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Le wali de Béjaia n'aime pas les commentaires sur Facebook

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  • Le wali de Béjaia n'aime pas les commentaires sur Facebook

    Suite à l’article paru sur El Watan.com, le mercredi 26 novembre, intitulé « Violent clash entre le député Chafaâ Bouaiche et le wali de Bejaïa», le wali a réagi à notre article.




    D’emblée, Hamou ahmed Touhami se dit «désolé et touché par cet incident » qui s’est déroulé mercredi lors d’une réunion qui a regroupé les élus, des représentants de la société civile avec des cadres des ministères de l’intérieur et de celui de l’énergie.

    «Effectivement un incident est parvenu lors de cette réunion hautement importante et bénéfique pour la wilaya de Bejaia », écrit-il. Et de poursuivre : «Le député du parti du FFS Chafaa Bouaiche avait pris la parole et a évoqué une «marginalisation» des députés par le wali de Bejaia, une déclaration totalement fausse et erronée». Car selon lui : «Tous les députés sont associés et invités à chaque occasion qui se présente».

    Chafaâ Bouaiche qui intervenait lors des débats, a accusé, en effet, le wali de vouloir discréditer les élus locaux avant de développer l’une des raisons qui pousse les citoyens à fermer les routes, à savoir «le manque de dialogue ».

    C’est à ce moment-là que le wali sort de ses gonds pour interrompre le député, des copies d’une publication de Bouaiche traitant le commis de l’Etat de «voyou» sur facebook, en main. « Vous m’avez traité de voyou sur facebook », lui lança le wali avant de renvoyer le même propos à l’endroit du député.

    Bouaïche constatant que la parole lui a été confisquée, monte d’un ton et accuse Ahmed Touhami de «voleur, de voyou et de corrompu» avant de se lancer vers la tribune où se trouvait le wali et ses hôtes, les cadres des ministères de l’énergie et de l’intérieur.

    Ainsi, le wali a perdu une occasion en or de contenir sa colère et laisser l’élu terminer son intervention. Visiblement, le wali était bien décidé de ramener les querelles de facebook devant une assemblée qui traitait d’un sujet très sérieux et régler des comptes avec ce parti qui ne cesse de revendiquer une commission d’enquête sur la gestion du premier responsable de la wilaya.

    elwatan
    There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

  • #2
    éh bein c'est du beau linge tout ça, quand les réunions ze'ma diplomatiques ne finissent pas en baston digne d'une cour d'école, ça veut régler ses comptes sur facemouk, je te clash, tu me clash... on dirait les embrouilles de ma petite soeur avec ses copines sur facemouk

    elle est belle la diplomatie :22:

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    • #3
      saha arbia

      Hamou Ahmed Touhami est un wali de renommé nationale...

