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Maroc : le « prince rouge » appelle le roi à donner sa fortune au pays

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  • Maroc : le « prince rouge » appelle le roi à donner sa fortune au pays

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    Pierre Haski | Cofondateur Rue89




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    La couverture du livre de Moulay Hicham El Alaoui
    La presse l’a surnommé « le prince rouge ». Il s’en amuse, tout en récusant les implications idéologiques d’un tel code couleur. Pourtant, Moulay Hicham El Alaoui, cousin du roi Mohammed VI du Maroc, s’attaque dans un livre explosif aux fondements même du pouvoir dont il est issu.

    Son livre, « Journal d’un prince banni », est publié en France, et il est peu probable qu’on le retrouve dans les vitrines des librairies de Rabat ou de Casa.

    Moulay Hicham – qui vit exilé aux Etats-Unis – y brise plus d’un tabou de la monarchie alaouite, qu’il s’agisse de laver le linge (très) sale de sa famille ou de formuler des propositions de réforme qui sapent la base du régime.

    Comme il l’écrit lui-même :

    « Jamais dans la longue histoire dynastique du royaume, un membre de la famille régnante n’a pris la plume pour partager ses idées avec l’“extérieur” au-delà des murs du Palais ».

    L’obstacle de l’Etat-Makhzen

    Le prince Moulay Hicham ne se dit pas « antimonarchiste par principe », reconnaissant toutefois qu’il pourrait, écrit-il,

    « [...] très bien vivre dans une république marocaine, si ce régime [lui] paraissait la meilleure option pour [s]on pays ».

    Il s’empresse de préciser qu’il n’est « candidat à rien » et ne souhaite « prendre la place de personne » – ce que le Palais, à Rabat, s’empressera de récuser en le traitant d’ « Iznogoud » aspirant à devenir « vizir à la place du vizir »...

    Le point essentiel, pour cet homme, qui a grandi dans les Palais, à l’ombre tutélaire et autoritaire du roi Hassan II (le frère aîné de son père qui en a beaucoup souffert), est ailleurs :

    « Il n’y aura pas de progrès digne de ce nom, c’est-à-dire réel pour le plus grand nombre au Maroc, avec l’Etat-Makhzen tel qu’il existe ».

    Le Makhzen – mot arabe qui a donné « magasin » en français –, c’est le système d’intérêts et de pouvoir de la monarchie marocaine, qui fait que le roi est la plus grande fortune du royaume (plusieurs milliards de dollars, selon le classement de Forbes), sans avoir de comptes à rendre à qui que ce soit.

    Moulay Hicham, dont le père était en délicatesse avec Hassan II avant que lui-même ne se retrouve en hostilité avec l’actuel souverain – avec qui il a pourtant grandi et partagé beaucoup de complicité d’enfants – raconte qu’au lendemain des funérailles de son oncle, en 1999, il est allé rendre visite à son cousin, devenu Mohammed VI :

    « Je lui dis que le patrimoine de la maison royale doit revenir à la nation. »

    « Nos politiques sont des eunuques »

    Les deux hommes ne se reverront quasiment plus, surtout depuis le Printemps arabe, en 2011, qui, au Maroc, a porté le nom de Mouvement du 20 Février, et auquel Moulay Hicham a apporté son soutien.


    Le roi Mohammed VI salue la foule à Rabat, octobre 2012 (AP Photo/Azzouz Boukallouch, Palais royal marocain)
    Le prince « rebelle », qui n’a rien d’un exilé sans le sou et s’est mué en entrepreneur de haut vol, porte un jugement sévère sur le système politique de son pays :

    « Il est facile d’accabler de mépris la classe politique marocaine. Or, dans le cadre qui lui est imposé, ses options se résument à un dilemme qu’elle aborde les mains liées : le risque systémique tout de suite, ou l’effondrement à terme de l’ordre dont elle fait elle-même partie ?

    Nos politiques sont des eunuques. Les analystes se plaisent à les traiter de minus habens mais, s’ils étaient à leur place, ils ne feraient pas mieux qu’eux. Car, à moins de s’attaquer au Makhzen, le champs des possibles reste clôturé.

