Le représentant d’Air Algérie ne s’est pas présenté pour libérer l’appareil :
L’avion d’Air Algérie demeure bloqué à l’aéroport de Bruxelles malgré la levée d’hypothèque sur l’appareil opérée hier suite au paiement de 2 millions de dollars que réclamait K’Air BV à la compagnie nationale, fort d’une décision de la cours international d’arbitrage. Néanmoins, l’enthousiasme de M. Kerboua de voir cette affaire connaître son épilogue a tourné à la perplexité car l’avion d’Air Algérie est toujours en place ! Hamid Kerboua, patron de la société K’Air BV nous a informé hier que «l’avion est toujours sur place et le représentant d’Air Algérie à Bruxelles, qui devait régler les procédures administratives, ne s’est pas manifesté de toute la journée ». Il a précisé que « l’huissier de justice l’attendait à 10h du matin, mais il n’a pas donné signe de vie, ce qui est incompréhensible ». Selon une source proche de l’aéroport de Bruxelles, l’avion d’Air Algérie était enregistré pour décoller à 14h50 mais le vol a été marqué comme étant « annulé ». M. Kerboua a tenu à préciser que, de son côté, « le problème était bel et bien réglé » mais il n’a pas caché son étonnement quant à l’absence du représentant d’Air Algérie supposé remplir les formalités administratives pour libérer l’avion. Selon d’autres sources, le représentant d’Air Algérie, M. Aouf ne s’était toujours pas présenté hier vers 19h même si ce dernier avait envoyé la veille un e-mail à l’huissier de justice selon lequel Air Algérie levait toues les conditions qu’elle avait préalablement avancées à l’égard de K’Air BV avant d’envisager le moindre paiement et que, par conséquent, il recevra bien les 2 millions de dollars réclamés avec à la clé une mainlevée sur l’appareil du pavillon national. « Une situation des plus anormales », pense M. Kerboua qui reste énamoins vigilant quant à l’issue de ce litige d’autant plus qu’un procès qui devait avoir lieu à Alger, objet justement des nouvelles conditions du paiement, a été reporté pour le 24 décembre ! A cet instant précis, l’avion est encore à Bruxelles.
Auteur: Reporters.DZ
L’avion d’Air Algérie demeure bloqué à l’aéroport de Bruxelles malgré la levée d’hypothèque sur l’appareil opérée hier suite au paiement de 2 millions de dollars que réclamait K’Air BV à la compagnie nationale, fort d’une décision de la cours international d’arbitrage. Néanmoins, l’enthousiasme de M. Kerboua de voir cette affaire connaître son épilogue a tourné à la perplexité car l’avion d’Air Algérie est toujours en place ! Hamid Kerboua, patron de la société K’Air BV nous a informé hier que «l’avion est toujours sur place et le représentant d’Air Algérie à Bruxelles, qui devait régler les procédures administratives, ne s’est pas manifesté de toute la journée ». Il a précisé que « l’huissier de justice l’attendait à 10h du matin, mais il n’a pas donné signe de vie, ce qui est incompréhensible ». Selon une source proche de l’aéroport de Bruxelles, l’avion d’Air Algérie était enregistré pour décoller à 14h50 mais le vol a été marqué comme étant « annulé ». M. Kerboua a tenu à préciser que, de son côté, « le problème était bel et bien réglé » mais il n’a pas caché son étonnement quant à l’absence du représentant d’Air Algérie supposé remplir les formalités administratives pour libérer l’avion. Selon d’autres sources, le représentant d’Air Algérie, M. Aouf ne s’était toujours pas présenté hier vers 19h même si ce dernier avait envoyé la veille un e-mail à l’huissier de justice selon lequel Air Algérie levait toues les conditions qu’elle avait préalablement avancées à l’égard de K’Air BV avant d’envisager le moindre paiement et que, par conséquent, il recevra bien les 2 millions de dollars réclamés avec à la clé une mainlevée sur l’appareil du pavillon national. « Une situation des plus anormales », pense M. Kerboua qui reste énamoins vigilant quant à l’issue de ce litige d’autant plus qu’un procès qui devait avoir lieu à Alger, objet justement des nouvelles conditions du paiement, a été reporté pour le 24 décembre ! A cet instant précis, l’avion est encore à Bruxelles.
Auteur: Reporters.DZ
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