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Les Chinois raflent tous les contrats en Algérie

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  • Les Chinois raflent tous les contrats en Algérie

    Bonjour j'ai pas pour habitude de réchauffer les plats mais juste pour apporté un poids a mes propos et ce que je post ne sont jamais des paroles en l'air


    Elles sont partout et raflent tout. Autoroutes, hôtels, barrages hydrauliques, hôpitaux, transports ferroviaires, écoles, logements et maintenant la Grande Mosquée de Bouteflika. Les entreprises chinoises font main-basse sur les grands projets infrastructurels.
    Discrets mais très efficaces, les Chinois supplantent désormais Français, Allemands et Américains autant par leur nombre que par leurs parts de marché dans l’économie algérienne.
    Les Chinois, une main d’œuvre corvéable
    Pourquoi les Chinois arrivent-ils à damer le pion aux grands groupes occidentaux, pourtant réputés plus solides, plus expérimentés et dont la présence en Algérie est plus ancienne que celle des Chinois ?
    Confrontées à un manque criard en matière de grandes infrastructures (routes, hôpitaux, logements…), les autorités algériennes ont lancé depuis le premier quinquennat du président Bouteflika de vaste programmes de constructions publiques dotés d’une enveloppe évaluée à plusieurs centaines de milliards de dollars.
    Entre 1999 et 2014, l’Algérie aura ainsi prévu de dépenser plus de 500 milliards de dollars en projets d’investissement.
    Pour faire vite, les différents gouvernements algériens ont donc opté pour les entreprises chinoises. Ces dernières ont la réputation d’être efficaces et peu regardantes sur les conditions de travail de leurs employés.
    Les groupes chinois ne sont-ils pas les seuls à pratiquer le système 3/8, à savoir trois équipes qui se relayent sans arrêt, de jour comme de nuit .
    Les mauvaises langues affirment que certains de ces travailleurs sont des prisonniers de droit commun, condamnés en Chine pour divers délits, mais engagés de force en Algérie pour y effectuer leurs peine dans les chantiers. Toutefois, aucune preuve ne permet d’attester ces allégations.
    [B]N’empêche. Les résultats sont là. Les chantiers fleurissent un peu partout sur le territoire national et les projets sont presque livrés à temps. Quand on reproche aux responsables algériens de privilégier les Chinois, ils rétorquent : « Mais les Chinois sont bien efficaces, fiables, opérants. »