    Donc si vous demeurez dans le système, le système vous éviscère puis on vous reproche de manquer de tripes. La seule manière de recouvrer sa dignité autant que sa liberté d’action, c’est de casser le moule et de renoncer à ses propres privilèges – pour pouvoir exiger que la monarchie fasse de même. »

    Il appelle donc – comme il l’avait déjà fait dans un article paru dans... Le Monde diplomatique, du vivant même d’Hassan II – à transformer les « sujets » du roi en « citoyens ». Une proposition qui, déjà, lui avait valu l’ire royale.

    « Enfin, je n’étais plus seul ! »

    Il lui faudra attendre le printemps 2011 pour ne plus se sentir seul :

    « Le Printemps arabe a été pour moi une aubaine. Enfin, je n’étais plus seul ! Enfin, des millions de gens ordinaires clamaient dans la rue ce que j’avais dit et répété des années seulement pour me trouver mis à l’écart comme “prince rouge”, c’est-à-dire comme un révolutionnaire privilégié de naissance – une contradiction dans les termes. [...]

    Comme pour le Printemps arabe dans son ensemble, il n’y aura pas de retour au passé au Maroc. Le Mouvement du 20 Février s’est effiloché ? Sans doute. D’ailleurs, est-ce surprenant, quand l’organisation d’une vague de protestations ne parvient à se définir que par sa date de naissance en 2011 ?

    Il n’empêche que les prophètes populaires qui sont descendus dans la rue, semaine après semaine, ne perdent ni mon profond respect, ni ma sympathie politique – et je ne suis sûrement pas seul. Dans l’oreille de beaucoup de Marocains, désormais affranchis de l’effroi du pouvoir, leurs paroles libres continuent de résonner. “Où est l’argent du peuple ? C’est le Makhzen qui l’a volé !”, “Makhzen dégage ! Nous n’avons plus peur de tes matraques”... »

    Au-delà de sa dimension politique évidente, le livre est passionnant pour ce qu’il dit de la famille royale de l’intérieur : l’éducation d’un prince, les humeurs et l’arbitraire d’Hassan II, les rivalités du Palais, l’isolement qui a fait que Moulay Hicham n’a réalisé ce qu’était la pauvreté de la population que lorsque les clameurs des émeutes de la faim de 1981 sont parvenues jusqu’au Palais...

    On avait jusqu’ici des récits extérieurs, avec, en particulier, le célèbre « Notre ami le roi » de Gilles Perrault qui eut tant d’écho au début des années 90. Voici maintenant le récit à la première personne, d’un pur produit du Makhzen.

    Attendons désormais la contre-attaque de l’entourage du roi, car le « prince rouge » explique bien comment le Palais sait activer ses réseaux, ses amitiés, ses clients, jusque dans la presse française et les allées du pouvoir à Paris.

    MERCI RIVERAINS ! JeanneSolo

  • #2
    J'espère qu'il va arriver à prendre la tête de l'Etat Marocain ! Cela apaisera la région !

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    • #3
      Qu'il commence déjà par donner sa propre fortune, au lieu de financer des universités américaines, des projets à l'étranger.

      Et rien au Maroc.
      La vitesse de la lumière dépassant celle du son, certaines personnes paraissent brillantes avant de l'ouvrir

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      • #4
        Qu'il commence déjà par donner sa propre fortune, au lieu de financer des universités américaines, des projets à l'étranger.

        Et rien au Maroc
        Tu sais que personne ne peut investir au Maroc sans l'aval du roi et de ses acolytes que sont Majidi et Bouhemou !
        De plus, la fortune de Mohamed 6 est colossale ... immense ... tu sais très bien qu'il a effectué un véritable hold-up sur le Maroc !
        Dernière modification par Gétule, 13 décembre 2014, 11h54.

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        • #5
          Cela est le cas pour tous les pays du monde, les gens riches ne prêtent qu'aux riches. oeilfermé

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          • #6
            Ne me faites pas rire, vous voyez le maroc avec les yeux de la drs.

