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Maladie dégénérative du cerveau, Alzheimer se manifeste par une détérioration progressive de la mémoire et des fonctions mentales, augmentant au-delà de 80 ans. A l’échelle mondiale, on évalue à 26 millions le nombre de personnes atteintes de démence, dont 70% implique la maladie d’Alzheimer.
La maladie d’Alzheimer se caractérise par la formation de débris cellulaires et de protéines dans le cerveau, s’agglomérant sous forme de plaques, causant d’importants dommages aux cellules cérébrales. A ce jour, l’hypothèse scientifique de la cause première de cette maladie se base sur la diminution du niveau d’acétylcholine, un neurotransmetteur essentiel à la mémoire.
Quels sont les causes de la maladie d’Alzheimer?
Le facteur génétique constitue certainement un rôle prégnant, cependant d’autres facteurs sont mis en cause. Notamment l’exposition chronique à la pollution et la prolifération de radicaux libres dans l’organisme, qui altèrent la qualité des cellules.
Parmi les facteurs de pollution, l’aluminium aurait un rôle important. Ainsi, il est établi que les personnes souffrant d’Alzheimer présentent une forte concentration d’aluminium dans le cerveau. Cependant, la question se pose de savoir si la maladie serait la raison de de l’augmentation du taux de concentration, ou inversement. Néanmoins, on ne retrouve pas cette concentration chez les personnes souffrant d’autres maladies dégénératives cérébrales…
Que faire pour améliorer la condition du malade ?
Ici encore la prévention reste le meilleur remède. En revanche, il est primordial d’appliquer ces mesures dans les premiers stades de l’affection ou mieux en prévention. L’aluminium et les radicaux libres sont deux des acteurs majeurs dans le développement de la maladie ; aussi, les antioxydants seront une aide précieuse pour lutter contre leurs effets. Parmi eux, la vitamine C et la vitamine E sont les plus utilisés, les mieux connus et certainement les plus efficaces ; ainsi que les vitamines du groupe B, telles que la Thiamine et la B12, utilisés dans le traitement de la maladie de Parkinson.
Une carence en zinc est également relevée dans le cas de la maladie d’Alzheimer. Or, celui-ci joue un rôle essentiel au niveau cellulaire, de l’ADN et dans l’action des antioxydants. La prise de compléments de zinc donne des résultats positifs.
1. Désintoxication à l’aluminium
Au vu du rôle néfaste joué par l’aluminium, il convient d’éviter autant que possible tout contact, avec ce métal. On évitera notamment la prise d’antiacides, certains déodorants, de cuisiner trop régulièrement dans des casseroles ou poêles en aluminium, ainsi que certains sels de table. Mais l’une des sources les plus importantes se trouve dans l’eau que nous buvons. Assurez-vous du taux d’aluminium contenu dans l’eau de distribution ou consommez de l’eau filtrée. Adoptez une alimentation saine : un maximum de végétaux, de noix, et une diminution des produits laitiers.
Pour éliminer l’aluminium de l’organisme, la chlorelle, une algue aux propriétés nutritives et curatives, contient de la sporopolleine une membrane fibreuse, qui élimine de l’organisme les métaux lourds et toxiques : mercure, plomb, arsenic, cadmium, PCB, aluminium, etc.
2. Le ginkgo biloba, pour la régénérescence cérébrale
Antioxydante, cette plante a de nombreux effets sur les fonctions cérébrales et augmente la circulation sanguine et l’irrigation du cerveau. Dans le cas d’Alzheimer, le ginkgo se révèle particulièrement efficace dans les premiers stades de la maladie. De nombreuses études ont ainsi confirmé qu’il peut, dans certains cas, en éliminer complètement les symptômes et ralentir considérablement son développement. Pour un tel résultat, il est nécessaire d’utiliser un extrait standardisé contenant 24% de flavones glycosides (l’ingrédient actif), de 40 mg trois fois par jour pendant 12 semaines.
3. Vitamines B
Les dommages neuronaux rencontrés chez les personnes atteintes pourraient être, en partie causés par un problème de circulation sanguine. Pour pallier à ces troubles de la circulation, on utilise 3 vitamines du groupe B : l’acide folique, la vitamine B6 et la vitamine B12. Des études ont montré qu’une carence en vitamine B favorise un certain type de démence. Une cure de compléments de vitamines B permet de corriger ces deux situations.
4. Oméga-3
Une étude menée par le Dr Calon, professeur de pharmacie à l’Université Laval est la première à démontrer un lien biologique entre l’alimentation et cette maladie neurodégénérative. Plus précisément, elle a prouvé que les oméga-3 ont un effet protecteur et ralentissent fortement la progression de la maladie.
5. Boire des jus
Une étude menée pendant 10 ans a permis de déterminer une baisse du risque d’Alzheimer de 75%, chez les personnes consommant un jus de fruit ou de légumes 3 fois par semaine, au moins. Ces résultats seraient dus à leur grande richesse en antioxydants, avec une préférence pour les jus de carotte, betterave et rutabaga.
6. Réduire le stress
On peut pratiquer des techniques de de relaxation pour réduire le stress lié à la maladie, associé à une méthode de prévention pour équilibrer le fonctionnement cérébral. Pour cela, l’Ashwaganda est utilisée en ayurvéda pour fortifier le cerveau, tout en ayant des effets antistress, et adaptogène, dû à la présence des acétylstérylglucosides.
