qu'elle offre encore, et toujours...

    Parvenir à concilier tous ces ensembles, tous ces éléments, toute cette vie, c'est sans doute apprécier et accorder à chacun(e) la même définitude, la toute amplitude, la seule complétude de "survie" d'un système quel qu'il soit, la raison ne pouvant être considérée comme un endroit obscur, une source fermée, un signe aléatoire au devant de chaque opportunité bienséante, à l'Humanité...

    La somme d'une chose et la chose d'une somme fixe la différence autour de la vie, et quand cette avant dernière dépasse, même un peu, cette dernière, mille et un problèmes sont en faveur d'une facétie toujours moins commune, encore plus factice...


    Salam, merci
    ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

    Commentaire


    • #3
      Le pouvoir financier et le pouvoir politique fait courir le monde depuis qu'il existe. Les frontières entre ces 2 pouvoirs sont aussi complexes que diversifiés. La particularité de l'Algérie, c'est qu'après l'indépendance, il y a eu avec le socialisme, la volonté de casser le pouvoir de l'argent, accusé de ne pas avoir d'odeur et sans saveur. Ce qui était idéologiquement cohérent, mais économiquement désastreux. Il a fallu attendre l'ouverture économique des années 90, pour que le pouvoir de l'argent recommence à se constituer, et se consolider, d'abord autours de la nomenclatura politique et militaire. L'arrivée de Bouteflika, a cassé certains monopoles privés, en démocratisant le processus, et en y ajoignant une concurrence étrangère, très mal vue par des milieux habitués à la rente de situation, et au gâteau, savament distribué. L'ambition politique de Khalifa qui a causé sa perte fut un premier avertissement vis-à-vis du pouvoir de l'argent, cependant, il n'a pas disparu, mais s'est redéployé sous d'autres formes.

      Que le pouvoir de l'argent cherche à stabiliser un pays, pour y pérenniser ses sources de revenu, un processus classique qui peut être considéré vertueux, sur certains aspects, qu'il ait des ambitions politiques, comme celles déclarées par Khalifa, plus discrètes par un Rabrab ou un Haddad, et ténébreuses chez la nomenclatura politico militaire, qui elle exerce le pouvoir, est la réalité des équilibres de pouvoir en Algérie, qui a eu besoin d'un quatrième mandat de Bouteflika, pour repenser ce partage des pouvoirs. Cependant, il est temps que le consensus entre hommes de pouvoir intègre le mouvement, car le statut quo est néfaste pour leurs intérêts, et ils en sont conscients. Il est bien temps aussi pour eux d’intégrer des règles de compétition économiques saines et honnêtes, encore à ses balbutiements en Algérie. A l'état de lever les barrières à l'entrée et à garantir une compétition saine dans l'intérêt général, et aux patrons de faire des propositions plus équilibrés entre l'intérêt général et économique et leurs intérêts personnels ou corporatistes.

      en ce sens, Hamrouche qui propose de reconstruire un consensus, un contrat social répond aux défis majeurs du moment de repenser le pouvoir en Algérie.
      Othmane BENZAGHOU

      Commentaire


      • #4
        Dans le dirigisme et le capitalisme, l'argent investit dans le pouvoir. Là, la liberté n'existe plus. Quand la liberté pèse dans le choix de vie ou de mort, le chemin est vite choisi.
        La reconduction de M. Bouteflika signifie que le pouvoir n'est plus conditionné par l'argent personnifié dans le système capitaliste, mais par une appréciation inclusive de l'influence de l'argent dans les affaires de l'État. C'est ce qui gène beaucoup de politiques DZ rêvants encore aux privilèges dirigés étatiquement.
        Ce qui est reproché aux révolutions arabes, c'est de perpétuer l'exclusivisme de l'influence de l'argent en politique.
        En Europe, le mensonge est tel que sous prétexte de solidarité, le dirigisme capitaliste donne à l'argent l'exclusivisme sur la cooptation en politique. En France, le FN, qui se voulait désargenté et populaire, est en réalité inspiré à sa base par des intérêts financiers de maintien malsain (capitalisme).
        Ce serait une classe politique difficilement intégrable pour un justicieux. Ce n'est pas être intégriste au sens dévoyé que de dire cela. C'est une vision de l'intégrité plus proche de la réalité car plus globalisante, puisque l'importance est donnée à la depersonnification des qualités essentielles. C'est le processus du Divin défendu par la République (laïque).
        Dernière modification par jour, 28 novembre 2014, 14h42.

