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Réponse à l’équivoque relatif à l’héritage de la femme

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  • Réponse à l’équivoque relatif à l’héritage de la femme

    Question :

    Notre Cheikh bien-aimé, que la paix soit sur vous ainsi que la miséricorde de Dieu.

    Beaucoup de gens diffament la législation islamique (Sharî`ah) car elle octroie à l’homme la part de deux femmes au niveau de l’héritage. Comment répondre à ces calomniateurs ? Existe-t-il des situations où la femme hérite d’une part égale à celle de l’homme ?

    Réponse du Professeur, Dr Muhammad Sa`îd Ramadân Al-Bûtî

    Cette polémique traditionnelle qui dure depuis bien longtemps au sujet de l’héritage de la femme est suscitée par le décret suivant : « au mâle revient une part équivalente à celle de deux femelles » [1]. Cette règle est en fait un fragment du verset coranique suivant : « Voici ce que Dieu vous enjoint au sujet de vos enfants : au mâle revient une part équivalente à celle de deux femelles. » [1]. Ainsi, ce verset établit une loi concernant exclusivement l’héritage des enfants. Les autres héritiers, hommes et femmes, ont leurs lois spécifiques. En général, la part de ces héritiers ne dépend pas du sexe. Il peut même arriver que la part de la femme devienne supérieure à celle de l’homme. Je vous présente ci-dessous quelques situations où la part de la femme est égale voire supérieure à celle de l’homme.

    Premièrement, si le défunt laisse des enfants, un père et une mère, alors le père comme la mère prennent chacun le sixième de l’héritage, sans différence de sexe entre les deux et sans prendre en considération la règle « au mâle revient une part équivalente à celle de deux femelles » [1]. Ces deux parts sont explicitement mentionnées dans le Coran : « Quant aux père et mère du défunt, à chacun d’eux revient le sixième de ce qu’il laisse » [1].

    Deuxièmement, si le défunt laisse un frère et une sœur utérins et qu’ils ne sont exclus par aucun héritier de prime ordre [2], alors le frère comme la sœur prennent le sixième de l’héritage, sans différence de sexe entre les deux et sans prendre en considération la règle « au mâle revient une part équivalente à celle de deux femelles » [1]. Ces deux parts sont explicitement mentionnées dans le Coran : « cependant qu’il laisse un frère ou une soeur, à chacun de ceux-ci revient alors un sixième » [3].

    Troisièmement, si le défunt laisse un nombre de frères utérins supérieur à deux et un nombre de sœurs supérieur à deux, alors les frères se partagent le tiers de l’héritage et les sœurs se partagent le tiers de l’héritage également, sans différence de sexe entre les deux groupes, et sans prendre en considération la règle « au mâle revient une part équivalente à celle de deux femelles » [1].

    Quatrièmement, si la défunte laisse un époux et une fille, alors la fille prend la moitié de l’héritage et l’époux ne prend que le quart. C’est-à-dire que la femme, dans ce cas, hérite du double de l’homme.

    Cinquièmement, si le défunt laisse une épouse, deux filles et un frère, alors l’épouse prend le huitième de l’héritage, les deux filles se partagent les deux tiers et le reste revient à leur oncle qui est le frère du défunt. Ainsi chacune des deux filles hérite plus que son oncle. En effet, la part de chacune d’elles équivaut aux huit vingt-quatrièmes de l’héritage alors que leur oncle ne prend que cinq vingt-quatrièmes.

    Ainsi, il devient manifeste que la règle « au mâle revient une part équivalente à celle de deux femelles » [1] n’est pas une règle permanente qui s’applique à chaque fois qu’un homme et une femme se réunissent autour d’un héritage comme le prétendent beaucoup de gens. Cette règle concerne uniquement la situation mentionnée par Dieu, à savoir celle où un frère et sa sœur (frère et soeur germains du défunt) se réunissent autour d’un héritage sans qu’aucun d’eux ne détienne une part explicitement déterminée par le Coran [4]. Dans ce cas, le frère prend le double de sa sœur, et ce, qu’ils soient tous deux les enfants du défunt ou bien ses frères. Cette particularité comporte une sagesse infinie pour réaliser la justice entre le frère et la sœur dont les parts n’ont pas été explicitement fixées par le Coran.

    Et Dieu est le plus Savant.

