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La BAD accorde un 2è financement de 242 millions $ à la plus grande centrale solaire d'Afrique

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  • La BAD accorde un 2è financement de 242 millions $ à la plus grande centrale solaire d'Afrique

    (Agence Ecofin) - La Banque africaine de développement (BAD) a annoncé, le 3 décembre, avoir accordé deux prêts en faveur de la phase II du projet du parc solaire de Ouarzazate, situé dans le sud du Maroc.

    D’un montant de 123 millions de dollars, le premier prêt provient des fonds propres de la BAD. Le deuxième de 119 millions de dollars est octroyé via le Fonds pour les technologies propres qui fait partie des fonds d’investissement climatiques (FIC), en sa qualité d’organe d’exécution.Ces prêts serviront à financer le développement de deux nouvelles centrales (centrales Noor II et Noor III) d’une capacité totale de 350 mégawatts (MW).

    Il s’agit du deuxième financement que la BAD accorde au complexe solaire d’Ouarzazate. Le premier, relatif à la réalisation de la centrale Noor I et qui date de 2012, se composait d’un prêt de 123 millions de dollars prélevés sur les fonds propres de la Banque et d’un autre prêt de 100 millions de dollars accordé via le Fonds pour les technologies propres.

    «Le projet fait partie des opérations innovantes que la banque soutient dans le secteur de l’énergie, compte tenu de la technologie utilisée et de son montage financier qui recourt aux FIC et du fait qu’il s’agit d’un partenariat public-privé soutenu par plusieurs bailleurs de fonds. La participation de la banque à cette deuxième phase confortera ainsi sa position en tant que partenaire majeur dans le développement du Maroc et renforcera son rôle prépondérant dans la lutte contre les effets du changement climatique», a souligné Alex Rugamba (photo), directeur du département de l’énergie, de l’environnement et du changement climatique de la BAD.

    Le projet s’inscrit dans le cadre du Programme solaire marocain dit Programme «Noor», qui ambitionne de développer une capacité minimale de 2000 MW à l’horizon 2020 dans le cadre d’un plan visant à couvrir 42% des besoins énergétiques du pays grâce aux énergies renouvelables.

  • #2
    les chiffres avancés pour le solaire me font peur, on fonce la tete baissé

    Les financements étrangers affluent et la production énergétique du Maroc s'emballe

    En deux mois le pays est parvenu à obtenir une enveloppe de 3,4 milliards de dollars auprès d’investisseurs étrangers afin de financer d’ambitieux projets énergétiques.

    Aujourdhui.ma | 25-11-2014 09:30
    Par ALM


    Le Maroc l’a bien compris, il faut qu’il parvienne à l’autonomie énergétique. Un impératif qui, selon Oxford Business Group (OBG), trouve déjà une réponse dans les investissements et les aides au financement entrepris par le Royaume. En effet, en deux mois le pays est parvenu à obtenir une enveloppe de 3,4 milliards de dollars auprès d’investisseurs étrangers afin de financer d’ambitieux projets énergétiques.

    À noter que le Maroc vise, à travers ces projets, à la fois à satisfaire sa propre demande croissante en électricité et à exporter, à long terme, des énergies renouvelables excédentaires vers l’Europe.

    Dans ce sillage, OBG relève que les accords les plus récents, signés avec des investisseurs sud-coréens, français, japonais et chinois, permettront au Maroc de financer la construction d’une centrale solaire et de deux centrales thermiques au cours des cinq prochaines années.
    À ce titre, l’Agence américaine pour l’information sur l’énergie révèle que la production énergétique du Maroc, qui s’établit actuellement à 22.250 GW, augmentera de quelque 2.000 MW et près de 300 MW proviendront de sources d’énergies renouvelables.

    En gros, ces investissements de taille ont pour objectif de donner un coup de fouet à la production énergétique du Maroc à long terme et à réduire la dépendance du Royaume aux importations, qui se révèlent coûteuses et représentaient près de 17% de la consommation intérieure en 2013.

    En effet, les besoins nationaux en électricité augmentent en moyenne d’environ 7% par an et le Maroc dépend des importations espagnoles et algériennes. Les nombreux projets industriels à grande envergure en cours devraient accroître encore plus rapidement les besoins durant les prochaines années. Ainsi, les investissements du Royaume dans de nouvelles initiatives énergétiques s’avèrent cruciaux pour son développement et la réduction de sa facture énergétique.

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    • #3
      les chiffres avancés pour le solaire me font peur, on fonce la tete baissé

      on est toujours dans le programme ,qui risque d’être réalisé avant 2020 et tant mieux

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      • #4
        je prefere des evaluation par etapes mais là on s'approche du lancement de nour 2 et 3 alors que nour 1 n'est pas encore achevé

        l'eolien par contre a connu plusiers etape et meme des projets pilotes

        ça pourrait nous eviter des surprises

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