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  • services secrets italiens, l’attentat contre Charlie Hebdo est un complot

    Pour Aldo Giannuli, expert des services secrets italiens, l’attentat contre Charlie Hebdo est un complot

    Publié par wikistrike.com sur 8 Janvier 2015, 20:13pm




    La durée de leur fuite, des terroristes trop calmes, le manque de protection de la rédaction de l’hebdomadaire satirique, les armes des terroristes… Aldo Giannuli, expert des services secrets italiens, n’est pas convaincu par la version officielle.
    Lors de cette funeste journée du 7 janvier 2014, date marquée à jamais comme synonyme de la mort de 12 personnes lors de l’attentat terroriste contre Charlie Hebdo, l’hypothèse d’un complot faisait déjà son chemin.
    Et aujourd’hui, ce n’est ni plus ni moins qu’Aldo Giannuli, experts des services secrets italiens, qui publie un article sur le blog de Beppe Grillo.
    Il est fort possible que cet attentat soit l’œuvre d’individus d’une toute autre importance… C’est très louche.
    Aldo Giannuli
    Selon lui, cette tragédie porte bel et bien la trace de l’extrémisme religieux, mais « cette affaire sent le cramé »...
    Les éléments qui le portent à penser cela ? Des papiers d’identité « oubliés » dans la voiture, à la durée importante de la fuite des terroristes, en passant par la protection très réduite de la rédaction de l’hebdomadaire satirique et les armes que possèdent les auteurs de l’attentat.
    Comme dans la plupart des grandes affaires (Kennedy, l’attentat de piazza Fontana, Olof Palme, le 11-Septembre, la mort d’Oussama Ben Laden, etc.), quelque chose cloche, et de nombreuses interrogations s’imposent. Comment est-il possible qu’un objectif aussi sensible que la rédaction de Charlie Hebdo ait été si peu protégé ? Où les auteurs de l’attentat se sont-ils procurés ces armes ? Ils les ont ramenées de Syrie ? Mais le plus important, c’est ceci : avez-vous déjà vu des terroristes qui vont commettre un attentat en prenant soin d’emmener leur pièce d’identité, et qui l’oublient ensuite dans la voiture ?
    Aldo Giannula, expert des services secrets italiens
    Des doutes auxquels s’ajoutent les suivants :
    On n’a jamais vu ça : des terroristes qui passent à l’action et perdent autant de temps durant leur fuite, après avoir participé à deux affrontements à l’arme à feu, contre une voiture de police notamment. Ils ramassent une chaussure puis oublient un gant. Et comment se fait-il qu’aucun blocage routier n’ait été mis en place dans la zone ? En plein centre de Paris, il doit y avoir de très nombreuses voitures de police. Et Paris est loin d’être une ville où la circulation est fluide…
    Aldo Giannula
    Et l’expert des services secrets italiens de conclure :

    Je crois qu’il s’agit en effet d’une piste djihadiste, c’est hautement probable étant donné le contexte, cette affaire date de près de 10 ans. Mais cela ne signifie pas qu’il ne puisse pas y avoir d’autres personnes impliquées dans cette affaire. Ni qu’on n’ait pas purement et simplement laissé faire les terroristes. Les services secrets s’attendaient sans doute à quelque chose, mais peut-être pas de cette ampleur. Il est également possible que les enquêteurs cachent quelque chose qui n’a rien à voir avec cette tragédie, et que ce qu’ils cachent pourrait sortir au grand jour. Et ils veulent peut-être éviter que ces informations soient révélées. Je pense qu’il est tout à fait possible que les personnes impliquées soient bien plus nombreuses, entre commanditaires, cerveaux, mercenaires, infiltrés, dirigeants ou cellules isolés.
    Aldo Giannu



  • #2
    La seule consolation que l' homme libre a est de savoir que OBAMA a témoigné de sa solidarité et qu'il a cautionné la version française

    faut bien choisir son camp ...

    Commentaire


    • #3
      Le Patriot act à la sauce Française est plus que jamais prêt...


