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Avec un volume d’exportation vers l’Algérie de 1,980 millions de tonnes de blé tendre et 683 000 tonnes de blé dur pour les seuls mois de juin et juillet derniers, la France demeure le premier fournisseur de notre pays. C’est ce qui a été annoncé par les représentants de France export céréales, à l’occasion de la rencontre franco-algérienne sur les céréales, qui s’est tenue à l’hôtel Hilton.
Ces statistiques ont été confortées par le président de France export céréales, M. Jean-Jacques Vorimore, qui souligne que ce volume représente 66 % des achats algériens de blé tendre et 45 % des achats de blé dur. Les relations commerciales entre l’Algérie et France export céréales ne s’arrêtent pas à l’exportation de blé, mais s’étendent à des relations de partenariat, dans les échanges d’expérience dans le domaine de la céréaliculture.
L’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) et France export céréales ont signé un protocole de partenariat depuis 2004, portant sur les échanges d’informations économiques, le renforcement des compétences techniques et la formation des cadres et techniciens de l’OAIC.
Sur un autre plan, France export céréales organise des sessions de formation en meunerie pour les minotiers algériens. En tout cas, la rencontre d’hier, en présence d’un nombre important de représentants de différents organismes publics et privés, a été, pour les organisateurs français, l’occasion indiquée pour débattre les questions relatives à la récolte céréalière française et à sa mise en valeur.
Les débats ont été particulièrement axés sur la qualité du blé et les potentialités importantes des récoltes futures. Dans cet ordre d’idées, les intervenants français n’ont pas manqué de revenir sur la disponibilité du blé à l’exportation.
Selon les chiffres annoncés par Mlle Deschamps, de l’Institut du végétal, la récolte française a atteint cette année 35 millions de tonnes de blé moissonné. Elle a estimé que ce volume va largement satisfaire les besoins de ses gros clients à travers le monde.
S’agissant de la qualité des blés tendres et durs, les communications qui se sont succédé font ressortir que les agriculteurs français ont déployé des efforts plus que méritoires, notamment durant cette dernière décennie où la récolte a doublé d’une année à l’autre, avec en prime une amélioration significative de la qualité.
Une qualité exceptionnelle constatée dans la plupart des régions d’intensification, estime-t-on, avec des indices de critères s’avérant meilleurs que ceux de l’année 2005. Les analyses portant sur l’amélioration de la qualité font ressortir d’excellents indices de jaune, de brun, de taux de moucheture, de teneur en protéines et de vitrosité.
Avec une récolte de 2, 1 millions de tonnes de blé dur en 2006, la France enregistre une production record proche de celle de l’année 2004. Ce chiffre record positionne.
- Le Jeune Independant
Ces statistiques ont été confortées par le président de France export céréales, M. Jean-Jacques Vorimore, qui souligne que ce volume représente 66 % des achats algériens de blé tendre et 45 % des achats de blé dur. Les relations commerciales entre l’Algérie et France export céréales ne s’arrêtent pas à l’exportation de blé, mais s’étendent à des relations de partenariat, dans les échanges d’expérience dans le domaine de la céréaliculture.
L’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) et France export céréales ont signé un protocole de partenariat depuis 2004, portant sur les échanges d’informations économiques, le renforcement des compétences techniques et la formation des cadres et techniciens de l’OAIC.
Sur un autre plan, France export céréales organise des sessions de formation en meunerie pour les minotiers algériens. En tout cas, la rencontre d’hier, en présence d’un nombre important de représentants de différents organismes publics et privés, a été, pour les organisateurs français, l’occasion indiquée pour débattre les questions relatives à la récolte céréalière française et à sa mise en valeur.
Les débats ont été particulièrement axés sur la qualité du blé et les potentialités importantes des récoltes futures. Dans cet ordre d’idées, les intervenants français n’ont pas manqué de revenir sur la disponibilité du blé à l’exportation.
Selon les chiffres annoncés par Mlle Deschamps, de l’Institut du végétal, la récolte française a atteint cette année 35 millions de tonnes de blé moissonné. Elle a estimé que ce volume va largement satisfaire les besoins de ses gros clients à travers le monde.
S’agissant de la qualité des blés tendres et durs, les communications qui se sont succédé font ressortir que les agriculteurs français ont déployé des efforts plus que méritoires, notamment durant cette dernière décennie où la récolte a doublé d’une année à l’autre, avec en prime une amélioration significative de la qualité.
Une qualité exceptionnelle constatée dans la plupart des régions d’intensification, estime-t-on, avec des indices de critères s’avérant meilleurs que ceux de l’année 2005. Les analyses portant sur l’amélioration de la qualité font ressortir d’excellents indices de jaune, de brun, de taux de moucheture, de teneur en protéines et de vitrosité.
Avec une récolte de 2, 1 millions de tonnes de blé dur en 2006, la France enregistre une production record proche de celle de l’année 2004. Ce chiffre record positionne.
- Le Jeune Independant