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Une jeune fille de 13 ans violée par 13 garçons

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  • Une jeune fille de 13 ans violée par 13 garçons

    Bonsoir
    Zurich (Suise). C'est la deuxième affaire grave d'agressions sexuelles entres mineurs en quelques jours.
    Après le cas de Steffisburg (Berne) ,l a police municipale de Zurich a révélé hier qu'une adolescente de 13 ans avait été violée plusieurs fois par 13 garçons de 15 à 18 ans.
    <<les témoignages de la victime et des agresseurs m'ont fait dresser les cheveux de la tête >>, a dit peter Rügger chef du commissariat d'enquête.
    Les agressions ont été filmées sur trois portables.

  • #2
    Franchement le monde va de plus en plus mal. C'est vraiment horrible c était des gens ou des animaux les agresseurs?
    T'imagines la fille maintenant, dans quelle état elle doit être. Vraiment j'éspere qu'ils y a des gens qui la soutiennent car sinon......!!!!
    jolalalala!!! je ne sais même pas quoi penser.

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    • #3
      il n ya plus de valeurs dans ce bas monde.
      j'espere de tout coeur que cette fille est soutenue par sa famille et suivie par des psychologues.

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      • #4
        Hi oui… y’a plus de morale dans ce monde
        .. lorsque l’être humain devient un simple animal….
        In the war there are no winners, but all are losers.

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        • #5
          3jeb ouelah 3jeb
          ¸.¤*¨¨*¤.¸¸...¸.
          \¸.♥ ALGERIE ♥.¸¸.
          .\¸.¤*¨¨*¤.¸¸.¸.¤
          ..\

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          • #6
            les vileurs franchement faut les pendres je sais que ca va paraitre peut etre bizare mes idées mais c ets la realite c es pire que d assassine une personne violler une femme franchement penser ce que vous voulez dite que je suis une arriere mais je pense que chaque violeur doit etre pendu
            Chaque pétales de cette rose correspond à tout l'amour qui nous unit depuis le premier jour . Donc il ne pourra à jamais se fâner.

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            • #7
              C'est à se demander si y'a pas une sorte de surenchère dans les agressions. Chaque fois on va un peu plus loin dans l'horreur...

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              • #8
                qu est ce que c est horrible de violer une personne que dieu nous en preserve nous les femmes les filles tout le monde
                je pense que sincerement ca n a riend e different d un crime
                Chaque pétales de cette rose correspond à tout l'amour qui nous unit depuis le premier jour . Donc il ne pourra à jamais se fâner.

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                • #9
                  franchement, je vais peut etre en choquer beaucoup ici...mais....loin de moi l' idée de diminuer la gravité de cet acte ou d' innocenter ces violeurs....mais je vais en partie les deresponsabiliser.....la societé dans laquelle nous vivons est une societé qui encourage les déviances sexelles....et les actes violents....lorsqu' on allume la tv, on se demande parfois quelle est la différence entre un film banale et un film erotique de seconde zone.....ou meme, dans ces meme films erotiques, certaines scènes auxquels on ne donne pas de suite juridique dans ces films sont des viols, le seul but recherché etant d' exciter les personnes...le reste ils s' en foutent.....

                  autre chose très présente dans la vie des jeunes.....les jeux vidéos...lorsque je jouais encore, à l' epoque des attari...et les première sega ou nintendo....ils y avaient des jeux de combats mais surtout, des jeux d' aventures ou la seul violence etait d' ecraser un champignon....aujourd' hui les jeux sont incroyablement bien fait (design)...mais malheureusement très violent et vulgaire....on y voit des prostitués, des mafieux, des jeux ou on peut frapper des passants etc....etc.....

                  il faut parfois chercher à la source des problèmes
                  asghoun jevdith, jevdith ad i-neqdou...
                  une corde ne peut etre tendu, et encore tendu, sans finir par rompre.

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                  • #10
                    ithrinarif il est vrai qu un violeur est un malade psychologique que il faut eloigner de la societe et aussi savoir la source de ce genre de probleme
                    Chaque pétales de cette rose correspond à tout l'amour qui nous unit depuis le premier jour . Donc il ne pourra à jamais se fâner.

