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Au lendemain de la journée sans couffin, la hausse des prix des fruits et légumes persiste, a-t-on constaté ce dimanche 21 décembre au marché Clauzel, au centre d’Alger.
L’oignon a vu son prix doubler en quelques semaines en passant de 35 à 70 DA le kilogramme. Une hausse « justifiée » selon un des vendeurs. « Les oignons connaissent le même phénomène que la pomme de terre. Ce que nous vendons actuellement a été stocké dans des chambres froides ce qui a fait augmenter les prix » explique-t-il. La pomme de terre est affichée à 60 DA alors qu’elle avait atteint 100 DA le mois passé. Son prix reste néanmoins élevé.
La carotte est, quant à elle, cédée à 50 DA le kilo, le navet à 60 DA, le poivron à 140 DA alors que la courgette continue de battre tous les records avec pas moins de 240 DA le kilogramme.
Les prix des légumes saisonniers sont, également, hors de portée. Les haricots verts sont affichés à 180 DA le kilogramme, les choux-fleurs à 55 DA, et les fèves à 140 DA. Les petits pois quant à eux affichent 200DA le kilogramme.
Hausse des prix des fruits
Les prix des fruits ont également enregistré une hausse importante. Le kilogramme de bananes a atteint les 160 DA alors qu’il ne dépassait pas les 140DA il y a de cela un mois. Les pommes coûtent entre 220 et 300 DA alors qu’elles ne dépassaient pas les 180DA. La fraise est proposée à 580 DA. Enfin, les oranges et les clémentines, fruits pour lesquels la demande est importante pendant l’hiver, sont cédés entre 100 et 200 DA.
Face à ces prix exorbitants les consommateurs n’ont de cesse de se plaindre, mais en dépit de cela, ils achètent. «On n’a pas le choix », nous a confié une mère de famille, puis elle a ajouté « Il vaut mieux surveiller les mandataires qui font leur loi, c’est le seule remède à cette situation».
Les vendeurs, pour leur part, trouvent comme prétexte la hausse des prix aux marchés de gros. La loi de l’offre et de la demande est également l’argument avancé. « Quand l’offre ne répond pas à la demande, les prix augmentent» notent les différents commerçants.
TSA
L’oignon a vu son prix doubler en quelques semaines en passant de 35 à 70 DA le kilogramme. Une hausse « justifiée » selon un des vendeurs. « Les oignons connaissent le même phénomène que la pomme de terre. Ce que nous vendons actuellement a été stocké dans des chambres froides ce qui a fait augmenter les prix » explique-t-il. La pomme de terre est affichée à 60 DA alors qu’elle avait atteint 100 DA le mois passé. Son prix reste néanmoins élevé.
La carotte est, quant à elle, cédée à 50 DA le kilo, le navet à 60 DA, le poivron à 140 DA alors que la courgette continue de battre tous les records avec pas moins de 240 DA le kilogramme.
Les prix des légumes saisonniers sont, également, hors de portée. Les haricots verts sont affichés à 180 DA le kilogramme, les choux-fleurs à 55 DA, et les fèves à 140 DA. Les petits pois quant à eux affichent 200DA le kilogramme.
Hausse des prix des fruits
Les prix des fruits ont également enregistré une hausse importante. Le kilogramme de bananes a atteint les 160 DA alors qu’il ne dépassait pas les 140DA il y a de cela un mois. Les pommes coûtent entre 220 et 300 DA alors qu’elles ne dépassaient pas les 180DA. La fraise est proposée à 580 DA. Enfin, les oranges et les clémentines, fruits pour lesquels la demande est importante pendant l’hiver, sont cédés entre 100 et 200 DA.
Face à ces prix exorbitants les consommateurs n’ont de cesse de se plaindre, mais en dépit de cela, ils achètent. «On n’a pas le choix », nous a confié une mère de famille, puis elle a ajouté « Il vaut mieux surveiller les mandataires qui font leur loi, c’est le seule remède à cette situation».
Les vendeurs, pour leur part, trouvent comme prétexte la hausse des prix aux marchés de gros. La loi de l’offre et de la demande est également l’argument avancé. « Quand l’offre ne répond pas à la demande, les prix augmentent» notent les différents commerçants.
TSA
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