Un gendarme a été victime de terroristes au nord-ouest de la Tunisie, selon les autorités. L’homme a été décapité dimanche soir dans la région du Kef, non loin de la frontière algérienne.
Le gendarme a été interpellé par des hommes armés alors qu’il circulait en voiture avec son frère. Les assaillants, qualifiés de « terroristes » par le ministère de l’Intérieur, auraient voulu voler les passagers, avant de se rendre compte que l’un d’eux était membre des forces de l’ordre. Ils l’auraient alors enlevé puis égorgé.
Plusieurs dizaines de membres des forces de sécurité ont été tués depuis décembre 2012 dans l’ouest du pays à la frontière algérienne, entre le mont Chaambi, le Kef et Jendouba. Selon le ministère de l'Intérieur, c'est là, dans ces zones montagneuses, que seraient retranchés des groupes terroristes liés entre eux. On compterait en tout une cinquantaine d’hommes. Des Tunisiens, mais aussi des Algériens et des Libyens.
Mais difficile, assurent les autorités, de les traquer dans ces reliefs car les grottes leurs offrent de nombreuses cachettes. D’autant plus que des mines posées par ces groupes ont souvent fait des victimes chez les forces de sécurité tunisiennes.
Source : RFI
Le gendarme a été interpellé par des hommes armés alors qu’il circulait en voiture avec son frère. Les assaillants, qualifiés de « terroristes » par le ministère de l’Intérieur, auraient voulu voler les passagers, avant de se rendre compte que l’un d’eux était membre des forces de l’ordre. Ils l’auraient alors enlevé puis égorgé.
Plusieurs dizaines de membres des forces de sécurité ont été tués depuis décembre 2012 dans l’ouest du pays à la frontière algérienne, entre le mont Chaambi, le Kef et Jendouba. Selon le ministère de l'Intérieur, c'est là, dans ces zones montagneuses, que seraient retranchés des groupes terroristes liés entre eux. On compterait en tout une cinquantaine d’hommes. Des Tunisiens, mais aussi des Algériens et des Libyens.
Mais difficile, assurent les autorités, de les traquer dans ces reliefs car les grottes leurs offrent de nombreuses cachettes. D’autant plus que des mines posées par ces groupes ont souvent fait des victimes chez les forces de sécurité tunisiennes.
Source : RFI
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