    Notes
    [1] Sourate 4 intitulée les Femmes, An-Nisâ’, verset 11.
    [2] Dans le code successoral, les héritiers sont classés selon leur ordre de proximité avec le défunt. L’existence d’un héritier de premier ordre exclut les héritiers des ordres suivants de la répartition de la succession. En arabe, ce mécanisme s’appelle al-hajb i.e. l’exclusion ou le masquage.
    [3] Sourate 4 intitulée les Femmes, An-Nisâ’, verset 12.
    [4] Dans le code successoral islamique, certains héritiers héritent qu’une part déterminée (le quart, le sixième etc. ; on parle de farîdah dans la terminologie arabe) tandis que les autres héritiers se partagent le reste.

    islamonline.net
    “En politique, rien n’arrive par accident. Si quelque chose se produit, vous pouvez parier que cela a été planifié de cette façon.” (Franklin Delano Roosevelt)

  • #2
    héritage: besoin d'aide d'un notaire algérien

    Bonjour à tous,

    En fait ce post n'est pas une réponse au message précédent mais une question. En effet, je suis nouvelle sur ce forum et je ne savais pas trop où poster ma demande. Cette rubrique est celle qui se rapproche le plus de ce que je recherche. Désolée
    Voici la situation:
    mon père, qui vit en France, est propriétaire d'une maison en Algérie. Le bail ou acte de propriété est à son nom. Ma mère insiste pour qu'il mette la maison à son nom également (Mr. et Mme) mais il n'en voit pas l'utilité. Ma mère craint que s'il venait à décéder, l'Etat mette la main sur la maison et ne la lui donne pas ou que les administrations lui réclament des tas de papiers et justificatifs pour la lui rendre (elle a une amie qui a mis 8 ans pour récupérer la maison de son époux décédé!). Par ailleurs, mon père a également un compte en banque en Algérie et a donné procuration sur ce compte à ma mère.
    Voici mes questions:
    -en cas de décès, à qui reviendrait les biens immobiliers de mon père et l'argent en banque?
    -en cas de décès, l'Etat s'attribue-t-il un pourcentage des sommes en banques du défunt?
    Merci d'avance pour votre réponse.
    Myriam

    Commentaire


    • #3
      Bonjour Myriam!
      Vous n'avez spécifiez le nombre d'héritiers probables ?

      Ta mère n'a le droit que d'1/8 de la totalité des biens quelque soit la situation (sauf dans le cas où le défunt ne laisse pas de descendance ,elle a droit au quart)

      Si ton père laisse un fils (mâle) ,des ascendants (père,mère) ?
      Chaque cas est spécifique !
      L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

      Commentaire


      • #4
        Myriam


        Les biens de ton papa reviendraient à ses héritiers évidement.
        L'état comme partout ailleurs touche juste les droits de succession.

        Les héritiers comme l'a bien mentionné Molker c'est au cas par cas.

        Mais globalement si vous avez des frères, l'héritage serait entre vous les frères et soeurs, votre maman et vos grands parents paternels s' ils sont encore vivants.

        Si vous n'avez aucun frère...si vous n'êtes que des filles.....vos oncles et tantes paternels ou a défaut cousins heriteraient avec vous....etc
        مالي و للناس كم يلحونني سفها
        ديني لنفسي و دين الناس للناس

        Commentaire


        • #5
          En cas d'une vraie application de la charia , la femme est tjs gagnante

          Commentaire


          • #6
            Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

            1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
            2.De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.
            Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

            Commentaire


            • #7
              Si il ya un sujet qui a donne autant de vertige au oulemas musulmans c'est bien ce sujet d'heritage, car en suivant les instructions et fractions mentionnes dans le coran pour chaque membre de la famille, souvent la combinaison de ses fractions resultent avec un surplus, c'est a dire le total n'egale pas l'unite. est ce une erreur humaine ou divine ?.

              Example :




