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Sid Ahmed Ghozali fustige Bouteflika et l’Armée

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  • Sid Ahmed Ghozali fustige Bouteflika et l’Armée

    Sid Ahmed Ghozali fustige Bouteflika et l’Armée



    TSA- le 1 décembre 2014 à 11 h 45 min - Yacine Babouche.


    L’ancien Premier ministre, Sid Ahmed Ghozali, a estimé, dans un entretien accordé à El Khabar, que les réformes annoncées par le pouvoir ne sont que des paroles, sans existence dans la réalité. L’ancien Premier ministre estime que les gouvernants n’ont aucun projet. Il dresse un portrait inquiétant de la situation avec l’accumulation de problèmes et l’absence de volonté de les résoudre immédiatement.

    Selon Sid Ahmed Ghozali, la chute des prix du pétrole ne permettra plus au pouvoir de continuer à acheter la paix sociale. Cette situation finirait par mener à terme à un nouveau 5 octobre à la puissance et aux violences décuplées par rapport aux événements d’origine, selon lui. L’ancien Premier ministre a, par ailleurs, déclaré que le président malade cachait une vérité plus importante, qui est que c’est le pouvoir dans son ensemble qui est malade.

    Ghozali s’est, en outre, étonné de ceux qui disent que l’Armée n’aurait aucun rapport avec la politique. « Le pouvoir est entre les mains d’un groupe au sein de l’Armée » et le président Bouteflika « n’est qu’une marionnette », selon lui. L’ancien Premier ministre refuse de plus tout discours arguant que l’Armée et le DRS ont vu leurs prérogatives réduites par les réformes du Président l’an passé.

    Sid Ahmed Ghozali estime qu’un changement de régime de manière pacifique était possible, évoquant les deux exemples de Mahtma Ghandhi en Inde et Nelson Mandela en Afrique du Sud. L’ancien Premier ministre considère que le changement pourrait même venir du sein de l’Armée où un individu issu de l’institution militaire s’élèverait au-dessus des masses et déclarerait que la situation ne peut plus durer.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Ghozali semble un temps soit peu décalé par rapport à certaines initiatives politiques qu'il n'aborde meme pas. La baisse du prix du pétrole, vu par certains comme une catastrophe absolue, va peut etre permetre de débloquer une situation, le statut quo n'étant plus tenable dans ces conditions.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      bonjour

      Acheter la paix sociale .... comme s'il n'y avait pas de besoin sociaux à satisfaire !

      Pour les gens qui utilisent cette expression, il ne faudrait pas dépenser des sous pour satisfaire les besoins élémentaires, prioritaires d'ailleurs, de la population.

      Il faut changer de termes et d'expressions pour commencer le changement si vraiment il est souhaité ...
      Rebbi yerrahmek ya djamel.
      "Tu es, donc je suis"
      Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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      • #4
        il suffit que ce meme Bouteflika le rappel pour occuper le poste de premier ministre et vous verrez comme le discours de Ghozali va changer

        incroyable ils ne veulent pas et ne tiennent pas a se racheter une dignité, que des lahassa et des assoifés de pouvoir tous autant qu'ils sont il n'y a pas un qui vaut mieux que les autres

        je le revoie cet opportuniste quand il etait premier ministre descendre de la mercedess officiel ou il etait monté devant et Khaled nezzar derriere, quand le vehicule s'est arreté Ghozali qui s'empresse de descendre du vehicule comme un garde du corps pour ouvrir la porte de derriere à Khaled nezzar et en ce temps là l'armée ne dirigé pas le pays, j'ai pas souvenir avoir lu ou entendu une declaration de notre cher premier ministre Ghozali

        je maintiens a dire qu'il faut tous les mettre dans uen fournaise , et qu'on puisse mettre nos esperances vers nos jeunes, ce n'est pas ce qui manque a ce cher pays, l'Algérie a de jeunes espoir qui pourront hisser tres haut les couleurs de notre pays

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        • #5
          La dépense sociale très male orientée en Algérie peut s'assimiler à une tentative de contenir un front social en ébulition. Cet argent servirait mieux à permettre la création de richesse qu'à permettre de mal contenir la pauvereté, en ne réglant rien des sources de la pauvreté.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            L'Algérie est retard dans divers domaines particulièrement dans l'emploi privé.