      Surveillance numérique : la France signe discrètement son "Patriot Act"

      En décembre 2013, la loi de Programmation militaire renforçait les possibilités de surveillance numérique de l'Etat français. Ce 20 janvier 2014, le Sénat approuvait le projet de loi sur la géolocalisation en temps réel, qui sera examiné par l'Assemblée nationale le 11 février : pourquoi cet empressement à durcir la législation sur la surveillance des réseaux, des objets connectés et des déplacements des citoyens ? Quels bénéfices/risques ces nouvelles dispositions de la loi française peuvent-elles engendrer, alors que les abus de la NSA révélés par Edward Snowden continuent d'indigner une grande partie de la population mondiale ?

      Les hauts cris d'indignation de François Hollande et de Laurent Fabius lors de la découverte, voici quelques mois, des "écoutes" de la NSA, semblent aujourd'hui presque incongrus. De fait, l'"inacceptable" surveillance d'Internet ou des téléphones mobiles dénoncée par les plus hauts représentants de l'Etat français semble plus les avoir inspirés qu'autre chose...
      Cette dichotomie entre paroles et actes se matérialise sous forme de la "loi de Programmation militaire, article 20" (LPM), votée le 18 décembre 2013, et du "projet de loi relatif à la géolocalisation", adopté le 20 janvier 2014 au Sénat.
      Ce nouvel arsenal législatif est censé offrir plus de latitude à l'administration policière, ainsi qu'aux services de renseignement, pour combattre le terrorisme et la grande criminalité, ce que la plupart des citoyens peuvent comprendre. Oui mais voilà, n'est-ce pas là, justement, l'argument massue des responsables de la NSA et de la Maison-Blanche pour justifier la mise sous surveillance massive d'une bonne partie des habitants de la planète ? Comment la vie privée, censée être protégée, peut-elle s'accommoder des possibilités techniques offertes aux représentants de l'ordre, si évoluées qu'elles la réduisent quasiment à néant ? Autrement dit : partant du principe que tout le monde peut être soupçonné de quelque chose, l'Etat peut-il s'autoriser le droit de "fouiller dans les tiroirs", écouter les communications et suivre les déplacements de chacun ?

      Un article de loi pour tous les surveiller ?

      L'article 20 de la LPM permet "le recueil, auprès des opérateurs de communications électroniques et des personnes mentionnées à l'article L. 34-1 du code des postes et des communications électroniques, ainsi que des personnes mentionnées aux 1 et 2 du I de l'article 6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique, des informations ou documents traités ou conservés par leurs réseaux ou services de communications électroniques, y compris les données techniques relatives à l'identification des numéros d'abonnement ou de connexion à des services de communications électroniques, au recensement de l'ensemble des numéros d'abonnement ou de connexion d'une personne désignée, à la localisation des équipements terminaux utilisés ainsi qu'aux communications d'un abonné portant sur la liste des numéros appelés et appelants, la durée et la date des communications."
      Olivier Iteanu, avocat spécialisé dans le secteur des nouvelles technologies de l'information et de la communication, exprime sans détours la signification concrète de cet article : "l'article 20 de la LPM signifie que l'on passe d'un régime d'écoutes, d'interceptions, c'est-à-dire se brancher sur une ligne (…) à la captation des milliards de données détenues par les opérateurs, chez Google, Facebook et consorts. Les services d'espionnage, pour parler vite, ont compris qu'il y avait mieux à faire que de se brancher sur une ligne et écouter, puisqu'ils peuvent aller se servir dans les correspondances et les copier…"
      C'est donc là une nouvelle règle de la vie en société qui vient d'être mise en place. L'Etat français s'arroge désormais le droit de demander à tout moment les données personnelles des citoyens et, comme le souligne Maître Iteanu, "de façon très large, puisque l'on est dans des préventions de lutte contre le terrorisme, mais aussi la fraude fiscale, la contrefaçon, le délit de bande organisée. Il suffit donc que l'on soit soupçonné d'un de ces délits, d'une manière ou d'une autre, pour que l'Etat se permette, de manière administrative, hors du système judiciaire, de s'adresser à un très grand nombre d'acteurs, les bloggeurs, les hébergeurs, opérateurs, pour les contraindre à donner toutes les informations nous concernant."
      Aux Etats-Unis, le Patriot Act permet, par exemple, aux services de renseignements, d'obtenir toutes les informations d'une personne ayant acheté un exemplaire du Coran. Maître Iteanu exprime cette similitude entre la LPM française et le Patriot Act de façon très claire : "La loi de Programmation militaire est en réalité une copie conforme du Patriot Act américain !"

