IRIB-Depuis que le royaume des Al-Saoud, aveuglé par la haine du « serpent iranien » a décidé de s'amputer d'une grande partie de ses recettes pétrolières et ce, en totale coordination avec les Etats Unis d'Amérique, eux-mêmes obnubilés par le spectre d'une Russie de plus en plus puissante en termes de poids géostratégique et dont ils cherchent ni plus ni moins la "mort", le baril de l'or noir s'est largement déprécié, tombant au-dessus de la barre de 65 dollars.
Les plus pessimistes des courtiers n'écartent même pas un baril à 50 dollars, si le bras de fer insensé de Riyad contre « lui –même » se poursuivait au rythme actuel . Lui-même dites-vous? Et oui, car à en juger les rapports, les dépêches qui se succèdent en provenances des milieux pétroliers, ce sont plutôt les marionnettes pro- saoudiennes qui siègent au sein du Conseil de coopération du Golfe Persique ou de la Ligue arabe, ....qui commencent à pâtir sérieusement de cette débile manœuvre géostratégique ratée par avance, des stratèges de pacotille des Al-Saouds.
Dans la foulée de cette « dégringolade historique » des cours du pétrole, Riyad et à travers lui Washington , voulait sans doute voir l'Iran et la Russie, unis comme jamais auparavant autour de la cause syrienne , se mettre à genou en l'espace de quelques semaines , et se rendre à Canossa pour avoir fait si solidement barrage aux plans de l'Empire.
Or c'est plutôt l'inverse qui s'est produit : voyons quelques chiffres et dépêches véhiculés ces derniers jours par la presse atlantiste occidentale
Reuters :
-« Les bourses des pays du Golfe plongent consécutivement à la chute du prix du pétrole… »
-« La baisse de 35% des recettes pétrolière du Yémen …. »
-« le déficit budgétaire abyssal en Libye suite à la baisse des cours…
Jetons à présent un petit regard du côté" des nouvelles publiée à ce même sujet par ces mêmes sources d’information l'Iran
Financial Times :
-« L'Iran ne semble pas trop affecté par la chute du prix du baril , Rohani ayant maintenu ses grandes lignes dans l'exercice budgétaire de l'année iranienne à venir nouvelle…. »
-« Rohani : la réduction du prix du baril n'influe nullement sur les dépenses de l'Etat… »
Mais les rétro-impacts de la manœuvre saoudienne n'en restent pas là :
le prince Talal, la plus grosse fortune du royaume saoudien mettait il y a peu en garde le Roi et sa garde rapprochée contre cette " opération pétrolière suicidaire" qui n'irait arranger rien et qui ne ferait que creuser le fossé entre riches et pauvres au sein de la société saoudienne ».
Mais à Riyad , à son habitude, a des oreilles bouchées qui n’entendent jamais de bons conseils à savoir ceux qui assurerait à la fois les intérêts saoudiens et ceux des pays du Moyen Orient….
Pour la petite ( grande ?) histoire, le ministère iranien du pétrole vient d'annoncer l'inauguration de la cinquième unité de désacidification du gaz naturel extrait de la 12ème phase du plus grand champs gazier du monde à savoir Pars sud…. le procédé a fait passer la production gazière de cette seule phase, à près de 65 millions mètres cubes.... de quoi réjouir la Russie, qui se frotte déjà les mains à l'idée de pouvoir pomper plus de gaz et de pétrole iranien vers l'Asie, elle qui entre de plein pied dans ce méga deal anti- sanction avec l’Iran, deal que les analystes occidentaux appellent euphémiquement "Pétrole contre marchandise" pour en cacher bien des aspects qui inquiètent l’Empire.
Les plus pessimistes des courtiers n'écartent même pas un baril à 50 dollars, si le bras de fer insensé de Riyad contre « lui –même » se poursuivait au rythme actuel . Lui-même dites-vous? Et oui, car à en juger les rapports, les dépêches qui se succèdent en provenances des milieux pétroliers, ce sont plutôt les marionnettes pro- saoudiennes qui siègent au sein du Conseil de coopération du Golfe Persique ou de la Ligue arabe, ....qui commencent à pâtir sérieusement de cette débile manœuvre géostratégique ratée par avance, des stratèges de pacotille des Al-Saouds.
Dans la foulée de cette « dégringolade historique » des cours du pétrole, Riyad et à travers lui Washington , voulait sans doute voir l'Iran et la Russie, unis comme jamais auparavant autour de la cause syrienne , se mettre à genou en l'espace de quelques semaines , et se rendre à Canossa pour avoir fait si solidement barrage aux plans de l'Empire.
Or c'est plutôt l'inverse qui s'est produit : voyons quelques chiffres et dépêches véhiculés ces derniers jours par la presse atlantiste occidentale
Reuters :
-« Les bourses des pays du Golfe plongent consécutivement à la chute du prix du pétrole… »
-« La baisse de 35% des recettes pétrolière du Yémen …. »
-« le déficit budgétaire abyssal en Libye suite à la baisse des cours…
Jetons à présent un petit regard du côté" des nouvelles publiée à ce même sujet par ces mêmes sources d’information l'Iran
Financial Times :
-« L'Iran ne semble pas trop affecté par la chute du prix du baril , Rohani ayant maintenu ses grandes lignes dans l'exercice budgétaire de l'année iranienne à venir nouvelle…. »
-« Rohani : la réduction du prix du baril n'influe nullement sur les dépenses de l'Etat… »
Mais les rétro-impacts de la manœuvre saoudienne n'en restent pas là :
le prince Talal, la plus grosse fortune du royaume saoudien mettait il y a peu en garde le Roi et sa garde rapprochée contre cette " opération pétrolière suicidaire" qui n'irait arranger rien et qui ne ferait que creuser le fossé entre riches et pauvres au sein de la société saoudienne ».
Mais à Riyad , à son habitude, a des oreilles bouchées qui n’entendent jamais de bons conseils à savoir ceux qui assurerait à la fois les intérêts saoudiens et ceux des pays du Moyen Orient….
Pour la petite ( grande ?) histoire, le ministère iranien du pétrole vient d'annoncer l'inauguration de la cinquième unité de désacidification du gaz naturel extrait de la 12ème phase du plus grand champs gazier du monde à savoir Pars sud…. le procédé a fait passer la production gazière de cette seule phase, à près de 65 millions mètres cubes.... de quoi réjouir la Russie, qui se frotte déjà les mains à l'idée de pouvoir pomper plus de gaz et de pétrole iranien vers l'Asie, elle qui entre de plein pied dans ce méga deal anti- sanction avec l’Iran, deal que les analystes occidentaux appellent euphémiquement "Pétrole contre marchandise" pour en cacher bien des aspects qui inquiètent l’Empire.
Commentaire