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                    • #11
                      mais je vais en partie les deresponsabiliser.....la societé dans laquelle nous vivons est une societé qui encourage les déviances sexelles....et les actes violents....lorsqu' on allume la tv, on se demande parfois quelle est la différence entre un film banale et un film erotique de seconde zone....
                      Au risque de choquer aussi pour les raisons tout à fait inverses, il ne me smble pas que notre époque soit plus propice à ce genre d'actes de violence qu'aucune autre ! Ces phénomènes ont toujours existé, sauf que peut-être auparavant, ils étaient encore plus tabous, non-criminalisés, et rendus légitimes en temps de guerre (les pays dits occidentaux ne la connaissent plus depuis près d'un demi siècle, ce qui met plus en lumière les viols commis dans le civil).
                      Je n'ai pas tellement le temps de m'étaler là-dessus mais je vous propose, si le sujet vous intéresse, et que vous n'ayez pas peur d'entendre des mots très durs (l'auteure se défini elle-même comme Bad Lieutenante) pour comprendre un peu mieux, de lire ce bouquin sorti récemment, par Virginie Despentes, intitulé King Kong Théorie.
                      Un autre que je n'ai pas encore lu vient aussi d'être publié par une certaine Clémentine Autain. Ceci uniquement pour la France. A l'occasion, je vous présenterai ces livres ainsi qu'un bibliographie sur le thème !
                      Bref, il m'est arivé de me trouver de plus ou moins loin mêlée à une affaire de ce genre, qui m'a été rappelé il y a quelques années par une autre affaire dont vous avez entendu parlé et qui a donné naissance au mouvement : NPNS. Dnas le premier cas, il s'agissait aussi d'une histoire de viol multiples sur une camarade de classe d'environ 15 ans, par son copain et d'autre jeunes que je connaissais... Et le plus étonnant dans tout ça, c'est que tout un groupe de notre quartier, y compris des filles, défendaient les mecs en les faisant passer pour des victimes du système... Jusqu'à essayer d'intimider la fille qui n'a d'ailleurs pas porté plainte !

                      Comme l'écrit Virginie Despentes dans son livre, les hommes ne se voient jamais en violeurs, même à trois avec une carabine. Ce qu'ils font, c'est autre chose. Après tout, si elle ne s'est pas défendu jusqu'à la mort, c'est qu'elle en avait envie la s....
                      C'est ça l'histoire du viol... Et elle fait souvent du mal à entendre !
                      Dernière modification par Virginie, 17 novembre 2006, 19h04.

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                      • #12
                        @virginie

                        dans tout ce que j' ai écris, je n' ai pas parlé de la victime...car quelle que soient les raisons qui poussent les violeurs,...la victime reste toujours la meme, que ce soit par des détraqués ou par des personnes parfaitement consciente...je n' ose meme pas m' imaginer ce qu' elles peuvent ressentir.....mais t' imagine bien que je ne l' accuserai jamais elle la pauvre...j' espère qu' on ne l' a pas compris comme ça en tout cas....
                        asghoun jevdith, jevdith ad i-neqdou...
                        une corde ne peut etre tendu, et encore tendu, sans finir par rompre.

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                        • #13
                          j' espère qu' on ne l' a pas compris comme ça en tout cas....
                          Non, loin de là, ne t'inquiète pas, je te l'aurais dit !
                          J'ai seulement beaucoup apprécié le langage vert de rage de la miss Despentes qui choque beaucoup de monde ici en France, qui n'y va pas de main morte et dont le discours, quoi que pas audible pour tout le monde, m'a beaucoup fait réfléchir ! Et puis comme je connaissais ce genre d'affaire... Voilà, j'y allais aussi de ma petite opinion... Parce que quand j'y repense, ça me fait froid dans le dos de penser que pendant un moment, j'avais moi-même été du mauvais côté de la barrière... Hé oui !
                          Dernière modification par Virginie, 17 novembre 2006, 19h17.

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                          • #14
                            Bonsoir

                            En écho à la réapparition d'une jeune Autrichienne séquestrée pendant huit ans, une étude zurichoise vient montrer que la majorité des victimes de faits divers souffrent après coup des comptes-rendus médiatiques.

                            Mais les médias informent aussi pour prévenir, rétorque le président du Conseil suisse de la presse.


                            D'un côté: des parents qui alertent eux-mêmes les médias pour raconter l'horreur vécue par leur fillette, violée dans les Grisons par deux garçons. De l'autre: Natascha Kampusch, jeune femme autrichienne séquestrée pendant huit ans qui supplie qu'on la laisse tranquille.

                            Deux attitudes différentes, dans des drames bien sûr incomparables, mais qui (re) posent une question lancinante: les besoins d'informer – des médias – et de savoir – du public – sont-ils compatibles avec ceux des victimes de faits divers?

                            Andreas Maercker, professeur de psychopathologie à l'Université de Zurich, répond clairement par la négative: «D'un point de vue psychologique, rien ne justifie d'exposer aux médias des victimes traumatisées.»

                            Le chercheur se base sur une étude publiée en juin dernier dans le journal «European Psychologist» et menée auprès de 63 personnes.

                            Selon cette recherche, la grande majorité des victimes de faits divers violents subissent de nouvelles blessures à la lecture ou à la vision ultérieure des comptes-rendus médiatiques qui leur ont été consacrés.


                            De la tristesse et de la colère

                            «Nous ne nous attendions pas un résultat aussi négatif, affirme Andreas Maercker. L'attention des médias semblait plutôt de nature à apporter une reconnaissance sociale susceptible d'aider les victimes à se remettre.»