    Source L’OBS Rue 89

    L'Algérie made by China

    L’inadéquation entre recours aux entreprises chinoises de BTP, stimulation de l’activité des entreprises et politique de l’emploi
    Les entreprises chinoises de BTP sont présentes avant tout sous la forme de consortiums géants pour la plupart publics. À titre d’exemple, à Oran [4] L’étude de terrain sur les migrations chinoises en... [4] , quatre entreprises chinoises étaient chargées des principales réalisations au printemps 2009 :
    – l’entreprise MCC (Chinese Metallurgical Group Corporation) pour la construction du stade olympique et du nouveau pôle universitaire ;
    – le consortium CITIC (China International Trust and Investment Compagny)-CRCC (China Railway Construction Corporation) pour l’autoroute Est-Ouest notamment ;
    – l’entreprise CSCEC (China State Construction Engineering Corporation) pour un grand nombre de logements sociaux de la ville.
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    Ce sont toutes les quatre des entreprises d’État comptant parmi les plus grandes de Chine. Selon Mouloud Kheldoufi, président de l’Association Générale des Entrepreneurs Algériens (AGEA) qui regroupe 400 entreprises de BTP, la procédure d’attribution des marchés par voie d’appels d’offres favoriserait les grands groupes : « l’entreprise (privée) ne peut pas réaliser seule de tels projets qui nécessitent des moyens énormes [5] « Les entrepreneurs algériens veulent s’unir contre... [5] ». Or, l’économie algérienne est passée d’un modèle de développement étatiste et fortement dirigiste à une économie caractérisée par les petites et moyennes entreprises, notamment en ce qui concerne le secteur du BTP. Les entreprises algériennes seraient donc incapables de répondre à l’offre ainsi formulée.
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    L’attribution de ces contrats à des entreprises chinoises est d’autant plus contradictoire avec la politique de relance économique que celles-ci emploient principalement une main-d’œuvre chinoise difficile à concurrencer. Elle travaille 8 heures par jour, 7 jours par semaine et la plupart des chantiers fonctionnent 24 heures sur 24, les équipes se relayant. Elle dispose d’un mois de vacances en Chine après avoir travaillé un an ou deux ans en Algérie, selon l’entreprise. Monsieur Tayeb Louh, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, a insisté, lors d’une conférence de presse du conseil d’administration de l’Organisation Arabe du Travail (OAT) en mai 2009, sur « l’obligation des entreprises nationales et étrangères de privilégier la main-d’œuvre nationale telle que codifiée par les lois algériennes qui sont rigoureusement appliquées ». Il a également souligné que le taux de main-d’œuvre étrangère dans le pays était « insignifiant », que « les permis de travail ne sont délivrés par l’administration algérienne au profit de la main-d’œuvre étrangère que dans les cas où les spécialités concernées ne sont pas disponibles au niveau national » et qu’« un cahier des charges est imposé aux entreprises étrangères pour former la main d’œuvre locale dans les spécialités faisant défaut en Algérie [6] « 45 000 travailleurs étrangers en Algérie », Le Quotidien... [6] ». Pourtant, lors de nos enquêtes, nous avons vu très peu de travailleurs algériens sur les chantiers de l’Oranie confiés à des entreprises chinoises. T. D. (H, 39 ans, architecte) qui a assuré le suivi d’un chantier de réalisation chinoise, a confirmé nos observations : « tout est chinois, ça commence du gardien du chantier, jusqu’au plus haut cadre en passant par le manœuvre, le maçon, le coffreur, tout est chinois ». Y. B. (H, 55 ans, ingénieur) nous a raconté qu’après avoir imposé des travailleurs algériens sur les chantiers de l’hôpital universitaire d’Oran, « leur incompétence » a excédé les Chinois qui les ont renvoyés.
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    En outre, quand des Algériens sont effectivement employés par une entreprise chinoise, ils occupent le plus souvent des postes subalternes. N. C. (F, 45 ans, chef d’entreprise), directrice d’un bureau d’études d’architecture et de génie civil qui suit des travaux menés par les Chinois, a affirmé qu’il y avait très peu d’employés algériens et que ces derniers n’exerçaient jamais des postes à responsabilités : « Ils deviennent malins (…), ils recrutent de la main-d’œuvre algérienne, mais ce n’est pas pour qu’ils soient chefs de chantier. C’est pour (…) les petits boulots sans qualification : surveillance, nettoyage, etc. ». De la même façon, M. D. (H, 59 ans, chef d’entreprise) reproche aux entreprises chinoises « de ne recruter que très peu d’Algériens : « un chauffeur par-ci, un chauffeur par-là, un gardien et au mieux quelques petits manœuvres ». Il ajoute « je leur (aux Chinois) avais conseillé une femme, ingénieure très compétente pour travailler avec eux. Ils ont accepté au départ car ils étaient gênés, mais ils s’en sont débarrassés dès qu’ils ont pu ». Si les Algériens occupent des postes subalternes, il est difficile de parler de véritable transfert de compétence. Selon M. D., les entreprises chinoises empêcheraient volontairement le transfert technologique.
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    [COLOR="Red"]On y arrive un peu (à apprendre de nouvelles techniques) mais ils (les Chinois) ne coopèrent pas. En ayant la maîtrise d’œuvre déléguée, on peut contrôler tout ce qu’ils font. Maintenant on est même avec eux 24 h sur 24, parce que parfois ils coulent leur béton la nuit. La nuit ! Ils le font exprès. Ils font exprès de faire ça la nuit ou le vendredi pour que notre équipe ne soit pas présente ». (M.D., H, 59 ans, chef d’entreprise).
    ).
    Source CAIRN INFO
    Dernière modification par Néo, 02 janvier 2015, 07h33.