Santé Mag
La maladie d’Alzheimer se caractérise par la formation de débris cellulaires et de protéines dans le cerveau, s’agglomérant sous forme de plaques, causant d’importants dommages aux cellules cérébrales. A ce jour, l’hypothèse scientifique de la cause première de cette maladie se base sur la diminution du niveau d’acétylcholine, un neurotransmetteur essentiel à la mémoire.
Quels sont les causes de la maladie d’Alzheimer?
Le facteur génétique constitue certainement un rôle prégnant, cependant d’autres facteurs sont mis en cause. Notamment l’exposition chronique à la pollution et la prolifération de radicaux libres dans l’organisme, qui altèrent la qualité des cellules.
Parmi les facteurs de pollution, l’aluminium aurait un rôle important. Ainsi, il est établi que les personnes souffrant d’Alzheimer présentent une forte concentration d’aluminium dans le cerveau. Cependant, la question se pose de savoir si la maladie serait la raison de de l’augmentation du taux de concentration, ou inversement. Néanmoins, on ne retrouve pas cette concentration chez les personnes souffrant d’autres maladies dégénératives cérébrales…
Que faire pour améliorer la condition du malade ?
Ici encore la prévention reste le meilleur remède. En revanche, il est primordial d’appliquer ces mesures dans les premiers stades de l’affection ou mieux en prévention. L’aluminium et les radicaux libres sont deux des acteurs majeurs dans le développement de la maladie ; aussi, les antioxydants seront une aide précieuse pour lutter contre leurs effets. Parmi eux, la vitamine C et la vitamine E sont les plus utilisés, les mieux connus et certainement les plus efficaces ; ainsi que les vitamines du groupe B, telles que la Thiamine et la B12, utilisés dans le traitement de la maladie de Parkinson.
Une carence en zinc est également relevée dans le cas de la maladie d’Alzheimer. Or, celui-ci joue un rôle essentiel au niveau cellulaire, de l’ADN et dans l’action des antioxydants. La prise de compléments de zinc donne des résultats positifs.
1. Désintoxication à l’aluminium
Au vu du rôle néfaste joué par l’aluminium, il convient d’éviter autant que possible tout contact, avec ce métal. On évitera notamment la prise d’antiacides, certains déodorants, de cuisiner trop régulièrement dans des casseroles ou poêles en aluminium, ainsi que certains sels de table. Mais l’une des sources les plus importantes se trouve dans l’eau que nous buvons. Assurez-vous du taux d’aluminium contenu dans l’eau de distribution ou consommez de l’eau filtrée. Adoptez une alimentation saine : un maximum de végétaux, de noix, et une diminution des produits laitiers.
Pour éliminer l’aluminium de l’organisme, la chlorelle, une algue aux propriétés nutritives et curatives, contient de la sporopolleine une membrane fibreuse, qui élimine de l’organisme les métaux lourds et toxiques : mercure, plomb, arsenic, cadmium, PCB, aluminium, etc.
2. Le ginkgo biloba, pour la régénérescence cérébrale
Antioxydante, cette plante a de nombreux effets sur les fonctions cérébrales et augmente la circulation sanguine et l’irrigation du cerveau. Dans le cas d’Alzheimer, le ginkgo se révèle particulièrement efficace dans les premiers stades de la maladie. De nombreuses études ont ainsi confirmé qu’il peut, dans certains cas, en éliminer complètement les symptômes et ralentir considérablement son développement. Pour un tel résultat, il est nécessaire d’utiliser un extrait standardisé contenant 24% de flavones glycosides (l’ingrédient actif), de 40 mg trois fois par jour pendant 12 semaines.
3. Vitamines B
Les dommages neuronaux rencontrés chez les personnes atteintes pourraient être, en partie causés par un problème de circulation sanguine. Pour pallier à ces troubles de la circulation, on utilise 3 vitamines du groupe B : l’acide folique, la vitamine B6 et la vitamine B12. Des études ont montré qu’une carence en vitamine B favorise un certain type de démence. Une cure de compléments de vitamines B permet de corriger ces deux situations.
4. Oméga-3
Une étude menée par le Dr Calon, professeur de pharmacie à l’Université Laval est la première à démontrer un lien biologique entre l’alimentation et cette maladie neurodégénérative. Plus précisément, elle a prouvé que les oméga-3 ont un effet protecteur et ralentissent fortement la progression de la maladie.
5. Boire des jus
Une étude menée pendant 10 ans a permis de déterminer une baisse du risque d’Alzheimer de 75%, chez les personnes consommant un jus de fruit ou de légumes 3 fois par semaine, au moins. Ces résultats seraient dus à leur grande richesse en antioxydants, avec une préférence pour les jus de carotte, betterave et rutabaga.
6. Réduire le stress
On peut pratiquer des techniques de de relaxation pour réduire le stress lié à la maladie, associé à une méthode de prévention pour équilibrer le fonctionnement cérébral. Pour cela, l’Ashwaganda est utilisée en ayurvéda pour fortifier le cerveau, tout en ayant des effets antistress, et adaptogène, dû à la présence des acétylstérylglucosides.
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