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Deux femmes qui piégeaient des Marocaines en les emmenant à Dubaï, dans le but d’en faire des prostituées ont été condamnées à trois et deux ans de prison.
La première pêchait les femmes au Maroc en leur promettant un job de coiffeuse à Dubaï, la deuxième les accueillait pour leur retirer leur passeport et leur annoncer qu’elles deviendraient prostituées. L’une Syrienne, appelée R.A. a 28 ans, l’autre Marocaine, A.A en a 22.
Elles sont toutes deux passées devant la justice et ont été condamnées. A.A a hérité de trois ans de prison, quant à la deuxième de deux ans, rapporte The National. L’histoire avait été découverte grâce à une jeune femme piégée.
Elle raconte qu’une fois à Dubaï, elle se présente à A.A. qui l’emmène dans un appartement où se trouvent 7 autres Marocaines. Les hommes venaient, choisissaient celle qui leur plaisait et payaient 1 500 dirhams pour 6 heures en leur compagnie.
Pour que la dernière victime puisse travailler dans une chambre d’hôtel, en compagnie d’un homme, A.A. a dû déposer son passeport à l’accueil. Entrant dans la chambre, elle fond en larme et raconte tout à son client qui, bienveillant, lui prend un billet pour le Maroc.
Ne pouvant sortir du pays sans avoir mis fin à son contrat de travail, la victime se rend au commissariat de police pour tout dénoncer.
Source: Ya biladi
La première pêchait les femmes au Maroc en leur promettant un job de coiffeuse à Dubaï, la deuxième les accueillait pour leur retirer leur passeport et leur annoncer qu’elles deviendraient prostituées. L’une Syrienne, appelée R.A. a 28 ans, l’autre Marocaine, A.A en a 22.
Elles sont toutes deux passées devant la justice et ont été condamnées. A.A a hérité de trois ans de prison, quant à la deuxième de deux ans, rapporte The National. L’histoire avait été découverte grâce à une jeune femme piégée.
Elle raconte qu’une fois à Dubaï, elle se présente à A.A. qui l’emmène dans un appartement où se trouvent 7 autres Marocaines. Les hommes venaient, choisissaient celle qui leur plaisait et payaient 1 500 dirhams pour 6 heures en leur compagnie.
Pour que la dernière victime puisse travailler dans une chambre d’hôtel, en compagnie d’un homme, A.A. a dû déposer son passeport à l’accueil. Entrant dans la chambre, elle fond en larme et raconte tout à son client qui, bienveillant, lui prend un billet pour le Maroc.
Ne pouvant sortir du pays sans avoir mis fin à son contrat de travail, la victime se rend au commissariat de police pour tout dénoncer.
Source: Ya biladi