  • #2
    donc peu de transfert de technologie ou de savoir faire à attendre
    Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
    Mahomet

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    • #3
      gdesmon Bonjour

      donc peu de transfert de technologie ou de savoir faire à attendre
      Ces articles de presse sont de 2011 mais rien n'a changé puisque beaucoup de nos jeunes sont candidat a l'immigration el harba quand a la technologie et le savoir faire Hamdoullah certains sont restés et progressent dans l'industrie
      j'ai deja cité des Amis comme le boss de Prop ALGERIE et d'autres entreprises
      et tous ça grace a ANDI ...

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      • #4
        @Neo

        merci pour l info
        Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
        Mahomet

        Commentaire


        • #5
          rien de nouveau

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          • #6
            Envoyé par Néo
            mais rien n'a changé puisque beaucoup de nos jeunes sont candidat a l'immigration el harba
            D'où te vient cette animosité envers les jeunes algériens qui souhaitent émirger vers des cieux plus prospères sachant que toi même t'as suivi le même chemin?! T'as le droit d'émigrer mais pas les autres jeunes algériens?!

            Ton raisonnement basé sur la critique des jeunes algériens est faux. Pour preuve, on peut citer l'exemple de Cevital: c'est un groupe algérien qui emploit une main d'oeuvre majoritairement algérienne et ne rencontre aucune difficulté à trouver les bons profils parmi les candidats.

            Les groupes chinois décrochent beaucoup de contrats en Algérie parceque c'est voulu par le pouvoir algérien pour différentes raisons (politiques et économiques), y compris en raison de la corruption vu que les groupes chinois sont des champions des pots-de-vin (Payer des pots-de-vin pour décrocher des contrats/marchés est une "religion" en Chine) et permettent à de nombreux dirigeants algériens corrompus de s'enrichir illégalement via les dizaines de milliards $ d'argent public dépensés chaque année dans les projets publics.

            Concrètement, cette situation a été créé par les dirigeants algériens et non par les jeunes algériens.

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            • #7
              Mais pas seulement en Algérie, mais aussi dans nombreux pays africains. Cela s'explique par le fait que la Chine offrait des bourses aux étudiants africains qui accéderont à postes dirigeants dans leurs pays. Donc, cette offre d'effectuer des études gratuites en Chine à des étudiants africains fut visionnaire par le gouvernement chinois.

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              • #8
                nassim :

                je lui avais fait la meme remarque sur l'immigration mais comme pour beaucoup d'autre details il zappe et attend que d'autre prennent son train pour continuer dans la meme lancer ..
                le chinois ne s'adonnent pas seulement au pots de vin mais aussi a la mediocrite' a la contrebande la contrefacon le marche' parallele ect ..ils se son adonne' au vole et la vente du sable la revente du ciment et du fer quand les prix des ces derniers en flambe' ..pour faire court et bref ils on compris comment le systeme fonctionne et depuis ils ne cessent de faire leur affaires ..

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                • #9
                  Faut pas cacher le soleil par...

                  C'est nous qui ne valons pas grand chose...

                  Avait on besoin de faire venir les chinois pour nous construire nos maisons, nos routes, nos hopitaux ...

                  Le mal est en nous, la médiocrité et la malhonnêteté est en nous et c'est nous qui avons dévoyé les chinois qui n'ont fait que s'adapter aux moeurs.

                  Qui des responsables qui font le suivi des chantiers confiés aux chinois n'a pas taté de ... l'enveloppe ou même avalé une écuelle de ... lentilles chez les gargotiers jouxtant ces chantiers pour ne pas être regardant sur les malfaçons que les chinois ne feront pas dans leur pays.

                  Pour les harragas qui ne veulent pas travailler dans leur pays et tentent le ... diable, si cela ne dépendait que de moi, tout harrag retrouvé en mer doit être ... noyé sur place

                  Ceux qui auraient réussi à passer quand même et auraient réussi, tant mieux pour euxoeilfermé

                  Commentaire


                  • #10
                    Ton raisonnement basé sur la critique des jeunes algériens est faux. Pour preuve, on peut citer l'exemple de Cevital: c'est un groupe algérien qui emploit une main d'oeuvre majoritairement algérienne et ne rencontre aucune difficulté à trouver les bons profils parmi les candidats.

