Les bâtiments de l'Etat au Maroc pèsent lourd dans la trésorerie des villes marocaines. Une réflexion est actuellement en cours de gestation pour que ces bâtiments paient aussi leur impôt.
«Il y a actuellement une prise de conscience au niveau du ministère de tutelle et des finances pour une réforme législative pour que cette situation change», a annoncé le maire de Rabat Fathallalh Oualalou, lors d'une rencontre organisée récemment à Casablanca.
«Au Maroc, les établissements publics sont exonérés d'impôt. Et au nom de la transparence fiscale, ce n'est pas normal. Car la ville les prend totalement en charge», a-t-il constaté. À Rabat, «le grand problème c'est que les administrations ne paient pas les impôts et ils sont très nombreux. Ministères, hôpitaux, universités et autres établissement publics pèsent lourd dans le budget».
Les ECO-Maroc. 26.12.2014
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«Il y a actuellement une prise de conscience au niveau du ministère de tutelle et des finances pour une réforme législative pour que cette situation change», a annoncé le maire de Rabat Fathallalh Oualalou, lors d'une rencontre organisée récemment à Casablanca.
«Au Maroc, les établissements publics sont exonérés d'impôt. Et au nom de la transparence fiscale, ce n'est pas normal. Car la ville les prend totalement en charge», a-t-il constaté. À Rabat, «le grand problème c'est que les administrations ne paient pas les impôts et ils sont très nombreux. Ministères, hôpitaux, universités et autres établissement publics pèsent lourd dans le budget».
Les ECO-Maroc. 26.12.2014
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