            Preuves à l'appui, il y a des hommes plus riches que le roi au Maroc. Et toute sa fortune y est investie, faisant travailler avant tout les marocains, contribuant au développement du pays.

            Pas comme certains, dont la fortune est en Suisse, bien camouflée.
            La vitesse de la lumière dépassant celle du son, certaines personnes paraissent brillantes avant de l'ouvrir

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            • #7
              Gétule

              Avant de parler, documente toi de manière objective et apporte des chiffres venant de sources fiables. Tout le monde est libre d'investir au Maroc, n'en déplaise à ceux qui prétendent le contraire.

              Renault, 400.000 véhicules par an par exemple. Ca te dit quelque chose ??
              La vitesse de la lumière dépassant celle du son, certaines personnes paraissent brillantes avant de l'ouvrir

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              • #8
                Avant de parler, documente toi de manière objective et apporte des chiffres venant de sources fiables.
                Je suis très bien documenté sur la façon d'investir au Maroc et, surtout, sur les "clefs" qui ouvrent les portes pour la faire ... Mohamed 6 est surnommé à juste titre "le roi prédateur" !
                Désolé de te contredire mais le plus riche homme du royaume c'est M6... je dirais même plus: c'est le deuxième plus riche de tous les rois après le sultan de Brunei ! oui oui, il est plus riche que le roi du Koweit !

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                • #9
                  Son livre, « Journal d’un prince banni », est publié en France, et il est peu probable qu’on le retrouve dans les vitrines des librairies de Rabat ou de Casa.



                  Faux...Le livre est en vente au Maroc.

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                  • #10
                    Le prince Moulay Hicham est un homme de lettre.
                    Qui achète ses titres en finançant ces universités qui les lui délivre.

                    Tout sur les diplômes de Moulay Hicham

                    Par Ziad Alami ( le 360) le 20/11/2014

                    Lorsqu’on s’intéresse de près au parcours académique de Moulay Hicham, on se rend compte que celui-ci ressemble plutôt au cursus d’un étudiant par intermittence. A défaut de diplômes prestigieux, le prince s'est payé des titres pompeux. Enquête.
                    Moulay Hicham cultive l’image d’un intellectuel démocrate. Un intellectuel d’abord, démocrate ensuite. Dans ses interventions, il fait un usage forcené de la terminologie savante des universitaires. Ses passages sur les plateaux télés peuvent être assimilés à une parodie d’un discours abscons de chercheurs qui ont passé le plus clair de leur temps dans les bibliothèques. Le côté jargonneux du prince n’épargne pas “ses“ écrits non plus. On dirait qu’à défaut de se faire entendre par la clarté des idées, Moulay Hicham chercher à en imposer par un vocabulaire qui appartient à la corporation des universitaires. Pourtant, cette manie jargonneuse du prince s’accompagne d’une espèce d’omerta sur ses diplômes universitaires. Le dernier épisode de sa tentative d’inscrire un doctorat sous la férule de Tariq Ramadan à Saint Antony’s College, dépendant de la célèbre université d’Oxford en Angleterre, pousse légitimement à chercher à connaître le parcours universitaire de celui se proclame partout comme le prince intellectuel.

                    Un master orphelin
                    Lorsqu’on s’intéresse de près au parcours académique de Moulay Hicham, on se rend compte que celui-ci ressemble plutôt au cursus d’un étudiant par intermittence. Le parfait dilettante de la recherche universitaire. D’après sa biographie officielle qui orne le site de sa fondation éponyme, le prince a tout d’abord obtenu en 1985 un «Bachelor of Arts» en sciences politiques à Princeton. Il a hiberné ensuite 10 ans avant de décrocher en 1997 un «Master of Art» à l’International Policy Studies (IPS), dépendant de l’université américaine Stanford. Quand on sait que la durée maximale d’un master ne dépasse pas deux années, on ne peut que s’étonner de la manière fantaisiste dont le prince appréhende les études universitaires. Stricto Sensu, le diplôme le plus élevé obtenu par Moulay Hicham est un master, car, depuis 1997, le prince a fait parler de lui dans les universités par de généreux dons, mais n’a pas décroché d’autres diplômes.
                    D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si le prince expédie sans commentaire ses diplômes américains et préfère davantage s’épancher sur l’institut d’études transrégionales qu’il a créé à Princeton et le mécénat universitaire dispensé par la fondation Moulay Hicham, dont le siège est bizarrement domicilié dans le paradis fiscal du Liechtenstein. Dans son CV, le prince est volontiers volubile sur sa participation à la mission de paix onusienne aux côtés de Bernard Kouchner. Laquelle mission n’a pas encore révélé tous les secrets sur les «exploits» réalisés par le prince au Kosovo.