                    Les groupes chinois décrochent beaucoup de contrats en Algérie parceque c'est voulu par le pouvoir algérien pour différentes raisons (politiques et économiques), y compris en raison de la corruption vu que les groupes chinois sont des champions des pots-de-vin (Payer des pots-de-vin pour décrocher des contrats/marchés est une "religion" en Chine) et permettent à de nombreux dirigeants algériens corrompus de s'enrichir illégalement via les dizaines de milliards $ d'argent public dépensés chaque année dans les projets publics.

                    Tout le monde n'a pas le profil de Cevital , son savoir faire et son entregent. Par définition , le système mafieux est celui qui tire profit de ce qui est en apparence légal et difficilement attaquable pour mener ses affaires. En bon capitaliste , le patron gâte les employés et n'a pas de peine à embaucher sur place. Son véritable staff , ses conseillers, de même que son fonds de trésorerie sont à l'étranger. L'Algérie n'est pour lui qu'un marché privilégié qu'il partage avec les puissants qui lui ont permis de se lancer dans les affaires et de profiter comme les oligarques russes du passage d'un régime socialiste à un régime libéral.

                    Les Chinois ont percé en Algérie pour les prix qu'ils pratiquent et faute de voir les entreprises étrangères qui soumissionnent comme elles les suivre sur le terrain , tout en consentant autant de bakchich aux généraux.

                    Cevital et quelques autres rebrabistes offrent bien quelques milliers d'emplois bien rémunérés sur un marché ou la demande se chiffre en millions et des candidats au profil qui ne correspond a celui que proposent les nouveaux riches du système.

                    El harba s'explique et se comprend

                    El LAH yahssen el3aoune.

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                    • #11
                      En outre, quand des Algériens sont effectivement employés par une entreprise chinoise, ils occupent le plus souvent des postes subalternes. N. C. (F, 45 ans, chef d’entreprise), directrice d’un bureau d’études d’architecture et de génie civil qui suit des travaux menés par les Chinois, a affirmé qu’il y avait très peu d’employés algériens et que ces derniers n’exerçaient jamais des postes à responsabilités : « Ils deviennent malins (…), ils recrutent de la main-d’œuvre algérienne, mais ce n’est pas pour qu’ils soient chefs de chantier. C’est pour (…) les petits boulots sans qualification : surveillance, nettoyage, etc. »
                      l'article est rédigé par un journaliste français qui ne pardonne pas aux Chinois d'occuper des marchés qui auraient du échoir aux puissantes groupes de TP de son pays .

                      les Chinois travaillent selon le cahier de charge que leur imposent les Algériens . Dans leurs intérêts , ils doivent bloquer le transfert de technologie , quand ils le peuvent. Le groupe HADDAD n'aurait pas pu atteindre la dimension qu'il a , sans la même aide de ceux qui soutiennent le rebrabisme , et l'apport des techniciens algériens formés sur les chantiers par les Chinois.

                      L'aide des Chinois en Algérie ? Exemplaire. Le travail d'experts qui colonisent lentement mais sûrement toute l'Afrique. Avec peut-être une aide , moins vénale que le bakchich de la corruption. Celle de la vieille garde du DRS nationaliste et boumédiénien qui tient à un semblant de souveraineté et aux intérêts fondamentaux de l'Algérie. La continuation pragmatique et idéaliste d'une coopération entre pays communistes forcés de s'adapter face à l'Empire.

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                      • #12
                        mais ils (les Chinois) ne coopèrent pas. En ayant la maîtrise d’œuvre déléguée, on peut contrôler tout ce qu’ils font. Maintenant on est même avec eux 24 h sur 24, parce que parfois ils coulent leur béton la nuit. La nuit ! Ils le font exprès. Ils font exprès de faire ça la nuit ou le vendredi pour que notre équipe ne soit pas présente ». (M.D., H, 59 ans, chef d’entreprise).
                        Ils me font vraiment rigoler ces entrepreneurs à la noix !
                        Pourquoi ce chef algérien ne demande pas d'être averti du moment où il vont couler le béton ?? Et venir y assister même si c'est minuit pétante ?