        Commentaire


        • #5
          M. Sarkozy discourt sur les problèmes migratoires dans ls sens de la coquille vide. Il ne cherche pas la vérité, il est partisan du statuquo dans la fatalité. Pour lui, la démocratie est un prétexte de traiter dans l'urgence des lacunes politiques dans ses symptômes. Il ne proposera pas le libéralisme, il a une forte tendance à l'éradication et au mensonge. Si les Palestiniens et Lybiens s'en accommodent, c'est leur affaire. Mais, en France tout indique l'urgence des réformes pour l'équité économique et la liberté dans l'unité.
          M. Strauss-Kahn a un penchant libéral. Cependant, les aides du FMI sur fond de dirigismes le gênent et lui font parler de croissance folle. Il n'est pas pour autant partisan du statuquo, il ne veut tout simplement pas entrer dans la logique capitaliste du pourrissement qui ignore les indicateurs politiques désastreux.
          Dernière modification par jour, 28 novembre 2014, 15h23.

          Commentaire


          • #6
            >>>L’argent investit dans le pouvoir

            Le titre est vrai, par définition, un investisseur investit dans un business qui lui rapporte de l'argent mais surtout qui lui permet de perpétuer la pérennité des affaires.

            La question reste donc posée : les investisseurs algériens sont ils idiots ! si l'on prend en compte la situation financière du pays, ils ne voient donc pas que la dégradation économique pointe à l'horizon ou bien font-ils confiance à ce pouvoir qui pensent-ils est se caractérise par une pérénité qui ferait rougir de honte l'empire byzantin ou celui qui lui a succédé l'empire ottoman.

            A ce titre deux modèles d'approche s'affrontent, Rabrab le patron de cevital qui pense exactement le contraire de Ali haddad, l'un n'a pas encore tous les outils, l'autre pense avoir aux mains les clés de la ville en s'octroyant tous récemment le couteau suisse qui lui permet de démonter les pièces défectueuses de son engin et les remplacer par du neuf.

            Les deux sont toutefois tributaires des tireurs de ficelle étrangers pour accomplir leur besogne.

            Commentaire


            • #7
              Le pouvoir financier et le pouvoir politique fait courir le monde depuis qu'il existe. Les frontières entre ces 2 pouvoirs sont aussi complexes que diversifiés. La particularité de l'Algérie, c'est qu'après l'indépendance, il y a eu avec le socialisme, la volonté de casser le pouvoir de l'argent, accusé de ne pas avoir d'odeur et sans saveur. Ce qui était idéologiquement cohérent, mais économiquement désastreux. Il a fallu attendre l'ouverture économique des années 90, pour que le pouvoir de l'argent recommence à se constituer, et se consolider, d'abord autours de la nomenclatura politique et militaire. L'arrivée de Bouteflika, a cassé certains monopoles privés, en démocratisant le processus, et en y ajoignant une concurrence étrangère, très mal vue par des milieux habitués à la rente de situation, et au gâteau, savament distribué. L'ambition politique de Khalifa qui a causé sa perte fut un premier avertissement vis-à-vis du pouvoir de l'argent, cependant, il n'a pas disparu, mais s'est redéployé sous d'autres formes.

              Que le pouvoir de l'argent cherche à stabiliser un pays, pour y pérenniser ses sources de revenu, un processus classique qui peut être considéré vertueux, sur certains aspects, qu'il ait des ambitions politiques, comme celles déclarées par Khalifa, plus discrètes par un Rabrab ou un Haddad, et ténébreuses chez la nomenclatura politico militaire, qui elle exerce le pouvoir, est la réalité des équilibres de pouvoir en Algérie, qui a eu besoin d'un quatrième mandat de Bouteflika, pour repenser ce partage des pouvoirs. Cependant, il est temps que le consensus entre hommes de pouvoir intègre le mouvement, car le statut quo est néfaste pour leurs intérêts, et ils en sont conscients. Il est bien temps aussi pour eux d’intégrer des règles de compétition économiques saines et honnêtes, encore à ses balbutiements en Algérie. A l'état de lever les barrières à l'entrée et à garantir une compétition saine dans l'intérêt général, et aux patrons de faire des propositions plus équilibrés entre l'intérêt général et économique et leurs intérêts personnels ou corporatistes.

              en ce sens, Hamrouche qui propose de reconstruire un consensus, un contrat social répond aux défis majeurs du moment de repenser le pouvoir en Algérie.
              Hbibna ott te lire est un réel plaisir !
              La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
              De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
              .
              Merci.
              " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

              Commentaire


              • #8
                Saha Arayzon, ravi, avec plaisir mister
                Othmane BENZAGHOU

                Commentaire

                Chargement...
                X