            Croire que la création de richesse par l'entreprise pourrait aboutir à la satisfaction des besoins élémentaires des gens avec le retard qu'a l'Algérie est une pure chimère. C'est encore accentuer plus les inégalités existantes.

            Ce n'est pas du jour au lendemain que des millions d'emplois privés seront créés. Et les besoins de santé, d'éducation, de logement ne seront jamais satisfait par une politique économique libérale seule.

            Sans les dépenses sociales et les augmentations de salaires dans plusieurs secteurs, il y aurait eu instabilité politique et institutionnelle permanente qui n'aboutirait sans doute à rien de bon et particulièrement dans le contexte qu'on vit actuellement.
            Rebbi yerrahmek ya djamel.
            "Tu es, donc je suis"
            Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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            • #7
              Les augmentations de salaire ne sont pas des dépenses sociale. Des subventions mal ciblées oui. On pourrait mieux dépenser socialement, que ce qui est fait aujourd'hui. C'est une question de timing, si ca ne se fait pas aujourd'hui, ca se fera dans 10 ans.

              Quant à l'emploi privé, pour en créer, il faut de l'investissement, il faut libérer les initiatives, augmenter la confiance, faciliter le financement, créer des structures d'accompagnement local... Ce qui est fait dans le micro crédit est intéressant, mais l'accompagnement devrait se faire à toutes les tailles...
              Othmane BENZAGHOU

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              • #8
                Quant à l'emploi privé, pour en créer, il faut de l'investissement, il faut libérer les initiatives, augmenter la confiance, faciliter le financement, créer des structures d'accompagnement local... Ce qui est fait dans le micro crédit est intéressant, mais l'accompagnement devrait se faire à toutes les tailles...
                Quelque soit les mesures prises, tant qu'il n'ya pas un etat de droit, rien ne changera
                toutes les intiatives seront profitables toujours pour le même groupe qui gravitent autour du pouvoir, et le reste , il n'ont rien à dire

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                • #9
                  Déjà en 2010, Ghozali ne faisait pas l'unanimité. En fait, il n'a jamais fait l'unanmiité.

                  " En janvier 1992, il n’a même pas eu la dignité de démissionner comme Chadli Bendjedid qui, pourtant, n’a pas étudié comme lui à l’Ecole polytechnique de Lausanne. Aujourd’hui, pour se déculpabiliser, il affirme qu’il a été «le harki du système» et qu’il n’a fait qu’obéir à «l’armée politique». Il ne se rend pas compte que sa responsabilité est pleine et entière. Car cette «armée politique» avait besoin de perspectives, de projet, d’orientations qu’il a été incapable de lui fournir.

                  Le coup d’Etat de janvier 1992 n’est pas une fatalité et il aurait pu être évité en amont et en aval des élections. Machiavel disait qu’un homme politique doit avoir la fortuna (l’opportunité) et la virtu (les capacités). Ghozali a rencontré la première et il ne l’a pas exploitée parce qu’il n’a pas la deuxième. Il a été de tous les gouvernements depuis l’indépendance, ayant occupé les postes les plus prestigieux de l’Etat sans avoir eu la capacité de s’affirmer autour de ses collaborateurs ou d’avoir un crédit ou une base sociale dans le pays. Aujourd’hui, il rue dans les brancards et donne des coups à l’ancien employeur dès lors qu’il a été écarté." (extrait d'un article de Soir d'Algérie).

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                  • #10
                    Ghozali n'a en effet aucune possibilité de fédérer et de rassembler autours de lui, et il le sait lui meme. Il est évité par ses propres compagnons de parcours et ses anciens camarades. Par contre, il permet un point de vu politique qui peut être intéressant sur certains aspects...
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #11
                      Sid Ahmed Ghozali

                      C'est pas ce type au noeud de papillon qui fanfaronner et quand il a vu les dégâts du fis
                      il c'est fait muter comme ambassadeur a Paris

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                      • #12
                        Il aurait du se terrer quelque part et se la fermer!
                        " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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                        • #13
                          rosierbelda Bonsoir

                          Il aurait du se terrer quelque part et se la fermer!
                          Exactement se la FERMER !!!!

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