                        La connaissance, les compétences, l'expérience, ça s'arrache. Ça ne se donne pas aussi facilement.

                        Je connais mieux que quiconque ce domaine. Les chinois viennent en Algérie pour gagner du blé. Le temps est de l'argent pour eux. Donc, il joue contre eux.
                        Par conséquent, ils font en sorte de faire avancer coute que coute leurs chantiers. Quitte à travailler h24 s'il le faut, 7 jours / 7.
                        Même les marocains qui travaillent dans le batiment font la même chose ! Ils ne sont pas là pour se rouler les pousses ! Loin de là.

                        Et évidemment, nous les algériens, on ne peut pas suivre ce rythme... Impossible !

                        Car de là à venir la nuit vérifier comment le béton est coulé par les chinois !? On n'est pas des malades, nous. Ya pas le feu !

                        En bons bureaucrates zélés qui se respectent, nos petits chefs algériens prennent tous leur temps, même pour faire des taches de vérifications très simples, mais hautement critiques pour l'avancement du projet. Ces algériens là, ils n'en ont cure que ces entrepreneurs perdent de l'argent s'ils sont bloqués dans leurs travaux !

                        Alors, ils prennent un malin plaisir à les faire attendre.

                        Mais pour les entrepreneurs chinois, c'est tout le contraire. Ils payent leurs ouvriers, leurs frais, leurs charges, et des pénalités en cas d'inactivité. Donc, sont perdant sur toute la ligne en cas d'attente.

                        La solution pour eux, est qu'ils exigent de plus en plus, d'avoir le contrôle totale de la maitrise déléguée des projets, et ceci pour ne pas se voir bloqué leur projets à cause des algériens.

                        Normal dirais-je, si j'étais à la place de ces chinois.

                        Malheureusement, cette solution n'est pas du tout normal pour une bonne execution des travaux. Car il faut s'assurer le respect des termes du cahier de charge à chaque étapes du projet. Ce qui n'est pas le cas de ces projet où les chinois ont en la maitrise déléguée.

                        J'ai assisté à une situation où des chinois ont dû attendre plusieurs semaines pour que des algériens d'un bureau d'étude et de contrôle privé, daignent venir contrôler le ferraillage avant que le béton d'un tablier d'un pont soit coulé par les chinois !

                        Et naturellement, le chantier bloqué, les chinois ont perdu beaucoup d''argent à cause de cette attente (pénalités de retards, des dizaines d'ouvriers payés pour rien, des charges...etc ...etc ...etc)

                        Bandes de crétins finis ces journaleux !

                        Ils auraient dû aller au fond des choses, pour comprendre pourquoi les chantiers chinois avancent plus rapidement, contrairement aux chantiers algériens !

                        Le mal ? c'est toujours chez les autres ! Mais, jamais chez nous !
                        Dernière modification par absent, 02 janvier 2015, 17h12.

                        Commentaire


                        • #13
                          Il faut casser le cou aux idées reçues! Non, les Chinois ne raflent pas tous les contrats en Algérie. Au même titre que tout compagnie étrangère emportant un contrat en Algérie est contrainte de recourir à 75% de son personnel en employés algériens.

                          En revanche, il est vrai que la main-d'oeuvre algérienne serait moins productrice que celle chinoise et ceci à juste raison, car les Chinois sont esclaves de leurs employeurs chinois alors que les Algériens bénéficient du Code de travail algérien et toutes ses contraintes.

                          Commentaire


                          • #14
                            Les Chinois raflent tous les contrats en Algérie


                            C'est une question d'équilibre.
                            Et puis les occidentaux ont démontré leur peu de sérieux
                            dans leurs relations avec les pays du tiers monde.
                            "Para alcanzar lo imposible, uno debe intentar lo más absurdo".
                            Miguel de Cervantes.

                            Commentaire


                            • #15
                              merci el jazair pour ce petit éclaircissement......
                              tu tombe je tombe car mane e mane
                              après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

                              Commentaire

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