      Ahmed Bencherif
      Membre du Conseil national de la Révolution algérienne

      L’enquête que je mène depuis fort longtemps me permet actuellement d’affirmer que l’ex-wali de Djelfa, Hamou Ahmed Touhami, surnommé du temps où il était wali de Béchar «Hamou 10 %» est un corrompu. Ces 10 %, faisant allusion à sa quote-part, étaient exigés de chaque entrepreneur détenteur d’un marché public représentant une commission de 10 % qui lui était remise en mains propres, une fois le marché obtenu.
      Cette pratique a fonctionné tout au long de son passage à Béchar où il a sévi pour se servir et non servir l’intérêt collectif. Pour ce wali en question, la trahison de sa mission est flagrante. L’ex-wali a trahi la wilaya de Djelfa qui lui a offert son hospitalité et sa confiance. Il en a abusé en piétinant ses traditions et son mode de vie, en profitant de son poste uniquement pour s’enrichir rapidement, défiant les lois de la République et celles de Dieu. Si les milliers de milliards, dont a bénéficié, durant son «règne» la wilaya pour son développement pour les différents programmes, n’avaient été entachés de corruption, cela aurait donné de bons ouvrages et de meilleurs résultats quant à l’avenir économique de la wilaya. La corruption a créé une faille terrible dont la population se souviendra. Le wali et ses sbires partageaient les dividendes de cette corruption. Il l’a même «légalisée» pendant son règne à Djelfa où le maître mot était la part du «Maâlem». Selon certaines indiscrétions qui me sont parvenues, ce wali, devenu plus gourmand, ne se contentait plus de 10 % et réclamait sans rougir plus à ses proies. Ces entrepreneurs rackettés par ce gangster n’avaient d’autre choix que de répercuter ce manque à gagner sur la qualité des travaux et les prestations effectués en les entachant d’irrégularités et de malfaçons. Ce semeur de trouble a cultivé l’esprit de la fraude et s’est habitué à intimider les gens. Actuellement, le nouveau wali, fraîchement arrivé, a hérité d’une gestion qu’il tente de redresser malgré certaines poches de résistance de l’ancien clan, tentant par tous les moyens de le déstabiliser. Les citoyens de la wilaya de Djelfa affluent nombreux à mon domicile, à l’occasion de la célébration de l’Aïd el Adha, ils m’ont supplié de dénoncer publiquement, et au plus haut niveau, cet état de fait. Il risque de faire autant de mal à Béjaïa, ville de Yemma Gouraya, ville d’Histoire et d’intelligence. Sa promotion (alors qu’il devrait aller à la retraite) en tant que wali de Béjaïa n’aurait pas eu lieu si son dossier avait été divulgué au moment opportun. Mais les méfaits qu’il a commis pendant toute sa carrière le rattraperont un jour, là où il se trouve. Ce corrompu a bafoué les principes fondamentaux et moraux de la société et Djelfa se souviendra des stigmates qu’il a laissés lors de son passage dans cette wilaya martyre. Afin de contribuer à lever le voile sur les agissements de cet ex-wali, j’exige à titre d’exemple l’ouverture d’une enquête sérieuse sur les dossiers suivants :
      1- Le dossier de l’APC de Aïn Chouhada classé sur simple décision du wali et non transmis à la justice depuis 2005 ;
      2- le dossier de l’APC de Aïn el Bel classé sur simple délibération et non transmis à la justice pour y statuer sur simple recommandation du wali ;
      3- les autorisations «provisoires» signées par le wali pour exploiter des carrières sur des sites naturels et culturels protégés en commettant des pillages et des catastrophes sur le patrimoine ;
      4- le dossier du foncier urbain et agricole où il y a eu beaucoup de dilapidations et de malversations ;
      5- le dossier du choix de terrain fait par le wali de construire un hôpital sur un terrain rocheux et boisé (surcoût de plusieurs dizaines de milliards) ce qui a conduit à la destruction du patrimoine naturel ce qui a conduit l’ex-DLEP, M. Lakhal, à démissionner. Des milliards ont été dépensés pour niveler ce terrain, alors que les terrains plats existent à Djelfa à profusion. J’en resterai là, pour le moment, car la liste des irrégularités est encore longue, sans compter le mal qu’il a fait à certains cadres qui se sont mis sur son chemin pour défendre les valeurs de la République algérienne. Je reste à l’entière disposition de l’autorité pour faire la lumière sur ce dossier car il était de mon devoir de moudjahid de dénoncer cet état de fait, même tardivement, à cause de certains recoupements longs à établir. Ce wali doit rendre des comptes devant la justice. Elle seule établira sa culpabilité ou sa non-culpabilité en toute impartialité.
      Vive l’Algérie !!!
      There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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      • #4
        c'est bien, parlons des vrais sujets qui fâchent au lieu du baratin habituel avec statistiques à l'appui

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        • #5
          alessandro...

          j'ai pas compris...
          There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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          • #6
            le baratin c'est un wali qui expose ses statistiques parfaites et irréprochables

            les vrais sujets c'est ce wali qui tchippe dans les btp et dans l'industrie

            c'est aussi les élus qui deviennent agressifs dès qu'il ont besoin d'un terrain ou une autorisation

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            • #7
              Ahmed Bencherif
              Membre du Conseil national de la Révolution algérienne
              pourtant ce Mr Bencherif ce n'est pas n'importe qui, cette dénonciation a t elle été entendue par la justice ou bien c'est resté en suspens ?
              j'ai jamais compris comment ces parvenus malgré un bilan catastrophique de leur gestion puisse encore gérer d'autres circonscriptions et pas des moindres ??
              Il faut vraiment une mobilisation des habitants de bejaia et des alentours pour alerter l'état que c'est un incapable avec l'appui des djelfaoui sans pour autant que ça tourne à la manifestation ou autre méthodes qui amènerait la police... une mobilisation comme par exemple inonder le parlement de lettres de mécontentements, appeler les standards de l'état tous les jours et plusieurs fois par jour avec insistance, plus les plaintes seront nombreuses et plus il y aura de répercussions.
              Je pense que les habitants de Bejaia sont connus pour ne pas se laisser faire; peut être que cet élu Mr Bouaich a allumé une petite flamme qui ira loin inchaallah

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              • #8
                La lettre ouverte du Colonel Bencherif date de près de 3 ans.
                Le wali n'a même pas été démis de ses fonctions et le Colonel Bencherif n'a pas été poursuivi pour diffamation.
                Alors ????
                "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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                • #9
                  Alors ????
                  Alors, on constate avec rage impuissante que chez nous, il y a beaucoup trop de gens qui ressemblent au wali de béjaia, et malheureusement très peu qui ressemblent à Mr. Bencherif.
                  Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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