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Chute des cours du pétrole : Bouteflika appelle à la « rationalisation » de la dépense publique

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  • Chute des cours du pétrole : Bouteflika appelle à la « rationalisation » de la dépense publique

    Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a affirmé mardi à Alger que l’Algérie dispose d’une « certaine marge de manœuvre » pour faire face à l’actuelle crise du prix du pétrole qu’il a qualifiée d' »inquiétante », appelant toutefois à la « rationalisation » de la dépense publique, des importations et de la consommation interne d’énergie.

    « Face à cette inquiétante crise, l’Algérie dispose d’une certaine marge de manœuvre résultant d’un désendettement public anticipé quasi-total », a déclaré le président Bouteflika lors d’un conseil restreint consacré aux développement enregistrés par le marché pétrolier international.

    Il a indiqué que cette marge de manœuvre résulte également « des réserves de change constituées, ainsi que de l’épargne publique accumulée au niveau du Fonds de régulation des recettes ».

    Le chef de l’Etat a, dans ce contexte, chargé le gouvernement de s’atteler à la rationalisation de la dépense publique, notamment au niveau du budget de fonctionnement, de veiller à la rationalisation des importations et au renforcement du contrôle des opérations de financement du commerce extérieur, pour « prévenir toutes formes d’évasion de capitaux ».

    « Le secteur de l’énergie est chargé de promouvoir la rationalisation de la consommation interne d’énergie, de promouvoir la transition énergétique grâce au développement des énergies nouvelles et renouvelables, et d’accroître la recherche et l l’exploitation des hydrocarbures, y compris non conventionnels », a-t-il recommandé.

    Le président Bouteflika a instruit, par la même occasion, le gouvernement d' »exclure toute remise en cause de la politique d’investissements publics qui demeure le moteur de la croissance et de la création d’emplois et qui permet aussi de répondre aux besoins sociaux de la population, notamment dans les domaines de l’éducation, de l’enseignement et de la formation, de la santé et du logement ».

    A ce titre, le programme quinquennal d’investissements publics « sera maintenu », tout en adaptant le rythme et les priorités de lancement des nouveaux projets et en veillant aussi à la « maîtrise de leurs coûts », a affirmé le président de la République. (Aps)

  • #2
    Il est aussi temps pour l'Algérie de mobiliser l'épargne privée, assez destructurée, et de maitriser un peu mieux son assiette fiscale, d'une qualité quasi nulle...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      Il faut commencer par réduire le budget de la présidence.

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      • #4
        Ajourner ou mieux renoncer à la mosquée d'Alger.

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        • #5
          Le président Bouteflika a instruit, par la même occasion, le gouvernement d' »exclure toute remise en cause de la politique d’investissements publics qui demeure le moteur de la croissance et de la création d’emplois et qui permet aussi de répondre aux besoins sociaux de la population, notamment dans les domaines de l’éducation, de l’enseignement et de la formation, de la santé et du logement ».
          il est très difficile de réduire le budget de fonctionnement...il reste plus que le budget d’équipement...donc oui, il faut réduire les investissements publiques...il y a pas 1000 possibilités Mr Bouteflika. Sinon l’Algérie a les moyens de continuer de faire du déficit ''lourd'' pour 2 ou 3 ans.

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          • #6
            il faudrait couper dans les importations farfelues et surtout dans les subventionnements tous azimuts. Imposer mieux et recouvrer mieux les impôts impayés

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            • #7
              Déclaration triviale à l'APS (Je rigole..: l'APS) dont nous n'avons aucune réalité.

              Ce type de déclaration n'est qu'un tas de phrases toute faites de bon sens universel qui aurait du être appliqué depuis l'indépendance.


              Et surtout expliquer:

              Comment y arriver!
              Dernière modification par 30pourCent, 23 décembre 2014, 21h18.

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              • #8
                appelant toutefois à la « rationalisation » de la dépense publique, des importations et de la consommation interne d’énergie.
                Sans blague!oeilfermé
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                • #9
                  il a oublié les frais Val de Grace héhéhé

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                  • #10
                    merde...je m'attendais a lire des commentaires sur la rationalisation des dépenses publique.
                    There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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                    • #11
                      Serait-ce la fin du syndrome hollandais pour l'Algérie? Encore faudra t-il convaincre son peuple!

                      Le syndrome hollandais

                      " La rente tirée de la différence entre le prix de vente et le coût d'exploitation des hydrocarbures peut avoir des effets pervers importants.
                      Les Pays-Bas l'ont appris à leurs dépens dans les années 70, après que fut découvert et exploité l'important gisement de gaz de Groningue.
                      Le gonflement soudain des exportations tira vers le haut le taux de change de la devise néerlandaise, réduisant d'autant la compétitivité internationale des produits locaux.
                      D'où le terme de "syndrome hollandais" (dutch disease) donné à ce revers de la médaille, qui entraîna une désindustrialisation conséquente du pays.
                      Autre problème: la façon dont est utilisée cette manne "tombée du ciel" (ou, plutôt, jaillie de la terre)".

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                      • #12
                        ca bombe le thorse et depuis que le prix du baril a baisser c est la panique tu parles d une puissance regionnale

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                        • #13
                          Et surtout expliquer:

                          Comment y arriver!
                          En cas de mouise pétrolière, il faut demander à Mme. Lagarde du FMI; mais je doute fort qu'elle accepte car elle sait qu'en algérie .. el heff est mis
                          Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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                          • #14
                            Selon un analyste économique, la Norvège et l'Algérie- nations solvables- ne devraient pas trop souffrir de la dépréciation du cours du pétrole.

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                            • #15
                              Ben Bella kal naklou el foul et Boumediene elkhobz el yabess.
                              et scootie, il dit naklou quoi?

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