L Opinion secret défense publié le mercredi 10 décembre à 12h39
Le groupe aéronaval, autour du porte-avions Charles-de-Gaulle, quittera Toulon vers la mi-janvier pour se rendre dans le Golfe, où ses avions participeront aux frappes en Irak. Le départ est prévu juste après que le président de la République y eu présenter ces voeux aux armées, lors d'une cérémonie à bord. Le Charles-de-Gaulle devrait rester plusieurs mois «sur zone» et ses Rafales prendront la relève de ceux de l'armée de l'air, basés aux Emirats.
La Marine se réjouit de cette décision, qui a été confirmée à la suite de la récente visite du ministre de la défense à bord. Depuis la campagne de Libye (Harmattan), les marins se sentent en effet un peu les parents pauvres des opérations, que ce soit au Mali, dans le reste du Sahel, en Centrafrique ou en Irak. Certes, ses commandos et ses avions de patrouille Atlantique 2 sont engagés, mais ces opérations impliquent, pour l'essentiel, les armées de terre et de l'air.
Le groupe aéronaval, autour du porte-avions Charles-de-Gaulle, quittera Toulon vers la mi-janvier pour se rendre dans le Golfe, où ses avions participeront aux frappes en Irak. Le départ est prévu juste après que le président de la République y eu présenter ces voeux aux armées, lors d'une cérémonie à bord. Le Charles-de-Gaulle devrait rester plusieurs mois «sur zone» et ses Rafales prendront la relève de ceux de l'armée de l'air, basés aux Emirats.
La Marine se réjouit de cette décision, qui a été confirmée à la suite de la récente visite du ministre de la défense à bord. Depuis la campagne de Libye (Harmattan), les marins se sentent en effet un peu les parents pauvres des opérations, que ce soit au Mali, dans le reste du Sahel, en Centrafrique ou en Irak. Certes, ses commandos et ses avions de patrouille Atlantique 2 sont engagés, mais ces opérations impliquent, pour l'essentiel, les armées de terre et de l'air.
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