Les prix du pétrole continuaient de dégringoler, hier en cours d'échanges européens, affaiblis par une hausse de l'offre mondiale de pétrole, et notamment de la production irakienne et russe.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février valait 55,40 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres. La référence européenne du brut est tombée à un nouveau plus bas en plus de cinq ans et demi, à 55,16 dollars.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» (WTI) pour la même échéance perdait 87 cents à 51,82 dollars. Les cours de l'or noir demeurent, en effet, plombés par une offre pléthorique, et devraient le rester dans la première partie de l'année.
L'offre mondiale de pétrole va rester pléthorique au premier semestre 2015, malgré un fort ralentissement de la production libyenne, et continuer de tirer les cours vers le bas, selon de nombreux analystes. Une nouvelle offre venant principalement d'Irak et de Russie a atteint le marché, compensant ainsi largement les problèmes de production en Libye.
Source: APS
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février valait 55,40 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres. La référence européenne du brut est tombée à un nouveau plus bas en plus de cinq ans et demi, à 55,16 dollars.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» (WTI) pour la même échéance perdait 87 cents à 51,82 dollars. Les cours de l'or noir demeurent, en effet, plombés par une offre pléthorique, et devraient le rester dans la première partie de l'année.
L'offre mondiale de pétrole va rester pléthorique au premier semestre 2015, malgré un fort ralentissement de la production libyenne, et continuer de tirer les cours vers le bas, selon de nombreux analystes. Une nouvelle offre venant principalement d'Irak et de Russie a atteint le marché, compensant ainsi largement les problèmes de production en Libye.
Source: APS
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