      La crainte de nombreux observateurs des libertés numériques est donc que ce texte de loi très vaste dans son champ d'application, n'ouvre la porte à des dérives policières, d'espionnage, et n'officialise en quelque sorte des pratiques intrusives aujourd'hui exceptionnelles. Il est aisé d'imaginer que, pour le bien d'une enquête, les agents de l'Etat prennent l'habitude d'exiger systématiquement des acteurs du réseau l'intégralité des données de personnes reliées à leur affaire. Ce type de pratiques, comme le dit Olivier Iteanu, "va bien au-delà de la simple lutte contre le terrorisme international. Il façonne aussi la société de demain en instaurant une surveillance généralisée et incontrôlée dans toutes les strates de la société de l’information, vers laquelle toute la société du monde physique bascule. L'enfer est pavé de bons sentiments, mais pour permettre aux services administratifs d'espionnage de se servir, et de mener leurs enquêtes administratives, on est en train de dresser tout le monde à surveiller tout le monde."

      Alors que l'affaire Snowden, depuis juin dernier, n'a pas fini de marquer les esprits, la question du "pourquoi instaurer ces lois en France aujourd'hui" reste sans réponse définitive. "C'est inexplicable, mais d'un autre côté cela peut éclairer la mollesse française et européenne face à l'affaire PRISM, qui est quand même gravissime. Cette loi était peut-être prévue de longue date, mais tout a été fait au pas de charge, fin décembre, quand pratiquement tout le monde avait la tête ailleurs. Elle a été d'ailleurs rédigée dans la précipitation, avec beaucoup d'erreurs", estime Maître Iteanu.
      Géolocalisation en temps réel
      La géolocalisation en temps réel a pourtant été limitée par la Cour de Cassation en octobre 2013 : "Le recours à la géolocalisation en temps réel lors d'une procédure judiciaire constitue une ingérence dans la vie privée, qui doit être exécutée sous le contrôle d'un juge". Et cet arrêt de stipuler : "…mais [elle] la censure, au visa de l'article 8 de la Convention européenne des Droits de l'Homme (CEDH), qui garantit le droit au respect de la vie privée, dans le cadre d'une enquête dirigée par le procureur de la République".

      En clair : une enquête nécessitant de la géolocalisation en temps réel ne pouvait être conduite par un seul procureur de la République, sans un juge des libertés. L'Etat n'a pas semblé apprécier cette disposition imposée par la Convention européenne des Droits de l'Homme. Pourquoi, alors, ne pas proposer une nouvelle loi sur la géolocalisation en temps réel ? Une loi qui permettrait à un procureur de la République de faire suivre à la trace une personne soupçonnée de délit, ou étant mêlée à une enquête, pendant quinze jours, et ce sans qu'aucun juge ne soit tenu au courant de la "traque" durant cette période. C'est ce que le gouvernement a fait en soumettant ce projet de loi adopté par le Sénat en première instance le 20 janvier 2014, en première lecture. Le problème est que tout un chacun, "si les nécessités de l'enquête l'exigent", pourrait alors se retrouver pisté à son insu, sans qu'un juge des libertés ne soit consulté, et ce pendant au moins 15 jours.

