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L’université d’été était dédiée à la cause palestinienne, mais Mezrag a consacré 20 minutes de son discours d’ouverture à la relation entre l’AIS et le pouvoir ainsi qu’à la création de son nouveau parti politique.
L’Armée islamique du salut (AIS), bras armé du FIS dissous, a tenu son université d’été, en août dernier à Tassoust dans la wilaya de Jijel, en présence de plusieurs centaines de ses membres, a révélé le quotidien El Khabar ce dimanche.
« L’université d’été s’est tenue sans autorisation mais les institutions de l’Etat dont l’armée étaient informées », a indiqué l'émir de l’AIS, Madani Merzag, cité par le journal. La rencontre était dédiée à la cause palestinienne, mais Mezrag a consacré 20 minutes de son discours d’ouverture à la relation entre l’AIS et le pouvoir ainsi qu’à la création de son nouveau parti politique, selon la même source.
Cette nouvelle formation politique obtiendrait son agrément « dans le cadre de la future Constitution », a indiqué Madani Mezrag. Ce dernier s’est dit « refuser le fait que Ali Benhadj (ancien numéro deux du FIS dissous ndlr) garde la mentalité des années 1990 », a ajouté El Khabar.
Madani Mezrag a été invité, en juin dernier, par Ahmed Ouyahia, directeur de cabinet de la Présidence, à soumettre ses propositions concernant le projet de la révision constitutionnelle, annoncé par le président Bouteflika depuis 2011.
Elwatan.com
L’Armée islamique du salut (AIS), bras armé du FIS dissous, a tenu son université d’été, en août dernier à Tassoust dans la wilaya de Jijel, en présence de plusieurs centaines de ses membres, a révélé le quotidien El Khabar ce dimanche.
« L’université d’été s’est tenue sans autorisation mais les institutions de l’Etat dont l’armée étaient informées », a indiqué l'émir de l’AIS, Madani Merzag, cité par le journal. La rencontre était dédiée à la cause palestinienne, mais Mezrag a consacré 20 minutes de son discours d’ouverture à la relation entre l’AIS et le pouvoir ainsi qu’à la création de son nouveau parti politique, selon la même source.
Cette nouvelle formation politique obtiendrait son agrément « dans le cadre de la future Constitution », a indiqué Madani Mezrag. Ce dernier s’est dit « refuser le fait que Ali Benhadj (ancien numéro deux du FIS dissous ndlr) garde la mentalité des années 1990 », a ajouté El Khabar.
Madani Mezrag a été invité, en juin dernier, par Ahmed Ouyahia, directeur de cabinet de la Présidence, à soumettre ses propositions concernant le projet de la révision constitutionnelle, annoncé par le président Bouteflika depuis 2011.
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