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Charlie Hebdo attack: Former editor Philippe Val urges people to use laughter as the 'ultimate weapon' against extr

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  • Charlie Hebdo attack: Former editor Philippe Val urges people to use laughter as the 'ultimate weapon' against extr

    The former director and editor of Charlie Hebdo has urged people to use laughter as the “ultimate weapon” against extremism and hate following the massacre of his friends and former colleagues.

    In a tearful interview in the aftermath of the atrocity, Philippe Val, the satirical magazine’s former director said he had lost all his friends.
    “I am practically alone, all my friends are gone,” he said in the statement broadcast by France Inter radio and transcribed by Libération.
    “They were not bad people, they just wanted to make us laugh.
    “They just wanted humour to have a place in our lives, that's all."
    Clockwise from top left: Bernard Verlhac, Stephane Charbonnier, Georges Wolinski and Jean Cabut Mr Val said he wished he could have told his former colleagues how much he loved them, how they had been indispensable to him “and all others”.
    Eight journalists, a security guard and two police officers were among those shot dead and four others remain in a critical condition.


    Mr Val called on all newspapers to call themselves Charlie Hebdo, for “all of France calls itself Charlie Hebdo”.
    “This will show that we’re not okay with this, that we’ll never accept it. We’ll never let go of liberty,” he added.
    The journalist, who headed Charlie Hebdo between 1992 and 2009, when he became the director of France Inter radio, called on the world to “unite against this horror”.
    "Terror must not prevent the joy of living, of freedom, of expression,” he said. “Democracy is at stake.”
    He individually paid tribute to his murdered colleagues, including the “genius” cartoonist Cabu, full name Jean Cabut, who was murdered alongside the magazine’s editor Stéphane Charbonnier or “Charb” during their morning editorial meeting.
    Struggling to hold back tears, Mr Val said the world “could not tolerate” the atrocity and must act.
    The media had not properly reflected the rise of radicalisation and Islamic fundamentalism in France, he argued, while Charlie Hebdo had been lambasted for doing so in its controversial cartoons.
    “Our country will never be the same,” Mr Val said. “They have killed a certain way of doing journalism. They killed all the people who were able to laugh at serious ideas.

    In pictures: Reaction to Charlie Hebdo attack
    1 of 30



    “We have been struck by a terrible atrocity but we must not be silent, or they will win.”
    He told how the magazine’s staff had “laughed” at the firebombing of 2011, when Charlie Hebdo was again targeted by extremist for its depiction of the Prophet Mohamed.
    “Today is hard but it is the ultimate weapon,” Mr Val continued. “It is the weapon of solidarity. Let people laugh, let them ridicule the b******s…we cannot live in fear.”



    .independent.co.uk
    Dernière modification par boussad, 08 janvier 2015, 15h43.

  • #2
    traduction google:

    Charlie Hebdo attaque: Ancien rédacteur en chef Philippe Val exhorte les gens à utiliser le rire comme "arme ultime" contre les extrémistes


    L'ancien directeur et rédacteur en chef de Charlie Hebdo a exhorté les gens à utiliser le rire comme "arme ultime" contre l'extrémisme et la haine après le massacre de ses amis et anciens collègues.

    Dans une interview larmoyante à la suite de l'atrocité, Philippe Val, ancien directeur de la revue satirique a dit qu'il avait perdu tous ses amis.

    «Je suis pratiquement seul, tous mes amis sont partis," at-il dit dans la déclaration diffusée par la radio France Inter et transcrit par Libération.

    "Ils ne étaient pas des gens mauvais, ils voulaient juste nous faire rire.

    "Ils voulaient juste l'humour pour avoir une place dans nos vies, c'est tout."

    M. Val a déclaré que s'il le pouvait, il aurait dit à ses anciens collègues combien il les aimait, comment ils avaient été indispensable pour lui "et tous les autres".

    Huit journalistes, un garde de sécurité et deux policiers ont été parmi ceux abattu et quatre autres demeurent dans un état critique.

    M. Val a appelé tous les journaux à s 'appeler Charlie Hebdo, "l'ensemble de la France s'appelle Charlie Hebdo".

    "Cela va montrer que nous ne sommes pas d'accord avec cela, que nous ne aurons jamais l'accepter. Nous ne lâchons jamais de liberté ", a-t-il ajouté.

    Le journaliste, qui a dirigé Charlie Hebdo entre 1992 et 2009, quand il est devenu le directeur de la radio France Inter, a appelé le monde à "s'unir contre cette horreur".

    "la Terreur ne doit pas empêcher la joie de vivre, de liberté, d'expression," a-t-il dit. «La démocratie est en jeu."

    Il a rendu individuellement hommage à ses collègues assassinés, y compris le "génie" dessinateur Cabu, le complet Jean Cabut, qui a été assassiné aux côtés de l'éditeur du magazine Stéphane Charbonnier ou "Charb" lors de leur réunion de rédaction du matin.

    Luttant pour retenir ses larmes, M. Val dit que le monde "ne pouvait pas tolérer" l'atrocité et doit agir.

    Les médias n'avait pas réfléchi correctement la montée de la radicalisation et le fondamentalisme islamique en France, a-t-il soutenu, tandis que Charlie Hebdo avait été fustigé pour le faire dans ses caricatures controversées.

    «Notre pays ne sera jamais la même", a déclaré M. Val. "Ils ont tué une certaine façon de faire du journalisme. Ils ont tué tous les gens qui étaient capable de rire de graves idées.

    "Nous avons été frappés par une atrocité terrible, mais nous ne devons pas rester silencieux, ou 'ils vont gagner."

    Il a raconté comment le personnel du magazine avait "ri" à la bombe incendiaire de 2011, quand Charlie Hebdo a été de nouveau la cible d'extrémistes pour sa représentation du Prophète Mohamed.

    "Aujourd'hui, c ' est difficile, mais c'est l'arme ultime", a poursuivi M. Val. "C'est l'arme de la solidarité. Laissez les gens rire , qu'ils ridiculisent la b ****** s ... nous ne pouvons pas vivre dans la peur. "

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