Un algérien à la tête de Wataniya Telecom Algérie

[shadok]

Un ancien PDG de l'ARPT a été nommé comme président du conseil d'administration de l'opérateur kowétien Wataniya Telecom Algérie.
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WATANIYA TELECOM ALGÉRIE
Nouveau président du conseil d'administration

Extrait d'El-Watan
18/11/2006
Nora Boudedja


Un nouveau président du conseil d'administration de l'opérateur de téléphonie mobile et multimédia, Wataniya Telecom Algérie, a été désigné. Il s'agit de Ahmed Gaceb, ancien cadre du ministère des Télécommunications de 1981 à 2001 et ancien directeur général de l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT). C'est la première fois qu'un Algérien est nommé à ce poste de responsabilité. L'annonce a été faite par le président exécutif du groupe Kuwait Projects Co (Kipco), Faisal Hamad Al-Ayyar, qui a animé, jeudi dernier, un point de presse au siège de Wataniya Telecom Algérie dont Kipco est actionnaire.

[Nazim85]

WTA ne s'offre t'il pas ainsi,un nouveau réseau?

[Thug_life]

juge et partie !!!!!!!!!

[hben]

juge et partie !!!!!!!!!

Et Comment!!!!!!!!!!!!

[dzamine]

Je ne crois pas qu'il sera juge et partie, certes il doit avoir un réseau de connaissance mais pour qui connait la rivalité et les jalousie publique /privé en Algérie, il ne doit s'attendre à aucune complaisance de son ancien poste!

[shadok]

C’est un ancien PDG de l’ARPT qui n’est plus en fonction. Je ne pense pas que le holding du groupe Wataniya met un incompétent à la tête de sa filiale algérienne. Preuve que M. Gaceb est un cadre compétent. Ca fait plaisir qu’un algérien occupe un poste d’une grande entreprise étrangère qui généralement a recours a des expatriés pour ce genre de postes.

[takamra]

EL wATANIA ,lui a octroyer le poste pas pour sa compètance,mais pour son rèseautage.C'est comme ça que sa fonctionne en Algerie.

[nassim]

En effet, c'est une bonne nouvelle qu'un algérien soit choisi pour diriger WTA. Les groupes étrangers nous reprochent le manque de hauts cadres compétents en Algérie, ce qui n'est pas faux puisque beaucoup ont choisi de s'expatrier. Il appartient au gouvernement de créer un environnement favorable en Algérie aux cadres brillants, pour en garder un maximum au service de la machine économique.