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Journée cinématographique d’Alger: La cause sahraouie en ouverture
Organisée jusqu’au 18 décembre à la salle El Mougar, avec la programmation d’un total de seize films, répartis dans les catégories documentaire et œuvre de fiction, la 5e édition des Journées du film engagé, du Festival international du cinéma d’Alger (FICA), a été ouverte vendredi soir par la projection du documentaire Enfants des nuages, la dernière colonie, du réalisateur espagnol Alvaro Longoria.
Film de plus de 80 minutes réalisé en 2012 et suivi vendredi par un public relativement nombreux, le documentaire suit le voyage que fera le réalisateur en 2008 en Algérie dans les camps de réfugiés sahraouis à l’occasion du festival du cinéma Fisahara et qui le conduira quatre ans plus tard à intervenir devant la commission de décolonisation de l’Organisation des Nations unies.
Constitué de nombreux témoignages et d’interviewes de responsables du Front Polisario, le documentaire Enfants des nuages, la dernière colonie s’attarde, en utilisant notamment des séquence d’animation, à expliquer les origines de la colonisation du Sahara occidental, mais aussi à dénoncer la répression et la torture, un moyen pour le réalisateur de souligner la nécessité d’élargir aux droits de l’Homme le mandat de la mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso).
Hier, l’événement a été marqué par la diffusion des documentaires H’na Berra de Bahia Bencheikh El Fegoun et Meriem Achour Bouakkaz, ainsi que du film très engagé Gaz de schiste : les lobbies contre-attaquent réalisé par Michel Tedoldi.
La 5e édition des Journées du film engagé se poursuivra aujourd’hui par la diffusion à partir de 15h de deux documentaires. Le premier basé sur l’essai de Frantz Fanon et intitulé Concerning violence a été réalisé en 2014 par Göran Hugo Olsson et traite des mouvements africains d’émancipation du colonialisme durant les années 1960 et 1970. Le second documentaire programmé aujourd’hui, Mandela, the myth and me, réalisé par Khalo Matabane, revient lui sur l’héritage laissé par l’icône de la lutle contre le système d’apartheid. La catégorie film de fiction mettra, quant à elle, à l’affiche à partir de 19h 30 le film Ouyoune El Haramia de la réalisatrice jordano-palestinienne, Najwa Najjar.
Auteur: Nadir Kadi
reporters.dz
Film de plus de 80 minutes réalisé en 2012 et suivi vendredi par un public relativement nombreux, le documentaire suit le voyage que fera le réalisateur en 2008 en Algérie dans les camps de réfugiés sahraouis à l’occasion du festival du cinéma Fisahara et qui le conduira quatre ans plus tard à intervenir devant la commission de décolonisation de l’Organisation des Nations unies.
Constitué de nombreux témoignages et d’interviewes de responsables du Front Polisario, le documentaire Enfants des nuages, la dernière colonie s’attarde, en utilisant notamment des séquence d’animation, à expliquer les origines de la colonisation du Sahara occidental, mais aussi à dénoncer la répression et la torture, un moyen pour le réalisateur de souligner la nécessité d’élargir aux droits de l’Homme le mandat de la mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso).
Hier, l’événement a été marqué par la diffusion des documentaires H’na Berra de Bahia Bencheikh El Fegoun et Meriem Achour Bouakkaz, ainsi que du film très engagé Gaz de schiste : les lobbies contre-attaquent réalisé par Michel Tedoldi.
La 5e édition des Journées du film engagé se poursuivra aujourd’hui par la diffusion à partir de 15h de deux documentaires. Le premier basé sur l’essai de Frantz Fanon et intitulé Concerning violence a été réalisé en 2014 par Göran Hugo Olsson et traite des mouvements africains d’émancipation du colonialisme durant les années 1960 et 1970. Le second documentaire programmé aujourd’hui, Mandela, the myth and me, réalisé par Khalo Matabane, revient lui sur l’héritage laissé par l’icône de la lutle contre le système d’apartheid. La catégorie film de fiction mettra, quant à elle, à l’affiche à partir de 19h 30 le film Ouyoune El Haramia de la réalisatrice jordano-palestinienne, Najwa Najjar.
Auteur: Nadir Kadi
reporters.dz