                    A défaut de diplômes, des titres pompeux
                    Pour mieux comprendre la stratégie universitaire du prince et le crédit qu’il accorde à l’autorité des universités, il faut dénombrer les titres qu’il se donne. Le es qualité du prince dénote la fois sa soif d’un titre professoral et la difficulté à l’acquérir sans le diplôme qui va avec. A partir de 2007, Moulay Hicham s’est entiché d’une panoplie de titres universitaires. Il a commencé à se présenter comme «chercheur invité», puis «professeur consultant» au «Center on Democraty, Development, and the Rule of Law» de l’université Stanford, «membre consultatif à l’institut Freeman Spogli pour les études internationales», ou encore comme «conseiller» du réseau «American Middle Eastern Network for Dialogue at Stanford». Entre ces quatre titres que le prince a du mal à placer sur ses cartes de visites, il manque Le Titre, celui de Professeur avec un P en majuscule – la seule distinction aux USA qui correspond au grade éponyme. Car le nom commun «professeur» est très souvent utilisé aux Etats-Unis comme une formule de courtoisie qui n’a strictement rien à voir avec la nomenklatura professorale américaine, commençant à la base par le grade de «Lecturer» (étudiant-chercheur), en passant par ceux de «Professeur Assistant» et «Professeur Associé», avant d’accéder au sommet de la pyramide, incarné par le titre de «Professeur» et «Professeur Emérite».
                    Plus grave : comme le mentionne noir sur blanc le site électronique de l’International Policy Studies à Stanford, cet institut délivre un «master of art» enseigné à plein temps sur deux ans, qui n’ouvre nullement la voie à la préparation du Phd. En d’autres termes, il s’avère qu’avant d’être repêché par Tariq Ramadan au Saint Antony’s College, Moulay Hicham n’a jamais bénéficié de l’habilitation l’autorisant à effectuer des recherches universitaires. Seule cette habilitation ouvre la voie pour inscrire un doctorat. On se demande par quel tour de passe-passe le prince va escamoter l’habilitation et passer directement au doctorat.

                    Homme d’action ou de réflexion ?
                    Moulay Hicham aime à rappeler de façon obsessionnelle qu’il est le «cousin germain du roi du Maroc». L’attachement de Moulay Hicham à décliner comme «une marque déposée» son cousinage avec le souverain marocain, illustre justement cette tendance du prince à vouloir briller dans le sillage du roi. L’image d’intellectuel qu’il se forge n’a d’intérêt que grâce à ce cousinage qu’il rappelle de façon systématique. En d’autres termes, ce qui intéresse tant les universitaires que les médias, c’est le caractère «original» du cousin germain du roi du Maroc qui joue aux penseurs et aux intellectuels. A défaut de ce cousinage, Moulay Hicham sombrerait dans l’anonymat ou serait juste un nom parmi des milliers de donateurs généreux aux universités. Pourtant en terme de parcours universitaire, le prince aurait dû prendre exemple sur ses deux cousins germains qui ont soutenu dans les règles de l’art des doctorats d’Etat avant d’atteindre la trentaine, alors que le prince quinquagénaire entrera probablement dans le Guinness des doctorants les plus âgés s’il met autant de fantaisie à soutenir son Phd que son Master.
                    Mais plus sérieux: le prince sait ou devrait savoir qu’il existe une ligne infranchissable entre le domaine des chercheurs universitaires et celui des acteurs politiques. Moulay Hicham est un acteur politique qui mobilise toute son énergie à parrainer et financer les personnes qui ont des griefs contre le Maroc et ses institutions. Cet homme d’action devrait se résoudre à accepter qu’il ne sera jamais un homme de réflexion. Indépendamment du fait qu’il en soit capable ou pas, son agenda est éminemment politique. Et la politique ne fait jamais bon ménage avec la recherche universitaire.