      Pour l'avocat Olivier Iteanu, ce projet de recours à la géolocalisation, sans garantie pour les citoyens, "participe de la même idée que la LPM, l'idée qu'il faut pousser la surveillance à l'extrême avec les outils qui sont à disposition". Sur une interrogation plus large au sujet de ces dispositions qui s'accumulent, l'avocat ne mâche pas ses mot : "On est submergé pratiquement tous les trimestres de dispositions nouvelles, qui peuvent s'expliquer, mais qui peuvent aussi représenter un danger pour nos libertés. La loi sur la géolocalisation participe de ces verrous qui ont sauté. Il y a des choses que l'on n'aurait pas osé faire ou dire avant, et là, ce n'est plus le cas. On va vous dire que c'est sous le contrôle du parquet, mais pendant 15 jours, les services de l'Etat pourront pister, tracer qui ils veulent, sans contrôle de la part de la justice."

      Et si, demain, un parti politique un peu trop autoritaire arrivait au pouvoir ? L'avocat spécialiste du numérique le dit clairement : "Il y a toujours la finalité de la prévention qui existe, mais tout est en place pour qu'un pouvoir politique voulant faire taire les oppositions puisse le faire, parce que le dispositif est vaste, très vaste. Donc, oui, tout est en place."

      Par Pascal Hérard

      Source : tv5monde.com
      La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
      De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
      .
      Merci.
      " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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      • #4
        On n’a jamais vu ça : des terroristes qui passent à l’action et perdent autant de temps durant leur fuite, après avoir participé à deux affrontements à l’arme à feu, contre une voiture de police notamment. Ils ramassent une chaussure puis oublient un gant. Et comment se fait-il qu’aucun blocage routier n’ait été mis en place dans la zone ? En plein centre de Paris, il doit y avoir de très nombreuses voitures de police. Et Paris est loin d’être une ville où la circulation est fluide…
        Justement, j'ai aussi pensé à ça ????
        La tour Eiffel et les Aurès.
        Irène Fatima Zohra.

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        • #5
          Je crois qu’ils n'ont pas oublié la carte d'identité dans la voiture, ils ont voulu laissé une signature.

          Parce qu'ils avaient la possibilité de la brûler pour laisser aucun indice.

          Car on a retrouvé des cocktail Molotov dans la voiture.
          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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          • #6
            zek pas besoin de cocktail pour bruler une voiture ..ne pas laisser d'indices signifie prendre du temps a cerner qui a fait quoi ce qui leur aurait donner du temps soi pour commettre d'autre attaques ou essayer de quitter le pays ..
            ce qui est fait est fait maintenant reste a recolter les fruits et a classer l'affaire tout doucement dans les oubliettes ..
            Dernière modification par absent, 10 janvier 2015, 07h27.

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            • #7
              le plan vigipirate était seulement dissuasif en plus de donner aux français l'illusion de sécurité, comme les protections dans les endroits très élevés qui permettent aux plus peureux de s'approcher du bord sans avoir le vertige, le gouvernement français à mon avis, n'a pas voulu militariser Paris comme c'est le cas à Alger, où les armes sont aussi répandues que les sacs et les bouteilles en plastic. c'est ce qui explique la grande facilité avec laquelle ces fous sanguinaires ont réussi à terroriser tout un pays.

              dans la logique terroriste, on assume nos actes, on les revendique et on ne s'en cache pas, c'est pour ca que les vidéos "djihadistes" montre des personnes a visage découvert, en prenant la fuite, ces terroristes n'espéraient pas échapper à la police, ils voulaient simplement gagner du temps pour pouvoir faire encore plus de dégats, dès le départ, ils avaient accepté la mort et n'espéraient aucune issue autre que cette dernière.

              donc, le fait qu'ils aient laissé leur papier est peut être une maladresse, mais je pense que c'était pour qu'on les identifie, pour que tout le monde sache qui a frappé les "kouffars" chez eux... c’est cela la logique terroriste.

              dans une photos, on voit une voiture de police criblée de balle, tout les impacts hormis un seul qui a troué le capot de la voiture, tous hormis celui-ci étaient mortels, une partie visaient le passager avant, alors que l'autre se concentrait sur le conducteur, quelques centimètre plus élevé par rapport aux impacts du passager avant. c'est des pro, je ne suis pas expert mais c'est des pro, ils ne paniquaient pas, ils prenaient leur temps, concentrés, sûrs d'eux en plus, le AK n'est pas réputé pour sa précision, les impacts sur la voiture suggèrent une grande maitrise de cette arme.

              aucune piste n'est à écarter, il y a manipulation c'est clair, mais je ne m’appuierai pas sur une carte d'identité oubliée ou un gant pour l'affirmer, c'est des arguments bidons facilement démontable.
              La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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              • #8
                Bonjour

                Je serai peut être d'accord si seulement l'Islam et des musulmans n'étaient pas mêlés à tout ça. On a le droit de se poser des questions, mais il faut aussi avoir le courage de se remettre en question.

