SALAM
Il a dit :
Je ne mens pas, je ne mens pas et je n’ai point de mensonges.
Ya a’adjaba ya ness …..J’ai vu de mes propres yeux la galette fuir avec un chien et le tamis remonter la pente. ( El kesra harba belkeb wa el gharbel fel a’agba yetkerkeb)
Au marché j’ai vu un homme se souler avec de l’huile ; de mes propres yeux j’ai vu la bouteille lui glisser des mains …. Ya adjaba ya ness, j’ai vu la bouteille brisée au sol et l’huile suspendue en l’air .
Chez le boulanger j’achète 2kg de graines …la ration quotidienne de ma fourmi …que j’ai adoptée à ma naissance.
J’ai mis les graines dans un filet et le filet sur le dos de ma mule …elle était pleine ( ma mile) …..Je me suis dit, si elle met bas un âne, il me servira comme monture pour le pèlerinage ….Je prendrai un raccourci par la mer au lieu de traverser le désert……Quand soudain, un oisillon vole une graine du filet …. Le filet s’est penché et ma mule a trébuché ….j’en fait un devoir de rattraper l’oisillon …..Je l’ai donc poursuivi …lui, courant sur terre, et moi dans les airs …..Il s’est refugié dans un trou …….. Je glisse la main dans le trou sans succès de le toucher ….je glisse mon bras …rien n’y fait ….ma jambe non plus ….l’idée me vient de fourrer mon nez dans le trou…….je localise l’oisillon …..Je prends ma pioche et je creuse …J’attrape l’oisillon ; je l’égorge, le déplume, le dépèce et récupère la graine dans son ventre ….C’est alors que je m’aperçois que j’ai perdu ma pioche dans ses plumes …..Pressé par le temps, je décide d’enflammer les plumes …..Ya a’adjaba ya ness, le fer de la pioche s’est consumé et le manche en bois est resté intact ….Je me retourne et je ne vois plus ma mule ….Je monte sur un arbre sans succès de la voir …du sommet de la colline, non plus ….C’est alors que je descends dans un silo ….sur une aiguille je me perche et je les vois au-delà des 7 mers ….j’ai reconnu son petit et pas ma mule ….Je récupère le tout et je rentre chez moi …..Je dis alors, ô gens de la maison, c’est quoi ces youyou et ces cris de joie ? On me dit que mon père vient de naitre ….Très joyeux, je le prends dans mes bras et j’entame une dance pour fêter l’évènement : sa’adi baba zed, sa’adi baba zed ….quand soudain, mon père me glisse des mains et se noie dans le bol de soupe préparée pour l’occasion ……Vite fait, je plonge la cuillère ….sans succès pour le repêcher …..Je lance mon filet, rien n’y fait …. J’enfourche le tapis familial et je plonge dans le bol …en remontant je décide de sacrifier la soupe en renversant le bol ……et j’ai récupéré mon papa …..vieux comme vous le voyez !
Source : Tourath watani légèrement adapté.
Toi qui attend la suite ….le secret se trouve dans le titre du sujet !
;;;;;;;;;;;;
Il a dit :
Je ne mens pas, je ne mens pas et je n’ai point de mensonges.
Ya a’adjaba ya ness …..J’ai vu de mes propres yeux la galette fuir avec un chien et le tamis remonter la pente. ( El kesra harba belkeb wa el gharbel fel a’agba yetkerkeb)
Au marché j’ai vu un homme se souler avec de l’huile ; de mes propres yeux j’ai vu la bouteille lui glisser des mains …. Ya adjaba ya ness, j’ai vu la bouteille brisée au sol et l’huile suspendue en l’air .
Chez le boulanger j’achète 2kg de graines …la ration quotidienne de ma fourmi …que j’ai adoptée à ma naissance.
J’ai mis les graines dans un filet et le filet sur le dos de ma mule …elle était pleine ( ma mile) …..Je me suis dit, si elle met bas un âne, il me servira comme monture pour le pèlerinage ….Je prendrai un raccourci par la mer au lieu de traverser le désert……Quand soudain, un oisillon vole une graine du filet …. Le filet s’est penché et ma mule a trébuché ….j’en fait un devoir de rattraper l’oisillon …..Je l’ai donc poursuivi …lui, courant sur terre, et moi dans les airs …..Il s’est refugié dans un trou …….. Je glisse la main dans le trou sans succès de le toucher ….je glisse mon bras …rien n’y fait ….ma jambe non plus ….l’idée me vient de fourrer mon nez dans le trou…….je localise l’oisillon …..Je prends ma pioche et je creuse …J’attrape l’oisillon ; je l’égorge, le déplume, le dépèce et récupère la graine dans son ventre ….C’est alors que je m’aperçois que j’ai perdu ma pioche dans ses plumes …..Pressé par le temps, je décide d’enflammer les plumes …..Ya a’adjaba ya ness, le fer de la pioche s’est consumé et le manche en bois est resté intact ….Je me retourne et je ne vois plus ma mule ….Je monte sur un arbre sans succès de la voir …du sommet de la colline, non plus ….C’est alors que je descends dans un silo ….sur une aiguille je me perche et je les vois au-delà des 7 mers ….j’ai reconnu son petit et pas ma mule ….Je récupère le tout et je rentre chez moi …..Je dis alors, ô gens de la maison, c’est quoi ces youyou et ces cris de joie ? On me dit que mon père vient de naitre ….Très joyeux, je le prends dans mes bras et j’entame une dance pour fêter l’évènement : sa’adi baba zed, sa’adi baba zed ….quand soudain, mon père me glisse des mains et se noie dans le bol de soupe préparée pour l’occasion ……Vite fait, je plonge la cuillère ….sans succès pour le repêcher …..Je lance mon filet, rien n’y fait …. J’enfourche le tapis familial et je plonge dans le bol …en remontant je décide de sacrifier la soupe en renversant le bol ……et j’ai récupéré mon papa …..vieux comme vous le voyez !
Source : Tourath watani légèrement adapté.
Toi qui attend la suite ….le secret se trouve dans le titre du sujet !
;;;;;;;;;;;;
Commentaire