              C. 4:11
              Voici ce qu'Allah vous enjoint au sujet de vos enfants : au fils, une part équivalente à celle de deux filles. S'il n'y a que des filles, même plus de deux, à elles alors deux tiers de ce que le défunt laisse. Et s'il n'y en a qu'une, à elle alors la moitié. Quant aux père et mère du défunt, à chacun d'eux le sixième de ce qu'il laisse, s'il a un enfant. S'il n'a pas d'enfant et que ses père et mère héritent de lui, à sa mère alors le tiers. Mais s'il a des frères, à la mère alors le sixième, après exécution du testament qu'il aurait fait ou paiement d'une dette. De vos ascendants ou descendants, vous ne savez pas qui est plus près de vous en utilité. Ceci est un ordre obligatoire de la part d'Allah, car Allah est, certes, Omniscient et Sage
              Et à vous la moitié de ce que laissent vos épouses, si elles n'ont pas d'enfants. Si elles ont un enfant, alors à vous le quart de ce qu'elles laissent, après exécution du testament qu'elles auraient fait ou paiement d'une dette. Et à elles un quart de ce que vous laissez, si vous n'avez pas d'enfant. Mais si vous avez un enfant, à elles alors le huitième de ce que vous laissez après exécution du testament que vous auriez fait ou paiement d'une dette. Et si un homme ou une femme, meurt sans héritier direct, cependant qu'il laisse un frère ou une soeur, à chacun de ceux-ci alors, un sixième. S'ils sont plus de deux, tous alors participeront au tiers, après exécution du testament ou paiement d'une dette, sans préjudice à quiconque…."
              C. 4:176
              “Ils te demandent ce qui a été décrété. Dis : "Au sujet du défunt qui n'a pas de père ni de mère ni d'enfant, Allah vous donne Son décret : si quelqu'un meurt sans enfant, mais a une soeur, à celle-ci revient la moitié de ce qu'il laisse. Et lui, il héritera d'elle en totalité si elle n'a pas d'enfant. Mais s'il a deux soeurs (ou plus), à elles alors les deux tiers de ce qu'il laisse; et s'il a des frères et des soeurs, à un frère alors revient une portion égale à celle de deux soeurs. Allah vous donne des explications pour que vous ne vous égariez pas. Et Allah est Omniscient
              un homme meurt en laissant derrière lui une épouse, trois filles et ses deux parents

              Epouse 1/8 = 3/24
              Filles 2 /3 = 16/24
              Père 1 /6 = 4/24
              Mére 1 /6 = 4/24
              Total = 27/24 ??

              un autre exemple:
              le defunt a laisse sa mere, 2 soeurs et son epouse en vie: les fractions sont les suivantes:
              - l'epouse: 1/4
              - la mere : 1/3
              - 2 soeurs: 2/3

              la somme: 1/4+1/3+2/3=1+1/4 (ou 15/12 ??)


              c'est pas les exemple qui manque.

              Meme le code babylonien de hamourabi des siecles avant n'avait pas autaunt de calculs abradacabrants concernant l'heritage.

              Commentaire


              • #8
                c'est pas les exemple qui manque.
                tu peux donner d'autres exps pour mieux voir tes "erreurs".
                Ils serait intéressant de lire la réponse du coraniste Babeloued qui nous abreuve souvent de mathématiques dans ses argumentations (et tjs à coté de la plaques)
                Dernière modification par mertaw, 11 juin 2015, 18h15.

                Commentaire


                • #9
                  tu peux donner d'autres exps pour mieux voir tes "erreurs".
                  tu veux dire s'il a d'autres "copier-coller" avec lui

                  Guellek :
                  Meme le code babylonien de hamourabi des siecles avant n'avait pas autaunt de calculs abradacabrants concernant l'heritage.
                  Non ...ce n'était pas nécessaire puisque la femme était elle même un héritage

                  Epouse 1/8 = 3/24
                  Filles 2 /3 = 16/24
                  Père 1 /6 = 4/24
                  Mére 1 /6 = 4/24
                  Total = 27/24 ??
                  babababab ...la découverte !!!!!

                  Que peut-on faire devant ce i'idjez ?!!!!

                  1/8 +2/3 +1/6 + 1/6 = 27/24 c’est égale aussi à 9/8
                  1/8 +2/3 +1/6 + 1/6 = 9/8

                  Si H désigne l’héritage :

                  1/8 H +2/3 H +1/6 H + 1/6 H = 9/8 H
                  8/9 (1/8 H +2/3 H +1/6 H + 1/6 H) = H
                  8/72 H + 16/27 H + 8/54 H + 8/54 H = H
                  8/72 H + 16/27 H+ 16/54 H = H
                  8/72 H + 16/27 H + 8/27 H = H
                  1/9 H + 24/27 H = H
                  3/27 H + 24 H = H
                  27/ 27 H = H ………….magiqueH=H non ....

                  Commentaire


                  • #10
                    la somme: 1/4+1/3+2/3=1+1/4 (ou 15/12 ??)
                    15/12 .......ou 5/4

                    Et on procède de la même façon et en plus court pour arriver H= H

                    Y a quelqu'un qui va renouveler l'expérience de l'apostasie ....C'est foutu pour la divinité math

                    Commentaire


                    • #11
                      @mertaw
                      tu peux donner d'autres exps pour mieux voir tes "erreurs".
                      Pourquoi d'autres exps, les deux exemples ici ne t'ont pas suffit ?

                      Pourtant sont simples calculs de fractions du niveaux 8,9 annee fondamentale. Si tu vois pas l'erreur, montre nous le contraire, ne sois pas timide svp.