                Ces criminels étaient bel et bien musulmans, ils ont tués au nom de l'Islam et certains musulmans continuent à applaudir, il est là le problème.

                Que d'autres mains instrumentalisent des abrutis ce n'est pas à exclure, mais que les musulmans se laissent à chaque fois utiliser comme de vulgaires outils ils ne sont pas excusables, alors que les musulmans fassent d'abord le ménage et arrêtent d'être les idiots dont tout le monde peut se servir.
                Dernière modification par Megane, 10 janvier 2015, 07h30.
                Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

                Commentaire


                • #9
                  Risk :

                  si les pi etait laisser pour cette fin a quoi bon alors mettre des cagoules ? :22:

                  Commentaire


                  • #10
                    pour faire peur, tout simplement, as-tu remarqué qu'encagoulé, tu as tout de suite l'apparence de quelqu’un de très dangereux?

                    ca fait partie de la panoplie du térroristes.

                    à mon tour de te poser une question:

                    crois-tu réellement que ces térros espéraient réellement pouvoir s'échapper et quitter la france ou l'europe? '' :22: ''
                    La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

                    Commentaire


                    • #11
                      justement Risk un "terro islamiste " fait bien plus peur sans cagoule qu'avec ..sa reputation veut qu'il fasse et puisse faire tout et n'importe quoi sans etat d'ame ni crainte les cagoule c'est pour les combrioleurs ..

                      oui ca aurait ete faisable s'ils avaient assez de moyens et de jugeote sinon y rester pour faire le max de degats histoire de donner de la valeur a leur "sacrifice" ... mais la apparemment y'avait ni l'un ni l'autre cas de figure ..juste une mission accompli et des fruits a recolter pour les autre ..

                      Commentaire


                      • #12
                        services secrets italiens, l’attentat contre Charlie Hebdo est un complot

                        Oh faut arrêter avec la théorie du complot ...
                        Nous algériens sommes très fort pour ça le qui tu qui bâbord l'Australie
                        les fait sont là les médias ont couvert le direct Par contre les deux Frangins je suis sur qu'ils n'avaient même pas mesurer leurs actes et l'illuminé du magasin aussi

                        Commentaire


                        • #13
                          Comme d'habitude quand c'est très médiatisé, il y a des requins qui se précipitent pour écrire un livre sur la théorie du complot, ça rapporte toujours gros à son auteur. Qui va gagner le gros lot?

                          Cela importe peu, c'est la réaction des musulmans qui compte pour mettre à l'abri leur religion, loin de toute manipulation et dénaturation. Faire la diversion sur la théorie du complot c'est pour endormir les musulmans naifs.

                          En Algérie très nombreux les algériens à soutenir la liberté d'expression et se sont toujours battus contre les barbares et extrémistes bien bien avant le printemps arabe.
                          Dernière modification par panshir, 10 janvier 2015, 09h29.

                          Commentaire


                          • #14
                            Envoyé par Risk
                            je pense que c'était pour qu'on les identifie, pour que tout le monde sache qui a frappé les "kouffars" chez eux
                            Exactement, ils ont voulu signer leur coup. Ils n'avaient pas l'intention de se cacher longtemps. Ils voulaient mourir en martyrs.
                            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                            Commentaire


                            • #15
                              Il faut voir la réalité en face, une partie des écervelés des cités, sont instrumentalisés par al Qaida et financés par les pétrodollars.

                              Une vidéo sur FB, m'a fait vraiment marrer : Un salafiste français affirmait que les musulmans ne veulent pas faire du mal aux français, ils veulent juste les convertir...

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