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Agence Ecofin) - L’agence de notation Fitch Ratings a estimé, dans un communiqué publié le 15 décembre, que le secteur bancaire marocain demeure solide, notant que les plus grandes banques du pays maintiennent des niveaux de rentabilité et de qualité d’actifs satisfaisants, en dépit de leur expansion dans des environnements opérationnels plus volatiles.
Fitch précise que les activités domestiques restent la première source de profit des groupes Banque Centrale Populaire (BCP), Attijariwafa Bank et BMCE Bank, bien que la contribution des activités internationales représentent une partie croissante de leurs bénéfices.
L’agence de notation estime que l’expansion à l’international des banques marocaines représente une importante source de diversification des revenus, même si elle est aussi une source de risques de crédit et de risques opérationnels plus élevés.
Fitch s’attend à ce que les établissements de crédit marocains bénéficient d’une croissance plus élevée du PIB non-agricole. Elle note, cependant, que la qualité des actifs de ces établissements demeure moyenne par rapport aux normes internationales compte tenu des risques liés à la vulnérabilité des petites et moyennes entreprises locales et à une expansion rapide en Afrique subsaharienne.
Fitch précise que les activités domestiques restent la première source de profit des groupes Banque Centrale Populaire (BCP), Attijariwafa Bank et BMCE Bank, bien que la contribution des activités internationales représentent une partie croissante de leurs bénéfices.
L’agence de notation estime que l’expansion à l’international des banques marocaines représente une importante source de diversification des revenus, même si elle est aussi une source de risques de crédit et de risques opérationnels plus élevés.
Fitch s’attend à ce que les établissements de crédit marocains bénéficient d’une croissance plus élevée du PIB non-agricole. Elle note, cependant, que la qualité des actifs de ces établissements demeure moyenne par rapport aux normes internationales compte tenu des risques liés à la vulnérabilité des petites et moyennes entreprises locales et à une expansion rapide en Afrique subsaharienne.