                            Selon l'étude, c'est l'inverse qui se produit, et cela indépendamment de la fidélité des comptes-rendus aux faits: deux tiers des personnes interrogées ont ressenti de la tristesse, la moitié se disant en outre carrément effrayée de ce qu'elle lisait, voyait ou entendait, et un tiers éprouvait de la colère. Au total, seuls 5% se disaient satisfaits et 11% se sentaient soutenus.

                            «C'est comme une blessure qui se rouvre sans cesse», poursuit le professeur. Extérioriser ces sentiments ne serait donc d'aucune aide? «Contrairement au journal intime, se confier à un média n'a pas d'effet cathartique», répond Andreas Maercker.

                            Le président du Conseil suisse de la presse est convaincu du contraire. «Le fait que de nombreuses personnes se tournent vers les médias montre que le besoin de raconter est très grand».

                            «Souvenez-vous des victimes des attentats de Louxor en Egypte ou de la fusillade du parlement cantonal à Zoug, poursuit Peter Studer. Les survivants étaient avides de parler, et pas seulement juste après les faits. Mais aussi des mois plus tard.»


                            Protéger des victimes potentielles

                            Peter Studer fustige en outre le parti pris de l'étude. «Il n'est pas suffisant de ne prendre que le point de vue de la victime sous l'angle de ses besoins psychologiques en considération.»

                            «Il ne faut pas oublier que l'information a aussi pour but de prévenir d'autres malheurs et donc de protéger des victimes potentielles. Les médias ont le devoir d'essayer d'en savoir davantage», souligne-t-il.

                            «Mais il est vrai qu'il faut toujours procéder à une pesée des intérêts, entre le respect de la victime d'une part, la pertinence à raconter un événement et l'intérêt du public à le connaître d'autre part.»

                            Que Natascha Kampusch veuille rester à l'abri des regards relève de son bon droit, estime le président de l'instance éthique des médias suisses. Andreas Maercker va lui beaucoup plus loin: il plaide pour un «délai de grâce» d'au moins un mois, voire de trois mois» durant lequel on laisserait les victimes «tranquilles».

                            Un vœu pieu? «C'était peut-être un vœu pieu il y a quelques années, mais on constate des progrès, estime le chercheur. Natascha Kampusch a pu, jusqu'ici, se préserver».


                            Destinée à ériger des barrières

                            «La lettre qu'elle a écrite est manifestement destinée à ériger une barrière protectrice entre elle et le public, note Andreas Maercker. Mais peut-être la regrettera-t-elle un jour. Il arrive que certaines personnes, après coup, ne se retrouvent plus dans ce qu'elles ont pu dire.»

                            Parmi les titres helvétiques accordant une attention toute particulière aux victimes, le «Blick», sans réagir directement à l'étude, assure que les comptes-rendus sur des victimes se font toujours en accord avec ces dernières. «Nous ne «jouons» – si on peut dire – jamais une victime contre elle-même», explique le chef du service Clemens Studer.

                            Le journaliste dit ne pas avoir connaissance de réactions négatives après coup, sauf en cas de procès, ce qui est un autre cas de figure: «Très souvent, les réactions sont même plutôt positives».

                            A Rhäzhüns dans les Grisons, c'est ce que semblent aussi avoir pensé les parents de la fillette violée.

                            swissinfo, Ariane Gigon Bormann, Zurich

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                            • #15
                              qui supplie qu'on la laisse tranquille
                              souvent , si les victimes ne parlent pas ou si elles le font des années plus tard, ce n'est pas pour rien ..

                              un viol ne peut pas être comparé à :«Souvenez-vous des victimes des attentats de Louxor en Egypte ou de la fusillade du parlement cantonal à Zoug, poursuit Peter Studer. Les survivants étaient avides de parler, et pas seulement juste après les faits. Mais aussi des mois plus tard.»

                              ça n'a rien à voir .. c'est un corps à corps où un corps rentre par effraction dans un autre corps pour le saccager; c'est une empreinte indélébile qu'il est , pour les victimes, impossible de formuler.
                              Pour celles et ceux (parce que des garçons aussi se font violer, plus qu'on ne le sait) qui peuvent en parler tout de suite, si elles sont entendues et crues, leur souhait est de passer à autre chose.
                              que les autres cessent de les voir avec des yeux ou de mépris larvés ou de pitié..
                              pour celles et ceux qui ne peuvent pas en parler, parce qu'elles savent bien qu'elles ne seront pas entendues, le cerveau a d'étonnante capacité d'occultation.

                              Donc, le président du conseil suisse est un bourricot, qui ferait mieux d'écouter ce qu'on lui explique !


                              ce qui est grave dans ce fait raconté .. c'est l'âge des agresseurs de cette tournante !

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