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Rien ne lui a chapé, Le réchauffement influe sur tout, mais malheureusement "négativement"…..
Il est plus que temps d’agir !
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Palu et dengue plus fréquents qu'avant dans les pays pauvres
Le réchauffement climatique, vous avez encore du mal à y croire ? Vous ne pourrez pourtant pas rester encore longtemps les yeux fermés. Des experts en santé publique de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont annoncé hier, lors de la conférence sur les changements climatiques qui se déroule en ce moment à Nairobi (Kenya), que les augmentations de cas de paludisme, de fièvre dengue et d’autres infections observés au Kenya, en Chine et en Europe sont très probablement dues au réchauffement de la planète.
Pour Diarmid Campbell-Lendrum de l’OMS, on sait que le climat a un impact très important sur les maladies les plus importantes de la planète et il semble que les répercussions du réchauffement soient déjà significatives. Kristie Ebi, une consultante en santé publique auprès de l’organisation, va même jusqu’à déclarer que les services de santé publique pourraient être débordés par les effets du changement climatique.
Palu et dengue plus fréquents qu'avant dans les pays pauvres (suite)
Un réseau de scientifiques associé à l’ONU prévoit quant à lui que l’augmentation continuelle des températures « accroîtra les menaces sur la santé humaine, particulièrement dans les populations à faibles revenus et de manière prédominante dans les pays subtropicaux », c'est-à-dire - comble de l’injustice ! - justement ceux qui ont le moins contribué aux émissions de gaz à effets de serre, note Diarmid Campbell-Lendrum.
La Russie et d’autres pays voisins sont désormais touchés par le paludisme alors qu’il y a seulement 20 ans, cette maladie n’était présente en Europe que dans 3 pays du sud-est. Un représentant du Kenya a expliqué que là ou auparavant les habitants étaient protégés des moustiques porteurs de maladie par l’air plus frais, comme c’est par exemple le cas dans les zones de haute terre, des épidémies de paludisme ou de malaria surviennent désormais. Les études montrent qu’il suffit d’une hausse même très légère de la température moyenne d’une région pour multiplier par 10 la population de moustiques !
- e-Santé
Il est plus que temps d’agir !
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Palu et dengue plus fréquents qu'avant dans les pays pauvres
Le réchauffement climatique, vous avez encore du mal à y croire ? Vous ne pourrez pourtant pas rester encore longtemps les yeux fermés. Des experts en santé publique de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont annoncé hier, lors de la conférence sur les changements climatiques qui se déroule en ce moment à Nairobi (Kenya), que les augmentations de cas de paludisme, de fièvre dengue et d’autres infections observés au Kenya, en Chine et en Europe sont très probablement dues au réchauffement de la planète.
Pour Diarmid Campbell-Lendrum de l’OMS, on sait que le climat a un impact très important sur les maladies les plus importantes de la planète et il semble que les répercussions du réchauffement soient déjà significatives. Kristie Ebi, une consultante en santé publique auprès de l’organisation, va même jusqu’à déclarer que les services de santé publique pourraient être débordés par les effets du changement climatique.
Palu et dengue plus fréquents qu'avant dans les pays pauvres (suite)
Un réseau de scientifiques associé à l’ONU prévoit quant à lui que l’augmentation continuelle des températures « accroîtra les menaces sur la santé humaine, particulièrement dans les populations à faibles revenus et de manière prédominante dans les pays subtropicaux », c'est-à-dire - comble de l’injustice ! - justement ceux qui ont le moins contribué aux émissions de gaz à effets de serre, note Diarmid Campbell-Lendrum.
La Russie et d’autres pays voisins sont désormais touchés par le paludisme alors qu’il y a seulement 20 ans, cette maladie n’était présente en Europe que dans 3 pays du sud-est. Un représentant du Kenya a expliqué que là ou auparavant les habitants étaient protégés des moustiques porteurs de maladie par l’air plus frais, comme c’est par exemple le cas dans les zones de haute terre, des épidémies de paludisme ou de malaria surviennent désormais. Les études montrent qu’il suffit d’une hausse même très légère de la température moyenne d’une région pour multiplier par 10 la population de moustiques !
- e-Santé