                      Ils serait intéressant de lire la réponse du coraniste Babeloued qui nous abreuve souvent de mathématiques dans ses argumentations (et tjs à coté de la plaques)
                      pourquoi tu fais appel a babeloued, defends toi comme un grand.

                      Commentaire


                      • #12
                        au troll notoire de ce forum - ex confiture

                        Si H désigne l’héritage :

                        1/8 H +2/3 H +1/6 H + 1/6 H = 9/8 H
                        8/9 (1/8 H +2/3 H +1/6 H + 1/6 H) = H
                        8/72 H + 16/27 H + 8/54 H + 8/54 H = H
                        8/72 H + 16/27 H+ 16/54 H = H
                        8/72 H + 16/27 H + 8/27 H = H
                        1/9 H + 24/27 H = H
                        3/27 H + 24 H = H
                        27/ 27 H = H ………….magiqueH=H non ....
                        Tu veux prouver quoi par ca ? sauf confirmer ce que j'ai dit plus haut. mais tu saisis meme pas la nuance. si tu veux prouver le contraire et jouer aux H=H fallait commencer ton equation par ca

                        1/8 H +2/3 H +1/6 H + 1/6 H = 1 H on verra la suite.

                        un exemple plus simplifie pour toi.

                        un homme meurt en laissant derrière lui une épouse, trois filles et ses deux parents, et 100 mulets (comme toi).

                        la repartion de la succession selon les versets cites :

                        Epouse 1/8 = 12 (chiffres sont arrondis)
                        Filles 2 /3 = 66
                        Père 1 /6 = 16
                        Mére 1 /6 = 16
                        Total = 110 .... comme tu vois ya dix mulets de plus

                        Non ...ce n'était pas nécessaire puisque la femme était elle même un héritage
                        je vois bien un mulet a cote de la plaque de ce qu'on parle ici.

                        bon on a assez nourri le troll. de grace ne me reponds plus sur ce forum.

                        Commentaire


                        • #13
                          La véritable connaissance de la doctrine de l’islam dans l’héritage révèle a son premier abord que la différenciation dans les parts des héritiers et des héritières ne revient jamais à la seule norme de la masculinité et la féminité. Pour ceux qui ne le savent toujours pas, il existe en fait plusieurs cas, comme nous l'ont précisé nos amis, où la femme prend comme l’homme, ou même plus que lui. Dans d'autres cas elle hérite alors que son homologue des hommes n’hérite pas. Seuls dans quelques cas la femme hériterait la moitié de la part de l’homme. En réalité absolument aucune faille ne peut se trouver dans le coran ou les hadiths concernant les intérêts économiques politiques ou sociaux de la femme aussi minimes soient-ils..

                          L’héritage en islam n'est donc en aucune façon un butin dont la distribution doit se faire a égalité entre des prédateurs car cela constituerai en fait un adieu entre les héritiers frères et sœurs et un oubli total de ce qui les relie. L’héritage dans le contexte de la famille islamique s'effectue en considération des engagements a venir. C'est tout le secret de la famille. Les biens a hériter resteront éternellement insufflés de la senteur des liens familiaux qui appelle notre conscience a les maintenir et notre raison a faire perpétuer en conformité avec les préceptes de la législation islamique sur l'ascendance, la descendance, la filiation, le lignage et la parenté..
                          Dernière modification par said2010, 15 juin 2015, 12h21.
                          A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
                          Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

                          Commentaire


                          • #14

                            Citation:
                            Ils serait intéressant de lire la réponse du coraniste Babeloued qui nous abreuve souvent de mathématiques dans ses argumentations (et tjs à coté de la plaques)
                            pourquoi tu fais appel a babeloued, defends toi comme un grand.
                            D'un coté il ne répond pas de l'autre coté il demande que je réponde a sa place tout en jugeant mes réponses a coté de la plaque selon lui !!!!

                            Wallah Laadjab Ya Khouya on ne comprend la logique de cette réaction sauf a faire du HS.

                            @ Gingerman
                            T'as compris certains du Forum aiment bien détourner les sujets et pourrir les discussions.

                            Commentaire


                            • #15
                              Problème d'héritage !

                              Un homme sans héritiers, avait à sa mort 17 chameaux. Mais avant de mourir, il avait rédigé un testament pour ses 3 amis, précisant que le 1er aura le 1/2 de l'héritage, le second le 1/3 et le troisième le 1/9.

                              Question : comment exécuter fidèlement ce testament ?
                              "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

                              Commentaire

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