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                    • #11
                      Cet Iznogoud dispose d'une ÉNORME fortune pour laquelle son père( Moulay Abdellah) n'a rien foutu pour la mériter et qu'il a fait sortir du pays au lieu de l' y investir.

                      Qu'il commence déjà par donner l'exemple

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                      • #12
                        Le simple fait de dénigrer un homme pourtant favorable à l'évolution de ton pays démontre à quel point tu es endoctriné par le makhzen et incapable de réfléchir par toi-même.
                        Et toi par une junte( et ses drabkyas) qui s'agrippent sur tout ce qui est nuisible pour la stabilité du Maroc.

                        Alors ta soudaine "sympathie" pour ce prince , tu sais ce que tu peux en faire.

                        Au Maroc et pour l'ensemble des marocains ce prince est inexistant..

                        Quant à toi tu as beaucoup à faire pour destituer la momie qui te sert de president et qui ridiculise ton pays au lieu de chercher à liberer les autres.
                        Dernière modification par Serpico, 13 décembre 2014, 15h09.

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                        • #13
                          Pas uniquement ça, je me rappelle qu'il a fait sortir de sa immense ferme un nombre de familles pauvres sans les payer alors que les pauvres avaient ce travail comme seule source d'argent. Et en plus il les a fait tourner dans les tribunaux.

                          Je vous assure qu'il n'est pas si rouge que ça.


                          Googler sur moulay-hicham-tel-que-je-lai-connu-dun-harem-a-lautre-episode-3

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                          • #14

                            Mohamed 6 est un homme stupide, boulimique, obscène, sans charisme et sans grande intelligence politique non plus. Par contre le prince Hicham est un homme intelligent, ouvert sur le monde et le Maghreb, sensible aux questions des droits de l'homme. Il est plus connu à l'étranger qu'au Maroc car les marocains abrutis par la propagande du Makhzen ne se reconnaissent pas en la subtilité et le modernisme de cet homme, qui fait beaucoup d'ombre à M6 l'idiot du village.


                            Son père était un excellent lettrés, un orateur hors pair avec beaucoup de charisme ..., et pourtant ça été une catastrophe pour les marocains
                            Je suis pas royaliste mais il est incontestable que les marocains respirent mieux avec Mohamed 6 , les reformes économiques ont été substantielles , les infrastructures ont beaucoup progressé
                            Bien évidemment , beaucoup reste a faire mais je suis pas sur que son cousin fasse mieux . beaucoup de chose pietiennent au Maroc a cause de la société civile et de ses pesanteurs et non par manque de volonté politique
                            Quand au so ,cousin ou pas , cela reste et restera un dogme que personne ne touchera

                            Commentaire


                            • #15
                              Tu regardes l'Algérie à travers le prisme des médias du Makhzen.

                              DER ARBEITER
                              Pas besoin , ton pays respire le tiers mondisme à plein nez et ce malgré la rente pétrolière sinon c'est le niveau de la Somalie mon cher.
                              Encore une fois occupe toi de renverser cette junte qui t’écrase depuis l’indépendance à ce jour.

                              Et laisse les marocains régler leur problème eux même et je ne crois pas que c'est ce prince ,qui n'est connu que des intellos, qui fera changer les choses.

                              Quant à M6 (qui a fréquenté les grandes écoles et obtenu des hauts diplômes )et comparé aux fakakirs qui dirigent ton pays avec un bac-10) , tu ferais mieux de ne pas la ramener....

                              Il ne s'agit pas d'etre un populiste pour diriger un pays ( comme l'etait Hassan II et Boutef) mais quelqu'un qui travaillle en silence.

                              Et ce qu'a entrepris M6 en quinze ans , il depasse de loin les réalisation de son père en 40 ans de règne..

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